Pour l'idéologie et les méthodes c'est de plus en plus criant de vérité, maintenant j'espère qu'ils vont se prendre la même rouste électorale, un en 2007 et pour l'autre en 2008
2007-01-27 02:17:32
·
answer #1
·
answered by AKASHA 7
·
2⤊
3⤋
Certes l'analyse est orientée, mais cela n'enpêche qu'elle soulève des similitudes qui à mon avis devrait pousser beaucoup de gens à réfléchir.
Ce que je remarque une fois de plus, c'est la réaction dans ce forum dès que l'on ose dire ce qu'on pense de Sarko ou de sa politique. Par ailleurs, personne ne semble s'émouvoir que des personnes (mal intentionnées ?) ne cessent d'affirmer que dame Ségo n'a aucun programme. On épie ses moindres gestes, on interprète ses moindres mots, on saute sur toute occasion pour tenter de la discréditer. Quelle conclusion en tirer?
J'ai ma petite idée là dessus... Amusez-vous à faire une petite analyse des profils des pro Sarko (contre Ségo). vous y trouverez des choses très intéressantes. Une nouvelle façon à la française de faire de la politique? certainement pas. la vérité à mon avis, on ne s'intéresse autant à quelqu'un que lorsqu'elle fait peur.
Eh oui, que l'on l'admette ou pas, dame Ségolène serait le cauchemar des pro Sarko et s'ils ne lui reconnaissaient pas des valeurs qu'ils feignent d'ignorer, elle ne ferait pas tant l'objet de basses "attaques" que récupère très volontiers Sarko (même s'il s'en défend).
Que les pro sarko me "fusillent" autant qu'ils le voudront, cela démontre une fois de plus leur "ouverture" au débat et à la critique. En attendant, on s'éloigne des vraies questions que chaque français devrait se poser et dont les réponses des candidats le moment venu, devraient permettre d'orienter ou non chaque vote.
2007-01-27 02:59:59
·
answer #2
·
answered by Chaka_Zoulou 3
·
2⤊
1⤋
Petit article paru sur le Matin, quotidien Suisse !
Mainmise sur la presse tricolore
LIAISON DANGEREUSE Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle
PARIS - IAN HAMEL
27 janvier 2007
Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C'est cette entreprise, appartenant à l'UMP, le parti de Nicolas Sarkozy, qui filme le candidat Nicolas Sarkozy et qui ensuite vend (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. «Le plus grave, ce n'est pas que Sarkozy organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l'argent», proteste un journaliste parisien sous couvert d'anonymat.
Pourquoi se gêner? La société ETC jouit d'une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. Nicolas Sarkozy a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu'il s'agissait de photos volées par un paparazzi... Rien d'étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir» (1), l'actuel ministre de l'Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.
Les journalistes au pain sec
Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, Nicolas Sarkozy courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et de 30% de la presse française, et aujourd'hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes. «Il est non seulement l'ami des patrons de presse, mais il est aussi l'ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu'il appelle tout le temps au téléphone. Sarkozy s'est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l'intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion», raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.
Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n'apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. «Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues», déplore-t-il. Ministre de l'Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), Nicolas Sarkozy est un homme tout-puissant. Alors que ses «amis» journalistes sont abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec: les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de Ségolène Royal, la candidate socialiste, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu'à l'occasion, ils s'intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. «Un proche de Sarkozy vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l'UMP», s'étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de Sarkozy que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément «le lanceur de boules puantes».
Le livre à charge intitulé «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus» (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s'est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.
Sarkozy propulse les ventes
«On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à Nicolas Sarkozy ces derniers mois. Le problème, c'est que ces 10 couvertures ont bien vendu. Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction», souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.
(1) Frédéric Charpier, «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir», Editions Presses de la Cité, 304 pages
(2) Victor Noir, «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus», Editions Denoël, 306 pages
http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmatinheadactu/0/mainmise_sur_la_presse.html
2007-01-27 21:17:25
·
answer #3
·
answered by Dany 7
·
1⤊
1⤋
Ah oui, c'est vrai, j'oubliais que Sarkosy est tres proche du mouvement evangeliste, qu'il pretend que Dieu lui parle, qu'il est contre le protocole de Kyoto, etc... Mais a part, Sarkosy et Bush ont exactement la meme ideologie, les memes methodes, et les memes echecs.
2007-01-27 05:28:20
·
answer #4
·
answered by Garret 4
·
1⤊
1⤋
Sarkozy veut faire de la France un état d'amérique, c'est rien de le dire.
2007-01-27 02:47:18
·
answer #5
·
answered by dume29 2
·
2⤊
2⤋
Il faut arrêter de dire que Bush et Sarkozy ont le même programme, c'est archi faux.
C'est aussi faux que de dire que Royal a le même programme que le Président Chinois.
2007-01-27 02:30:48
·
answer #6
·
answered by smr 3
·
2⤊
2⤋
ils ont la même idéologie "tout sécuritaire" et sont prèts à sacrifier la liberté du peuple pour leur sécurité électorale.
J'espère qu'ils perdront tous les deux.
Il y a un débile metal et un lêcheur d'orteils. Nous on a le lêcheur d'orteils du débile mental. Et il veut nous présider, ça donne envie...
2007-01-27 02:22:47
·
answer #7
·
answered by Renaud3394 7
·
2⤊
2⤋
Avec des nuances c'est vrai.
2007-01-27 02:08:06
·
answer #8
·
answered by Anonymous
·
3⤊
3⤋
Pas tout a fait quand meme
2007-01-31 01:51:32
·
answer #9
·
answered by Annulation en cours 7
·
0⤊
1⤋
La part de vérité, c'est celle que chacun voudra bien y trouver, même si ta question est directement orientée, par le site auquel tu nous renvoies.
D'abord, G. Bush n'a plus que 2 ans à gouverner avec beaucoup moins de liberté de manoeuvre qu'auparavant. Ensuite, il ne faut pas se faire d'illusion, le futur président démocrate ne sera pas moins préoccupé par la sécurité, compte tenu du contexte géostratégique.
Alors N. Sarkozy, même s'il infléchit un peu sa politique internationale vers les Etats Unis, ne pourra pas pour autant s'aligner, sous peine de problèmes de sécurité plus importants que ceux que nous connaissons actuellement.
Il y a donc peu de chances que nous connaissions les mêmes échecs. Je ne suis pas sûr d'ailleurs, qu'il soit le candidat le plus dangereux en matière de politique étrangère, si j'en crois ce que j'ai entendu de la candidate socialiste.
2007-01-27 02:17:38
·
answer #10
·
answered by Anonymous
·
2⤊
3⤋