On lui a pété son sonotone alors il est même pas au courant, on soupçonne la DST d'être derriére, sur ordre de Sarkosy , et la faim ds le monde c'est sur ordre de lui aussi ?
2007-01-25 03:05:55
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answer #1
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answered by Une autre question ? 5
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Parce qu'il ne l'a pas demander à jospin en 2002....
2007-01-25 11:09:21
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answer #2
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answered by Anonymous
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peut-être parce qu'il a pas demandé à Jospin de quitter le gouvernement en 2002.....
2007-01-25 11:08:37
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answer #3
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answered by sm t 5
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Petit article paru sur le Matin, quotidien Suisse !
Mainmise sur la presse tricolore
LIAISON DANGEREUSE Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle
PARIS - IAN HAMEL
27 janvier 2007
Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C'est cette entreprise, appartenant à l'UMP, le parti de Nicolas Sarkozy, qui filme le candidat Nicolas Sarkozy et qui ensuite vend (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. «Le plus grave, ce n'est pas que Sarkozy organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l'argent», proteste un journaliste parisien sous couvert d'anonymat.
Pourquoi se gêner? La société ETC jouit d'une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. Nicolas Sarkozy a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu'il s'agissait de photos volées par un paparazzi... Rien d'étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir» (1), l'actuel ministre de l'Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.
Les journalistes au pain sec
Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, Nicolas Sarkozy courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et de 30% de la presse française, et aujourd'hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes. «Il est non seulement l'ami des patrons de presse, mais il est aussi l'ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu'il appelle tout le temps au téléphone. Sarkozy s'est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l'intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion», raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.
Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n'apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. «Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues», déplore-t-il. Ministre de l'Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), Nicolas Sarkozy est un homme tout-puissant. Alors que ses «amis» journalistes sont abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec: les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de Ségolène Royal, la candidate socialiste, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu'à l'occasion, ils s'intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. «Un proche de Sarkozy vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l'UMP», s'étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de Sarkozy que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément «le lanceur de boules puantes».
Le livre à charge intitulé «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus» (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s'est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.
Sarkozy propulse les ventes
«On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à Nicolas Sarkozy ces derniers mois. Le problème, c'est que ces 10 couvertures ont bien vendu. Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction», souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.
(1) Frédéric Charpier, «Nicolas Sarkozy. Enquête sur un homme de pouvoir», Editions Presses de la Cité, 304 pages
(2) Victor Noir, «Nicolas Sarkozy ou le destin de Brutus», Editions Denoël, 306 pages
http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmatinheadactu/0/mainmise_sur_la_presse.html
2007-01-28 05:41:07
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answer #4
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answered by Dany 7
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Je ne vais pas faire une réponse à la question, mais dire ce que je pense de Chirac ...
L'année dernière, juste avant la campagne du référendum, j'ai commencé à faire une hypothèse à priori loufoque : "Et si Chirac était pour que le Non l'emporte ? ..."
Riducule à priori, puisqu'il a proposé ce référendum ...
Certes.
Mais comme tout un chacun, il a le droit d'être d'accord ou pas avec l'Europe, et bien sur, vu sa position il ne peut rien dire ...
Donc je fais cette hypothèse.
Que se passe-t-il ensuite ?
Dès le début de la campagne, le Oui qui était en tête ... tombe !
Première intervention de Chirac à la télé ... catastrophique pour le oui ... (rappelez vous !)
On peut dire qu'il est nul - c'est un peu court comme explication! Surtout pour quelqu'un comme lui ...
Mais du coup, le non progresse.
Rappelez vous encore : c'est le moment des manifs anti-fillon, avec une attitude dure du gouvernement, la fameuse journée à travailler gratos (pourquoi ne pas l'avoir décalé ), etc ...
A un moment, cependant, le oui revient au coude à coude avec le non.
Et bien, une mesure qui passe inaperçue, est votée sur la restriction du droit d'hébergement des immigrés : cette mesure a sans doute le don d'énerver la gauche et ceux qui hésitaient à voter non doivent moins hésiter ...
Suite : le non repasse en tête et va jusqu'à presque 60% !
Là, c'est trop.
Dernière intervention de Chirac, jugée bonne cette fois. Il aurait ainsi changé en quinze jours ?
Résultat : le non l'emporte ... avec 56%.
Là, Chirac s'est planté ...
Suite à ces évènements, j'ai considéré comme très plausible mon hypothèse.
Je me suis demandé les raisons de tout ceci : d'après moi, Chirac avait tout intérêt à ce que le non l'emporte ... mais dans les 50/50. Pas 56!
A 50, il pouvait y avoir "doute" sur le vote.
