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Qu' est ce que le sionisme




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la Palestine aujourd'hui
la colonisation juive en Palestine
qu'est-ce que le sionisme
l'apartheid made in Israël
le massacre de Jénine: article
massacres de Jénine et Naplouse
judaïsme versus sionisme
ce que personne ne devrait tolérer
comment aider les victimes du conflit
Israéliens pour la paix
bibliographie, sources internet
signez le Livre d' or





Chronologie du sionisme de 1862 à 1910





1862: Moses Hess écrit "Rome et Jérusalem "

1881: Eliezer Ben Yehuda s'installe à Jérusalem;
il renouvelle l'usage de l'hébreu.
Les pogromes en Russie provoquent un désastre dans les régions où les Juifs sont autorisés à résider.
Début de la Première alyah.

1882: Fondation de l'organisation Bilou (Beith Israël Lekhou Vena'ale), premier mouvement haloutsique (pionnier) en Ukraine.
Dans son livre Autoemancipation, Leon Pinsker défend l'idée de la création d'un Etat juif.
Début de la Première alyah : des Juifs venus du Yemen, de Russie et de Roumanie viennent s'installer en Palestine.

1883: Le Baron Edmond de Rothschild commence à soutenir financièrement les localités juives d'Eretz Israël.

1884: Fondation du mouvement des Hovevei Tsion (Amants de Sion) à Kattowicz en Pologne.

1890-91: Arrivée d'une grande vague d'alyah en provenance de Russie.

1894-1895: Procès à Paris du Capitaine Alfred Dreyfus, injustement accusé d'espionnage. Théodore Herzl assiste à la cérémonie de sa dégradation, ce qui attire son attention sur le problème de l'antisémitisme.

1896: Théodore Herzl écrit Der Judenstaat, L'Etat juif, le texte fondateur du sionisme.

1897: 29-31 août : premier Congrès sioniste international à Bâle.
Promulgation de la Déclaration de Bâle selon laquelle le sionisme a pour but la création d'un foyer national juif.
Création de l'Organisation Sioniste Mondiale.

1901: Création du Keren Kayemeth LeIsraël (K.K.L.), base du domaine foncier public israélien.

1903: Pogromes de Kishinev.
Le gouvernement britannique propose à Herzl de lui donner l'Ouganda pour y créer un foyer juif.


1904: Mort de Théodore Herzl à Vienne.
La Seconde alyah est précipitée par les grands pogromes de 1902 et 1903.
Création du Va'ad Halashon (Comité de la langue hébraïque)

1905: Le septième Congrès Sioniste à Bâle, décide de repousser définitivement la proposition de l'Ouganda, ainsi que toute alternative à la Palestine.

1906: David Green (Ben Gurion) arrive en Israel.
Fondation du premier lycée hébraïque à Jaffa.
Fondation de l'Ecole des Arts Bezalel à Jérusalem.

1909: Fondation d'un petit quartier juif de Jaffa qui deviendra Tel Aviv.
Fondation du Hashomer, premier groupe organisé d'auto-défense.

1910: Fondation de Degania Alef, la "mère des kiboutzim".






La base de l' idéologie sioniste





L'idéologie sioniste, avec le mouvement qu'elle a suscité, s'est donné pour mission de rassembler en
Palestine tous les Juifs
dispersés depuis deux mille ans à travers le monde (Juifs de la diaspora), d'établir un territoire peuplé
exclusivement de Juifs, dans la perspective de leur assurer, compte tenu des persécutions dont ils furent souvent victimes,
une sécurité définitive.

Bien que précédée d'initiatives diverses qui, au cours des siècles, avaient pour but une ré-appropriation
de la Palestine,
elle ne s'est vraiment structurée qu'à la fin du XIXe siècle avec Théodore Herzl. Elle s'est développée
pendant la première moitié du XXe siècle malgré l'opposition prolongée de la grande majorité
des Juifs et, à la faveur de
la seconde guerre mondiale,
s'est concrétisée avec la création de l'État d'Israël en Palestine.

