Bigre! écrire derrière la prose si bien étayée d'Odette c'est un
brin risqué.
Mais, je vais modestement apporter de l'eau à son moulin.
On m'a rapporté récemment qu'au Japon certains hôpitaux
affligés d'un sérieux déficit ont rendus les malades âgés
et impotents à leur famille.....cela à engendré une montagne
de problèmes humains , les enfants ou collatéraux tous au
travail ne pouvant assumer les soins exigés par leur état,
certains ont dû démissionner de leur emploi et vivotent
aujourd'hui sur quelques petites économies pour combien
de temps ?
Les problèmes d'éthiques se transforment en problèmes
économiques....
La question devient comment assumer dignement la
vieillesse de tous nos futurs centenaires ?...
2007-01-26 03:45:55
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answer #1
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answered by PINEDE 5
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L’éthique scientifique gère les relations entre la science et l’homme. C’est ainsi que l’un de ses objectifs est de prolonger la vie de l’homme. Ce résultat est atteint l’homme vie de plus en plus vieux. Cependant dans quelles conditions : Rares sont les personnes de plus de 80 ans non atteintes par une pathologie sévère physique ou mentale.
Si le critère quantitatif est satisfaisant, le critère qualitatif semble plutôt se rattacher à une éthique sociale. Vivre plus longtemps dans des conditions décentes coûte cher. Or globalement la société se désintéresse du problème.
Par exemple une personne dépendante (qui ne l’est pas après 80 ans) à Paris peut recevoir éventuellement une allocation ville de Paris…restituable après son décès sur la succession…
La qualité de vie à partir d’un âge avancé est directement proportionnelle au revenu.
L’éthique scientifique doit-elle se contenter d’une obligation de résultat sans prendre en considération les applications qui en résultent?
Comment intégrer l’éthique sociale à l’éthique scientifique afin d’éviter que cette dernière ne soit de nature purement darwinienne ?
2007-01-26 09:25:18
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answer #2
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answered by ? 7
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La mobilité et l'indépendance des personnes extrémements agées. Prolonger la vie de l'homme pour qu'il vive 40 ans comme un légume, c'est éthiquement irresponsable.
2007-01-26 08:54:41
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answer #3
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answered by Anonymous
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Pourquoi rallonger la souffrance
d' une vie arrivée à sa fin et de tout désirs ?
Une peau flétrissante, des yeux éplorés,
carcasse et engrenage rouillé,
démotivations assurées et prolongées.
Fragile santé, cruelle agonie !
Maintenant prolonger sa vie, pourquoi pas, oui.........
mais avec toute sa tête ! Sa vitalité physique !
Et DU TRAVAIL pour animer celle-ci:-"la vie."
Bref, selon son désir personnel, pour retenir
ceux qu' on aime(nos parents):-"PLus que jamais."
2007-01-27 12:14:06
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answer #4
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answered by ... 5
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l'homme ne prolongera pas la durée de sa vie s'il n'éveille pas en lui-même la connaissance des lois de la vie, car c'est cette connaissance qui prolonge la durée de la vie dans la forme ...
la vie en effet est beauté et perfection et tend par cette loi à détruire tout ce qui ne manifeste pas cette perfection-là ...
tu t'inquiétais déjà de savoir il y a peu ce qu'il adviendrait des hommes s'ils devenaient immortels, et je t'avais répondu comme maharishi que l'immortalité n'était qu'une étape de l'évolution, j'ajoute que le but de la vie humaine n'est pas tant l'immortalité que l'initiation de l'ascension qui élève le taux vibratoire des cellules du corps jusqu'au taux vibratoire de la lumière, et la lumière est la connaissance même des lois!
il y a donc fort à parier que le prolongement de la vie humaine ne fera pas apparaître de nouveaux problèmes mais en fera disparaître beaucoup ...
2007-01-26 20:21:56
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answer #5
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answered by maricimaraj 7
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il y en a aucune
2007-01-26 09:04:52
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answer #6
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answered by Anonymous
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La vie de l’homme se rallonge depuis le printemps de l’humanité. La société s’y est toujours adaptée. Je ne vois là aucun problème éthique.
2007-01-26 08:55:26
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answer #7
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answered by Louloute Ministre Désinformation 5
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Je ne vois pas trop de problème éthique.
Augmentation de la différence entre ceux qui vivent longtemps et ceux qui meurt plus vite ?
Plus de chance de voir ses enfants mourir dans un accident ou d'une maladie incurable...
Plus de monde à polluer ?
[edit après lecture du dessous]
C'est pas le prolongement de la vie qui poserait des pb d'éthique, mais plutôt la manière dont on traite nos anciens.
2007-01-26 08:51:23
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answer #8
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answered by Bli [Ministre des Trucs] 5
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Ces problèmes existent déjà au quotidien lorsqu'il s'agit pour les médecins de faire certains choix thérapeutiques pour des patients d'âge trop avancé...prolonger la vie de ces patients par tous les moyens est aujourd'hui souvent possible,mais cela a un coût que les finances publiques ne peuvent plus assumer depuis quelques années déjà...Les médecins sont devenus malgré eux des citoyens culpabilisés par les gestionnaires et alors qu'ils aimeraient pouvoir pratiquer une même médecine pour tous,ils sont dans l'obligation de décider qui aura droit ou non à tels ou tels traitements ou soins plus coûteux que d'autres...Les plus jeunes sont prioritaires et donc favorisés...Des exemples,je peux en donner à la pelle...L'allongement de la durée de vie,tout le monde semble s'en réjouir,mais la logique économique influencera l'éthique de façon à ce que l'homme trop âgé ne voit pas sa vie prolongée au delà de certaines limites...malgré cela,nombreux seront encore les octo-nonagénaires dépendants que la mort ne voudra pas emporter,peut-être faudra-t-il alors entendre le désir de ceux qui ne veulent pas finir leur vie ainsi et revenir sur l'interdiction de l'euthanasie...
2007-01-26 12:22:10
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answer #9
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answered by Nanou 5
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