50% pédagogie et 50% psychologie ! Si je suis rendu là où je suis c'est parce que j'ai des profs qui ont été à l'écoute et qui n'ont pas eu peur de faire des heures sup. pour parler avec moi...
2007-01-22 01:46:15
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answer #1
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answered by . 3
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T'as déjà essayé de faire boire un âne qui n'a pas soif?
Tant que les enfants devront apprendre des trucs débiles qui ne leur serviront jamais plus ensuite (les équations,les propositions subordonnées,...)tu ne pourras pas les motiver.Comme nous ,ils ont besoin de trouver de l'intérêt à ce qu'il font pour bien le faire.
2007-01-19 15:28:00
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answer #2
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answered by Igel 6
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peut-être en étant moins laxistes ?
il faudrait chercher à comprendre pourquoi , à l'époque de nos parents ( enfin ... des miens ! ) ... les enfants sortaient de l'école primaire avec plus de connaissances que les collégiens ctuels .... pourquoi ils savaient s'exprimer correctement , sans faire de fautes d'orthographe , pourquoi ils maitrisaient la grammaire , savaient compter et raisonner ....
oups j'oubliais .... il faut que les parents soutiennent les enseignants , au lieu de s'impliquer de façon intempestive dans la vie scolaire et de donner raison à leurs rejetons qui se sont faits punir par le gros méchant prof !!!
à mon époque , quand j'étais punie à l'école ...j'avais le reste à la maison !
je te souhaite bon courage , si t'es prof !
2007-01-19 15:01:02
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answer #3
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answered by ♥ cocogatoune ♥ 7
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Salut ! Eh oui, c'est une question que je me pose souvent quand je vois les ptits djeunes qui se croient tout permis, insultent les profs et ne veulent rien faire, puisque "de toute façon, mes parents i sont au chômage, alors pourquoi que j'travaillerais hein ?". Moi je pense qu'il faut sévir au niveau de l'EDUCATION des enfants au sein de leur famille. Les profs ne peuvent rien faire vis à vis d'un enfant qui ne VEUT pas travailler parce que ses parents ne lui ont pas inculqué les valeurs du travail et de l'effort. Que faire ? Les punitions sont prises à al rigolade, les zéros aussi..............
Il faudrait je pense sévir en ce qui concerne les allocations familiales. Les parents d'un enfant qui ne travaille pas par manque de bonne volonté (différent d'un enfant qui a des difficultés attention !) devraient être menacés de ne plus toucher d'allocations. Une fois, deux fois et au troisième avertissement, on suspend les alloc jusqu'au retour d'un comportement scolaire normal. Plus d'insultes vis à vis du personnel enseignant, de meilleurs notes, des efforts...
Je pense que les coups de pied aux fesses du papa et de la maman redeviendraient à la mode et les enfants fileraient plus doux ! Mais je ne suis pas politicienne....... Très dommage que Sarko/Ségo et leur clique ne s'affairent pas plus sur le problème de l'éducation parent/enfant. Très bonne question néanmoins !
2007-01-19 14:57:28
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answer #4
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answered by marciabella 3
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La motivation provient-elle de l'école ou de la famille?
L'enseignant peut-il motiver un élève qui n'éprouve aucun intérêt pour l'école et dont la famille ne voit pas à quoi cela sert?
La seule motivation que peut proposer un enseignant ne serait-elle pas sa compétence dans la/les discipline/s qu'il enseigne?
2007-01-22 15:19:59
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answer #5
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answered by Hermine 4
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Comme toujours, je suis un peu effrayé par les réactions de certains... Certains sortent même complètement de la question posée par la personne en répandant quelque lieux communs qu'il est néanmoins facile de démonter... Puisqu'ils se sont permis d'entrer dans d'autres débats je me le permettrai à mon tour mais uniquement dans l'intention de recadrer le sujet avant de donner ma réponse sur ce sujet.
Partons de cette idée reçue fatigante :
"Ha! Dans le temps, on travaillait mieux!"
Ce qui justifierait donc, aux yeux des partisans de cette formule, qu'on les mette au pas, non mais, ces p'tits c..., autrement dit qu'on revienne aux bonnes vieilles méthodes d'apprentissage: le coup de règle sur les doigts, le tirage d'oreille, les punitions humiliantes, les lignes à copier bêtement, les cours transmissifs (le prof parle à l'élève qui écoute, bien entendu, sagement, comme un petit robot), l'apprentissage par coeur systématique...On a souvent l'impression que ce qui se faisait avant était mieux. Et on vient, avec force de statistiques, dire que les élèves faisaient moins de fautes...
Et bien c'est faux.