Le sionisme repose sur deux données fondamentales et conjointes du judaïsme :
- une donnée d'ordre religieux : le mythe biblique de la " Terre promise " à un " Peuple élu ", ( le
droit au sol)
- une donnée d'ordre légal : la loi établissant la " race " juive ( le droit du sang).


1 - Le mythe biblique de " la Terre promise " et du " Peuple élu " est le premier pilier de l'idéologie sioniste





Selon le récit bibilique, il existe depuis voici quelque trois mille ans, un contrat (l'Alliance) entre les hébreux
et Dieu.
L' Alliance prévoit que les Hébreux, moyennant obéissance à Dieu, constituent Son peuple privilégié,
le Peuple élu, et reçoivent
en héritage une terre particulière, la Terre promise.

C'est sur les données de ce mythe fondamental du judaïsme qu'est bâtie tout entière l'idéologie
sioniste et que s'est fondé
le " droit historique " sur la Palestine. Même les sionistes non religieux et athées, tels les Pères fondateurs
et la majorité des Israéliens actuels, ont exploité et exploitent toujours ce mythe originel de la Terre
promise par un dieu
qui, pourtant,
n'existe pas pour eux.

Il ne faut pas être surpris de cet apparent paradoxe... C'est que, comme tous les mythes, celui-ci ne possède
pas seulement
une dimension religieuse mais une dimension culturelle. Malgré l'émergence dans les esprits de son
caractère légendaire, il n'en continue pas moins à imprégner durablement la civilisation qui l'a
porté, à meubler son imaginaire
collectif et, partant, à mobiliser des énergies colossales et aveugles.


2 - La loi rabbinique de transmission héréditaire de la judéité en est le second pilier




Alors que les adeptes de la plupart des religions n'ont que le lien d'une croyance commune, et que ce caractère d'adepte est
accessible à tous, le judaïsme établit un lien particulier d'ordre héréditaire.

Fait rare dans l'Histoire de l'humanité, la naissance est le vrai critère d'appartenance :
la loi établit, en effet, que le caractère de juif est transmis par le sang
maternel. Ce caractère est de plus indélébile : même en cas d'apostasie du judaïsme ou de mariage mixte (qui équivaut à une apostasie), tout sujet reste juif selon le Talmud.

Alors que, comme le dit le philosophe israélien Y. Leibowitz , " la notion de "juif" n'était à l'origine ni raciale, ni nationale
mais religieuse ", une évolution s'est produite : la condition raciale(l'hérédité) est nécessaire et suffisante pour être juif et citoyen d'Israël, la condition religieuse (la croyance) absolument facultative.

Quant à J. C. Attias , après avoir constaté que nombre de juifs " n'observent plus le shabat ", " s'habillent comme tout le monde ", que " les traits
discriminants dont l'histoire les avait affublés sont en train de disparaître ", il dit de son côté qu '" il ne reste plus que la race " comme élément distinctif entre un Juif et un non-Juif, cette race qui se transmet par la femme malgré son statut inférieur à celui des hommes, ceux-ci se réservant la transmission du savoir et des valeurs du judaïsme.














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1862: Moses Hess écrit "Rome et Jérusalem "

1881: Eliezer Ben Yehuda s'installe à Jérusalem;
il renouvelle l'usage de l'hébreu.
Les pogromes en Russie provoquent un désastre dans les régions où les Juifs sont autorisés à résider.
Début de la Première alyah.

1882: Fondation de l'organisation Bilou (Beith Israël Lekhou Vena'ale), premier mouvement haloutsique (pionnier) en Ukraine.
Dans son livre Autoemancipation, Leon Pinsker défend l'idée de la création d'un Etat juif.
Début de la Première alyah : des Juifs venus du Yemen, de Russie et de Roumanie viennent s'installer en Palestine.

