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11 réponses

y a rien de pire qu'un intellectuel qui se prend pour un artiste ...

2007-01-25 05:52:58 · answer #1 · answered by maricimaraj 7 · 0 2

Pour moi, il y a deux interprétation possible :
1 - Rien n'est totalement vrai, on interprète de travers à cause de notre éducation, de nos envies...
2 - Même dans le faux, il y a un morceau de vrai, car tout ce que l'on dit, même en mentant, ça se base sur ce que l'on connaît.

2007-01-25 15:08:48 · answer #2 · answered by Anonymous · 1 0

cela dépend de qui atteste ce qui diférencie le vrai du faux
CQFD

2007-01-29 08:45:47 · answer #3 · answered by Bas de Soie 4 · 0 0

La citation exacte est: "Dans un monde réellement inversé, le vrai est un moment du faux ".

Il faut savoir qu'en logique, le faux implique soit le faux soit le vrai (le vrai, lui n'implique jamais le faux). Donc dans un monde inversé, les lois de la logique les ont également. Il en résulte que le vrai impliquerait le faux.

Mais la citation est biaisée en ce sens que dire "réellement" c'es déjà donner une idée du vrai (pour beaucoup, ce qui est réel est ce qui est vrai).

2007-01-26 05:41:53 · answer #4 · answered by Gally Léo 5 · 0 0

On vit dans le faux, l'illusion, si le vrai apparait c'est dans un moment du faux...

2007-01-26 04:35:47 · answer #5 · answered by Amajem 2 · 0 0

Au sens général, cette phrase expose le lien dialectique qui unit les contraires. Sans doute s'y trouve-t-il une insistance sur la prééminence du faux sur le vrai, mais la brièveté de la citation pourrait laisser penser que la pensée complète est une approche de la succession des étapes. Le vrai, le faux, problématique cruciale à l'historien, au juge, au métaphysicien, qui font le spectacle du monde où G. DEBORD a joué ses scènes ne sont-ils pas en effet ces moments d'interpénétration où s'enrichit le sens ?
Tchuss

2007-01-25 20:01:52 · answer #6 · answered by Anonymous · 0 0

ça veut dire tout est faux.

2007-01-25 15:37:31 · answer #7 · answered by djamel l 2 · 0 0

Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. »

Ce relatif laconisme comparé à d'autres ouvrages situationnistes comme ceux de Raoul Vaneigem rendit relativement difficile les commentaires ultérieurs du texte, par l'usage de Guy Debord du style hégelien. Si Guy Debord fait apparaître dans son livre une interprétation de la critique marxienne du fétichisme de la marchandise développée dans le premier chapitre du premier livre du Capital (186), elle-même faisant suite à la théorie de l'aliénation exposée dans ses Manuscrits de 1844, son originalité se situe précisément dans la description de l'avance contemporaine du Capital sur la vie de tous les jours, dans les moyens qu'il emploie et dans ses finalités modernes de conquête, dans son emprise sur le monde à travers la marchandise.


La thèse de l'auteur

La Société du spectacle est essentiellement une critique radicale de la marchandise et de sa domination sur la vie, qui se retrouve dans la forme particulière de l'aliénation de la société de consommation. Le concept de spectacle se réfère à un mode de reproduction de la société basé sur la reproduction des marchandises, toujours plus nombreuses et toujours plus semblables dans leur variété. Debord prone une mise en acte de la conscience qu'on a de sa propre vie, envers d'une illusoire pseudo-vie que nous impose la société capitaliste, particulièrement depuis l'après-guerre.

Selon Debord, le spectacle est le stade achevé du capitalisme, il est un pendant concret de l'organisation de la marchandise. Le spectacle est une idéologie économique, en ce sens que la société contemporaine légitimise l’universalité d’une vision unique de la vie, en l’imposant aux sens et à la conscience de tous, via une sphère de manifestations audio-visuels, bureaucratiques, politiques et économiques solidaires. Ceci, afin de maintenir la reproduction du pouvoir et de l’aliénation : la perte du vivant de la vie.

Aussi le concept prend plusieurs significations. Le spectacle est à la fois l'appareil de propagande de l'emprise du capital sur les vies, aussi bien qu'un « rapport social entre des personnes médiatisé par des images ». Debord compare le spectacle à la religion de la marchandise.

2007-01-25 15:13:19 · answer #8 · answered by ? 7 · 0 0

Sachant que ce qui intéressait Debord c'était la mise en scène, la "spectacularisation" de la société, peut-être a t-il voulu dire que ce qui est considéré comme vrai à un moment (ex: la terre est plate) peut très bien être considèré comme faux à un autre moment.
On voit ça tous les jours avec les médias, les pubs etc.
L'opinion pense telle chose, et peut penser autre chose le lendemain si on la lui montre sous un autre angle (ex: la fameuse tentative de manipulation dans les livres d'histoire, destinée à changer l'angle de vue des enfants sur la colonisation française: le "rôle positif de la colonisation" ).
Le passage du temps (du moins sa perception par les humains) impliquant le mouvement, on est obligé, à un moment ou l'autre, de voir un autre angle, et donc de faire évoluer sa perception de la vérité, peut-être pas en changeant totalement d'avis, mais en nuançant.

2007-01-25 13:51:03 · answer #9 · answered by 5 · 0 0

Il y a toujours une part de vérité même dans le faux...
Autre versus, selon le théorème de Godel toute théorie a des exceptions... Des zones ou elle ne se valide pas...
Il n'y a pas de pure vérité, ni de pur mensonge...
Parfois, prenant le faux pour le vrai, on passe à coté de la vérité qui a montré un moment fugitif le bout de son nez.

2007-01-25 13:40:44 · answer #10 · answered by maxime 4 · 0 0

trop compliqué pour moi

2007-01-25 13:26:13 · answer #11 · answered by DELANEY en mode corps nichons 6 · 0 0

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