Chirac avait alors ... un boulevard pour se représenter en 2007 : il se serait présenté comme " rempart de la république, - attitude gaulliste - garantissant la défense de la france en Europe, et aurait promis une nouvelle constitution en 2007."
Là, il aurait eu tout bon : il aurait coupé l'herbe à droite (Sarko) et laminé la gauche, po-européenne.
A t-il l'intention de se présenter : oui.
Une preuve : lors du premier débat, on lui a posé la question de savoir s'il démissionnerait en cas de victoire du non.
Réponse : bien sur que non.
C'est tout. Et c'est un peu court. Si on prend l'hypothése qu'il ne souhaitait pas se représenter en 2007 et qu'il souhaitait la victoire du oui, il avait une réponse imparable : " - Je ne démissionerai pas, mais je m'engage à ne pas me présenter en 2007 et à tout faire pour que la France soit forte dans le cas où le Non l'emporte" ou quelque chose de ce style. A aucun moment il n'a dit pas vouloir se représenter et là c'est significatif !
La suite ... rappelons nous son hospitalisation, la mise en scène ... C'est bien la première fois qu'un président montre la maladie ... Et aussitôt, il remonte dans les sondages ! Comme quoi, rien n'est totalement perdu. Il a récupéré de l'estime, je pense qu'il a bien utilisé les médias sur ce coup.
Il est vrai qu'à 56% de Non, il est mal. Il doit à tout prix changer de stratégie ... Et il nomme Villepin (entre parenthèse, la victoire du Non n'était absolument pas un désaveu de la politique intérieure ! Dixit, la droite ... Alors, pourquoi virer Raffarin ? Qui est resté malgré la cuisante défaite des régionales ? Encore de la stratégie. Mais là, je ne vois pas trop, sauf que cela amène d'autres hypothèses décoiffantes : il nomme Villepin, qui lui a conseillé de dissoudre, amenant Jospin ...
Donc nommer quelqu'un qui lui a couté la majorité ...
Et si cette dissolution ratée avait été volontaire ? Il a vu le pouvoir de Miterrand dans la cohabitation, qui a pu se présenter en 88 ...
Cette cohabitation lui permet d'attendre pour se présenter en 2002. Ce serait bien joué.
Un fait qui me revient : à l'époque, Chirac a refusé nettement tout accord avec l'extrème droite. Son attitude m'avait surpris : je voyais la possibilité que la gauche l'emporte, vu les triangulaires se présentant à droite ...
C'est ce qui s'est passé et à l'époque, j'avais admiré la position tranchée de Chirac ... Sans imaginer qu'il avait peut-être voulu perdre volontairement les élections ...
Alors, tout est cohérent ... On le prend pour un imbécile qui se plante tout le temps ... il est président depuis plus de dix ans !
Ce référendum : il le propose alors que la constitution pouvait être votée à l'assemblée (comme d'autres pays l'ont fait). On va dire, il prend en compte l'avis des français. Vous trouvez qu'il le fait ? Il est élu avec les voix de gauche, mais n'en tient pas compte. Défaite catastrophique aux régionales, il garde Raffarin ... etc ... Non. Ce référendum n'est pas logique. Sauf ... hypothèse qu'il voulait la victoire du non !
Maintenant, je suppose que Chirac a une trouille : se voir trainer en justice. Cela expliquerait pas mal de ces attitudes.
Donc, je pense que Chirac veut se représenter. Mais le hic, avec Sarko, c'est comment il peut faire. Il me parait mal barré, mais ...
Quant à la question de savoir pourquoi il garde Sarko au gouvernement, c'est peut-être dans cette hypothèse, mais là, je sèche ...
Il y a longtemps que je voulais dire ceci, c'est fait.
2007-01-25 11:53:58
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answer #5
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answered by Pluto 3
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Il a peur de prendre un coup de tête dans les genoux !!!
2007-01-25 11:27:41
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answer #6
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answered by gedeon_gd 4
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plus il reste, plus il s affaiblit
chirac, ça lui va bien comme ça
2007-01-25 11:17:12
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answer #7
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answered by Anonymous
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Il a déjà fait perdre la droite face à mitterand... à long terme, ce fut payant...
Va savoir ce qu'il nous mitonne pour son miniministre...
2007-01-25 11:06:59
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answer #8
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answered by El Garfio 5
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Parce qu'il attendait le dernier moment avant litige. Maintenant c'est bon: il peut le faire.
2007-01-25 11:10:06
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answer #9
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answered by titi 2
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Parce que malheureusement, bonne partie des français soutiennent Sarko... et pour sa popularité, ça serait mauvais signe (surtout s'il se présente aux élections)
2007-01-25 11:06:21
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answer #10
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answered by sauterelle 2
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