1883: Le Baron Edmond de Rothschild commence à soutenir financièrement les localités juives d'Eretz Israël.

1884: Fondation du mouvement des Hovevei Tsion (Amants de Sion) à Kattowicz en Pologne.

1890-91: Arrivée d'une grande vague d'alyah en provenance de Russie.

1894-1895: Procès à Paris du Capitaine Alfred Dreyfus, injustement accusé d'espionnage. Théodore Herzl assiste à la cérémonie de sa dégradation, ce qui attire son attention sur le problème de l'antisémitisme.

1896: Théodore Herzl écrit Der Judenstaat, L'Etat juif, le texte fondateur du sionisme.

1897: 29-31 août : premier Congrès sioniste international à Bâle.
Promulgation de la Déclaration de Bâle selon laquelle le sionisme a pour but la création d'un foyer national juif.
Création de l'Organisation Sioniste Mondiale.

1901: Création du Keren Kayemeth LeIsraël (K.K.L.), base du domaine foncier public israélien.

1903: Pogromes de Kishinev.
Le gouvernement britannique propose à Herzl de lui donner l'Ouganda pour y créer un foyer juif.


1904: Mort de Théodore Herzl à Vienne.
La Seconde alyah est précipitée par les grands pogromes de 1902 et 1903.
Création du Va'ad Halashon (Comité de la langue hébraïque)

1905: Le septième Congrès Sioniste à Bâle, décide de repousser définitivement la proposition de l'Ouganda, ainsi que toute alternative à la Palestine.

1906: David Green (Ben Gurion) arrive en Israel.
Fondation du premier lycée hébraïque à Jaffa.
Fondation de l'Ecole des Arts Bezalel à Jérusalem.

1909: Fondation d'un petit quartier juif de Jaffa qui deviendra Tel Aviv.
Fondation du Hashomer, premier groupe organisé d'auto-défense.

1910: Fondation de Degania Alef, la "mère des kiboutzim".






La base de l' idéologie sioniste





L'idéologie sioniste, avec le mouvement qu'elle a suscité, s'est donné pour mission de rassembler en
Palestine tous les Juifs
dispersés depuis deux mille ans à travers le monde (Juifs de la diaspora), d'établir un territoire peuplé
exclusivement de Juifs, dans la perspective de leur assurer, compte tenu des persécutions dont ils furent souvent victimes,
une sécurité définitive.

Bien que précédée d'initiatives diverses qui, au cours des siècles, avaient pour but une ré-appropriation
de la Palestine,
elle ne s'est vraiment structurée qu'à la fin du XIXe siècle avec Théodore Herzl. Elle s'est développée
pendant la première moitié du XXe siècle malgré l'opposition prolongée de la grande majorité
des Juifs et, à la faveur de
la seconde guerre mondiale,
s'est concrétisée avec la création de l'État d'Israël en Palestine.

Le sionisme repose sur deux données fondamentales et conjointes du judaïsme :
- une donnée d'ordre religieux : le mythe biblique de la " Terre promise " à un " Peuple élu ", ( le
droit au sol)
- une donnée d'ordre légal : la loi établissant la " race " juive ( le droit du sang).


1 - Le mythe biblique de " la Terre promise " et du " Peuple élu " est le premier pilier de l'idéologie sioniste





Selon le récit bibilique, il existe depuis voici quelque trois mille ans, un contrat (l'Alliance) entre les hébreux
et Dieu.
L' Alliance prévoit que les Hébreux, moyennant obéissance à Dieu, constituent Son peuple privilégié,
le Peuple élu, et reçoivent
en héritage une terre particulière, la Terre promise.

