Quel son image du Brésil ?

Question

ce qui son information sur le Brésil et en tant que toi voient ce pays ?

Answer 1

Oi pitonisia!
tudo certinho contigo?eu sou brasileira do Rio màs vivo atualmente na suiça aonde trabalho, e voçe qual é a sua régião,talvez você prefira conversar en françes?
Olha, o Brasil é un paìs lindo demais, com paisagens dignas de um cartão postal e os brasileiros são pessoas maravilhosas,cheios de gentileza, pessoas bacanas mesmo," estou morrendo de saudade..." como diz a canção.

Mas infelizmente nem tudo são flores, e eu tenho para mim que o pior defeito é a corrupção e a criminalidade, se não fossem estes "pequenos detalhes" o Brazil seria o paraìso terrestre.. Beijinhos a você pitonisia e tudo de bom ;-)

Answer 2

Les enfants torturés au Brésil. : description de la situation. Recommandations d’Amnesty Interna

Etat des lieux au Brésil

Amnesty International milite depuis plus de 30 ans au Brésil et travaille depuis lors sur des cas de torture qui y sont signalés. Pendant cette période, le pays a connu de profonds changements politiques, mais ceux-ci ont eu peu d’impact sur l’emploi ininterrompu de la torture par la police et les gardiens de prison. Près de 20 ans après le rétablissement de la démocratie présidentielle, l’usage de la torture, institutionnalisé par la dictature militaire, perdure sans relâche et généralement en toute impunité. Ce n’est plus une arme de répression politique, mais essentiellement une méthode d’investigation policière et d’extorsion d’aveux, ainsi qu’un moyen de sanction quotidien auquel recourent les forces de police ou les gardiens de prison pour contrôler un nombre toujours croissant de détenus. Les conditions de détention épouvantables dans les prisons et les postes de police sur tout le territoire révèlent que les traitements inhumains ou dégradants sont souvent considérés comme la norme en ces lieux.

La situation est également critique dans les centres de détention pour mineurs de la FEBEM, (fondation brésilienne pour la protection des mineurs) dans l’Etat de Sao Paulo, où des tortures, des violences, des mutineries continuent d’être signalées. Une délégation d’Amnesty International qui a visité l’une de ces unités en juin 2003 a recensé des dizaines de cas de passages à tabac et autres formes de torture, qui auraient été infligés aux adolescents par les gardiens agissant en toute impunité, engendrant une spirale de violence et de destruction.

Si diverses initiatives et propositions gouvernementales depuis la transition démocratique expriment de bonnes intentions dans ce domaine, on constate un manque de volonté politique pour assurer leur mise en œuvre. Un large fossé a ainsi été creusé entre le discours gouvernemental sur les droits humains et la réalité de la situation dans le pays : les structures institutionnelles actuelles restent favorables à l’impunité pour les éléments des forces de l’ordre qui ont recours à la torture et aux mauvais traitements. Et l’opinion publique apporte un soutien tacite à cet état de fait : dans un sondage d’opinion effectué à Sao Paulo en février 2004, 25% des 4500 personnes interrogées affirmaient que la torture était une méthode acceptable d’enquête sur un crime ou un délit

Plan d’action en 12 points visant à éradiquer la torture au Brésil

Amnesty International exhorte le gouvernement brésilien à appliquer les recommandations qui suivent pour éradiquer la torture, et à prendre des mesures afin que son système de sécurité publique soit à la fois efficace et destiné à renforcer le principe de justice et le respect des droits humains. Amnesty International appelle le gouvernement fédéral à :
1. condamner la torture sous toutes ses formes et user de ses pouvoirs législatif, financier et autres pour encourager, et si nécessaire appeler les États à respecter pleinement les normes internationales relatives à la protection des droits humains ;
2. faire les déclarations prévues aux articles 21 et 22 de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, et ratifier le Protocole facultatif à la Convention contre la torture ;
3. mettre en place un mécanisme national indépendant de surveillance et de prévention pour empêcher les actes de torture, conformément aux dispositions du Protocole facultatif à la Convention contre la torture.

Amnesty International appelle les gouvernements des États fédérés à :
4. condamner la torture sous toutes ses formes et veiller à ce que tous les agents de l’État soupçonnés d’être responsables d’actes de torture soient déférés à la justice en vertu de la Loi 9455/97 relative à la torture ;
5. fournir aux forces de police et au personnel pénitentiaire les ressources et la formation nécessaires pour qu’ils puissent s’acquitter de leurs fonctions sans commettre des violations des droits humains, y compris des actes de torture ;
6. prendre des mesures pour mettre en place un service d’assistance judiciaire doté de ressources adéquates permettant à tout suspect de droit commun de bénéficier de l’aide d’un avocat, dans les États où cela n’a pas encore été fait ; dans les États où cela existe déjà, veiller à ce que ce service soit doté de ressources adéquates ;
7. créer un service spécialisé dans les droits humains au sein du parquet de chaque État, auquel il incombera de superviser les poursuites judiciaires engagées contre les agents de l’État accusés de violations des droits humains, afin de garantir l’indépendance des enquêtes menées dans le cadre de telles affaires ;
8. faire en sorte que les condamnés et les personnes incarcérées dans l’attente de leur jugement ne soient plus détenus par la police civile ;
9. mettre en place un système protégeant les personnes détenues qui ne bénéficient pas actuellement des programmes de protection des témoins, afin de garantir que la sécurité des victimes et des témoins d’actes de torture placés en détention est assurée de manière satisfaisante ;
10. mettre en place des unités d’enquête médico-légale totalement indépendantes et permettre dans les plus brefs délais aux détenus de se faire examiner par un expert médical indépendant, en particulier en cas d’allégation ou de présomption d’actes de torture ou d’autres formes de mauvais traitements ;
11. veiller à ce que les gardiens de prisons de sexe masculin respectent les droits de toutes les femmes incarcérées et à ce qu’ils soient toujours accompagnés de gardiennes ;
12. appliquer les garanties et les dispositions relatives à l’incarcération des enfants et des adolescents prévues par la Loi relative aux droits de l’enfant et de l’adolescent.

Novembre 2004 . http://www.amnesty.asso.fr

Answer 3

Un pays contrasté où de nombreux enfants sont abandonnés de tous et où les gens sont très gais de nature.
Tchuss

Answer 4

montannge

Answer 5

J'y suis allée 2 fois déjà. E um pais que me gosta muito.