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J'ai lu 5 fois le mot assistanat dans le discours de Sarkozy à Saint-Quentin, au fait il fait un transfer ? Il parle de lui ? Il ne branle rien à part parler ? Il a quelquechose à se repprocher ?

2007-01-26 02:28:40 · 4 réponses · demandé par electrostorm2004 1 dans Politique et gouvernement Élections

4 réponses

tu devrais essayer d'etre plus claire téte de noeud ou alors fermes ta gueule c'est comme tu préfére

2007-01-26 02:39:20 · answer #1 · answered by BlOOdy Gun 6 · 1 0

J'espère du fond du coeur qu'un jour comme ça une grosse couille arrive dans ta vie et que tu commences ta descente au enfer qui te mèneras toi et ta famille dans la rue sans un sous, et que tu tombe sur un connard comme toi !!
Non en fait je ne te le souhait pas car ce n'est a souhaiter à personne ce genre de chose même a des raclures de ton espèce !

2007-01-26 10:35:28 · answer #2 · answered by ptitbedo 6 · 2 0

sarko ou un autre ; il y a des gens qui doivent être aidés et assistés jusqu'a leur propre autonomie ; des gens se sont retrouvés à la rue suite à un licenciement, à des décentralisations ou autres ; ils n'ont plus rien et plus personne ; ils se retrouvent à la rue, c omment font ils ceux la si on ne les aide pas ?

ce n'est pas tout le monde mais c 'est là où le CAS PAR CAS est nécessaire et non pas du CAS PAR CAS Pour la chasse aux enfants

il n 'est pas assisté lui? il a besoin de se montrer avec JOHNNY pour prouver quelque chose? le résultat est la! doc gynéco? le résultat est la! plus personne ne se montre

que veut il protéger le concernant?


il a changé, c'est lui qui le dit ; ca on le sait ; il est toujours daccord compréhensif ; on dit blanc il dit blanc on dit gris il dit gris ; que pense t il vraiment?

2007-01-30 06:29:31 · answer #3 · answered by Anonymous · 0 0

Petit article paru sur le Matin, quotidien Suisse !


Mainmise sur la presse tricolore


LIAISON DANGEREUSE Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle



PARIS - IAN HAMEL

27 janvier 2007


Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C'est cette entreprise, appartenant à l'UMP, le parti de Nicolas Sarkozy, qui filme le candidat Nicolas Sarkozy et qui ensuite vend (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. «Le plus grave, ce n'est pas que Sarkozy organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l'argent», proteste un journaliste parisien sous couvert d'anonymat.

Pourquoi se gêner? La société ETC jouit d'une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. Nicolas Sarkozy a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu'il s'agissait de photos volées par un paparazzi... Rien d'étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir» (1), l'actuel ministre de l'Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

Les journalistes au pain sec
Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, Nicolas Sarkozy courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et de 30% de la presse française, et aujourd'hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes. «Il est non seulement l'ami des patrons de presse, mais il est aussi l'ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu'il appelle tout le temps au téléphone. Sarkozy s'est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l'intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion», raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n'apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. «Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues», déplore-t-il. Ministre de l'Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), Nicolas Sarkozy est un homme tout-puissant. Alors que ses «amis» journalistes sont abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec: les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de Ségolène Royal, la candidate socialiste, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu'à l'occasion, ils s'intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. «Un proche de Sarkozy vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l'UMP», s'étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de Sarkozy que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément «le lanceur de boules puantes».

Le livre à charge intitulé «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus» (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s'est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

Sarkozy propulse les ventes
«On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à Nicolas Sarkozy ces derniers mois. Le problème, c'est que ces 10 couvertures ont bien vendu. Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction», souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

(1) Frédéric Charpier, «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir», Editions Presses de la Cité, 304 pages

(2) Victor Noir, «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus», Editions Denoël, 306 pages


http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmatinheadactu/0/mainmise_sur_la_presse.html

2007-01-28 03:43:42 · answer #4 · answered by Dany 7 · 0 0

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