C'est sur les données de ce mythe fondamental du judaïsme qu'est bâtie tout entière l'idéologie
sioniste et que s'est fondé
le " droit historique " sur la Palestine. Même les sionistes non religieux et athées, tels les Pères fondateurs
et la majorité des Israéliens actuels, ont exploité et exploitent toujours ce mythe originel de la Terre
promise par un dieu
qui, pourtant,
n'existe pas pour eux.

Il ne faut pas être surpris de cet apparent paradoxe... C'est que, comme tous les mythes, celui-ci ne possède
pas seulement
une dimension religieuse mais une dimension culturelle. Malgré l'émergence dans les esprits de son
caractère légendaire, il n'en continue pas moins à imprégner durablement la civilisation qui l'a
porté, à meubler son imaginaire
collectif et, partant, à mobiliser des énergies colossales et aveugles.


2 - La loi rabbinique de transmission héréditaire de la judéité en est le second pilier




Alors que les adeptes de la plupart des religions n'ont que le lien d'une croyance commune, et que ce caractère d'adepte est
accessible à tous, le judaïsme établit un lien particulier d'ordre héréditaire.

Fait rare dans l'Histoire de l'humanité, la naissance est le vrai critère d'appartenance :
la loi établit, en effet, que le caractère de juif est transmis par le sang
maternel. Ce caractère est de plus indélébile : même en cas d'apostasie du judaïsme ou de mariage mixte (qui équivaut à une apostasie), tout sujet reste juif selon le Talmud.

Alors que, comme le dit le philosophe israélien Y. Leibowitz , " la notion de "juif" n'était à l'origine ni raciale, ni nationale
mais religieuse ", une évolution s'est produite : la condition raciale(l'hérédité) est nécessaire et suffisante pour être juif et citoyen d'Israël, la condition religieuse (la croyance) absolument facultative.

Quant à J. C. Attias , après avoir constaté que nombre de juifs " n'observent plus le shabat ", " s'habillent comme tout le monde ", que " les traits
discriminants dont l'histoire les avait affublés sont en train de disparaître ", il dit de son côté qu '" il ne reste plus que la race " comme élément distinctif entre un Juif et un non-Juif, cette race qui se transmet par la femme malgré son statut inférieur à celui des hommes, ceux-ci se réservant la transmission du savoir et des valeurs du judaïsme.














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2007-01-23 02:15:37 · 6 réponses · demandé par kato 3 dans Actualités et événements Événements

6 réponses

Le sionisme est une doctrine politique née à la fin du XIXe siècle, en réaction à l'antisémitisme qui régnait alors en Europe. Elle part du principe que les juifs sont partout des minorités et qu'il faut qu'ils soient quelque part une majorité, il faut un État pour les juifs. Malheureusement, les sionistes, qui sont laïques à l'origine, sont aussi profondément imprégnés de culture religieuse et ont donc immédiatement pensé à la Palestine, malgré quelques petites diversions en Afrique centrale ou en Amérique latine. Comme toutes les doctrines politiques mais à la fin du XIXe siècle, c'est une doctrine extrémiste. Elle est fondée sur l'identité juive, elle est dotée d'un caractère profondément racial et puisqu'elle a jeté son dévolu sur une terre qui était déjà habitée, profondément colonial.
Doctrines issues des juifs européens, dévalorisant profondément la culture et les traditions des habitants du pays qu'ils ont volé, le sionisme a eu aussi une attitude extrêmement dure face à tous les juifs arabes que le nouvel État a « importés » d'Irak, du Yémen, du Maroc, Algérie ou d'Égypte. La situation en Israël pour ses juifs arabes est des plus mauvaises, même si elle n'est plus aussi caricaturalement scandaleuse qu'elle l'était dans les années 50 et 60.
D'autre juifs avaient déjà réalisé le rêve d'un retour à Sion, mais en coopération avec la population locale avec laquelle il vivait en parfaite osmose.

2007-01-23 22:34:30 · answer #1 · answered by Anonymous · 4 2

la vrai de vrai définition .... tu n'as pas fini de rire ..... ou tu deviens dépressif a vie ... ou tu pars au Nepal .... ou dans une caverne comme Socrate .... ou tu te dis comme moi que tu as loupe un épisode .... ou comme toutes les sciences humaines la mise en application a dérape ...
bon allez ... ah non je ne peux pas déjà rien que de penser qu il faut que je l'écrive je déprime ....
c'est la valeur absolue de la démocratie ... c'est quand l'Homme est réalisé qu il a trouve son équilibre donc sa Jerusalem ... allez pleurs un bon coup cela passera ...

2007-01-23 02:29:46 · answer #2 · answered by lavender 3 · 1 0

"si on" faisait ceci
"si on" faisait cela
alors on se raprocherait de dieu et du bonheur
le premier peuple religieux est juif
le sionnisme est une derive de la vrai premiere religon pur

2007-01-23 02:58:47 · answer #3 · answered by berger des idées 1 · 0 0

L'idée qui a provoqué la mort et la déportation de millions de Palestiniens et Palestiniennes. Comme c'est une idéologie au même titre que le communisme et le nazisme, la fin justifie les moyens. Dommage pour le "peuple élu" :-/

Heureusement tous les Juifs ne sont pas d'accord avec cette idéologie faussement basée sur la Bible. Hélas il n'y a pas eu assez d'opposition pour empêcher que la Palestine soit envahie (elle était déjà en partie occupée par les Anglais à l'époque).

Mais cette façon de faire le retour à Jérusalem et de déposséder les habitants de la région en invoquant des faits qui se sont produits il y a des centaines d'années pour justifier leur expropriations montre bien le mécanisme vicieux des conflits humains.

Un peuple martyr se fait bourreau à son tour, ne retenant pas la plus grande des leçon, l'amour de son prochain.

2007-01-25 16:06:50 · answer #4 · answered by Anthéos 5 · 1 2

A l'origine, le sionisme signifie le retour à Sion - autre nom donné à Jérusalem . Cette aspiration a toujours existé au sein du peuple juif depuis la diaspora, suite à la destruction du temple de Jérusalem. De nombreux Juifs ont concrétisé cette aspiration au cour de l'histoire, en retournant individuellement à Jérusalem . Suite à de nombreuses persécution, un journaliste et écrivain Hongrois Théodore Hertzl, réussit à la fin du 19ème siècle à lancer un mouvement, appelé sionisme, dont le but est la création d'un état Juif sur les terres de leurs ancêtres. Confrontés aux différents mouvements nationaux qui se développaient en Europe, les sionistes constatent que le peuple juif, soumis aux aléas des interdits et des différents mouvements de haine des pays où il vit, ne peut s’émanciper que dans le cadre d’un foyer national juif. Plusieurs phases d'émigrationauront lieu avant la seconde guerre mondiale, posant ainsi les bases du futur état d'Israel.
La Shoah, si elle a précipité la reconnaissance internationale de l’Etat, a amputé le monde juif de six millions des siens.

De nos jours, le terme sioniste est souvent détourné de son sens. Les nouveaux antisémites utilisent ce terme, afin justement, de ne pas être taxé d'antisémites. Etre antisioniste, c'est plus "politiquement correct" que d'être antisémite.

2007-01-25 06:16:56 · answer #5 · answered by Dave 5 · 0 2

Dérivé de Sion (en hébreu, ציון), le nom d'une colline de Jérusalem, le sionisme est un mouvement politique qui affirme le droit à l'existence d'un État juif en Palestine[1]. Il s'est développé pendant la deuxième moitié du XIXe siècle, notamment parmi les Juifs d'Europe centrale et d'Europe de l'Est sous la pression des pogroms et de l'antisémitisme chronique de ces régions, mais aussi en Europe occidentale, suite au choc causé par l'affaire Dreyfus

2007-01-23 02:19:19 · answer #6 · answered by oreardon2 2 · 0 2

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