Ce qu'on a remarqué, en effet, c'est bien une baisse du niveau catastrophique de l'orthographe, de la grammaire, de la numération et de toutes les connaissances de base... mais uniquement dans les zones les plus défavorisées économiquement et socialement! Pendant ce temps, les zones les plus "riches" (je ne parle pas forcément d'économie) n'ont jamais connu autant d'élèves qui excellaient dans ces matières... Autrement dit, il est en train de se passer au niveau de l'éducation exactement la même chose que ce qui se passe au niveau social: les riches deviennent plus riches et les pauvres deviennent plus pauvres.
Problème familial? Sans doute. L'école ne peut pas tout. On ne peut pas demander aux profs de faire des miracles, surtout quand ils ont 30 élèves dans la classe, dont deux turbulents ua moins. La solution miracle intervient alors: les allocations familiales! Histoire d'enfoncer un peu plus le clou sur des parents qui ne s'en sortent déjà pas avec l'éducation de leur gamin, comme cela est si fièrement répété par certaines personnes probablement au dessus de toute erreur dans l'éducation de leurs enfants (si du moins ils en ont eu...). Mais allez, faisons leur plaisir, le niveau baisse comme on dit!
Et pourtant, la moyenne nationale n'a pas forcément baissée. Il faut dire aussi que le périlleux calcul que certains essaient de faire dépend avant tout des critères que l'on choisit. Qu'est ce qui est le plus important d'après vous, nostalgiques du tableau noir et de l'encrier? Qu'un élève connaisse sur le bout des doigts les particularismes archaïques de l'orthographe français, ou bien qu'il sache réfléchir par lui-même pour éviter d'être manipulé par des politiques ou des chefs religieux de tout bord? Qu'un élève sache réciter par coeur tous les affluents de la Seine ou qu'il sache expérimenter, créer, innover en pratiquant des activités manuelles, physiques ou artistiques? Qu'un élève ait une bonne leçon de morale à l'ancienne, ou bien qu'il comprenne pourquoi il n'aurait pas dû taper son camarade qui ne voulait pas lui donner une carte pokémon?
On oublie un peu souvent de préciser que depuis une trentaine d'année, l'école a changé d'objectifs. Elle ne veut plus créer des bons petits soldats ou de bons petits ouvriers comme c'était le cas en 1900... Elle a l'ambition (et ce n'est pas toujours bien fait ni toujours facile, c'est sûr!) d'apprendre aux jeunes à devenir des citoyens. Ce qui implique que l'élève doit assumer des choix, doit apprendre à parler, doit émettre des avis ce qui est souvent interprété comme du "laxisme" par certains. Donc, amis de Jean Pierre Pernault, toute comparaison avec des résultats (souvent fantasmés d'ailleurs) de l'école d'antan sont complètement inutiles, puisque les objectifs de l'école ne sont plus les mêmes...
Rangeons donc nos petites calculatrices et essayons de réfléchir calmement à comment motiver des élèves pas toujours "faciles". La grande majorité d'entre eux n'étant pas les cas que l'on nous sert au journal de 13h de TF1, nous partirons du principe que nous avons devant nous une classe normale, avec ses cancres, ses lèche-bottes, ses violents, ses hypersensibles et surtout tous ses "normaux" (je vous invite vraiment à lire les aventures du Petit Nicolas, un livre sur l'école des années 1950, vous verrez que l'école traditionnelle pure et sans faille dont certains rêvent est vraiment un extraordinaire fantasme collectif):
Comment faire travailler efficacement les élèves?
En priorité, en le motivant.
De là, comment le motiver?
Outre certaines idées, que je trouve très intéressantes, et qui ont été exprimées par certains avant moi, je vous inviterai à vous poser les questions suivantes:
Très honnêtement, étant enfants, quand avez vous le plus appris? Lorsque le professeur récitait un long monologue sur un cours d'histoire ou bien quand vous étiez sur des fouilles archéologiques avec des spécialistes, au contact avec le terrain? Lorsque vous appreniez par coeur les tables de multiplication ou lorsque le professeur vous proposait un jeu de logique mathématique, une énigme à résoudre? Vous avez peut être été l'une des ces chanceuses personnes qui (comme moi!) avaient soif d'apprendre sans que le professeur les stimule. Mais mettons nous bien dans le crâne, s'il vous plaît, que tout le monde est différent, et qu'on a le droit de ne pas se passionner pour l'utilisation de l'hypothénuse dans le théorème de Pythagore!
Il n'y a pas d'apprentissage complet et durable sans motivation.
Il n'y a pas de motivation sans plaisir.
Il n'y a pas de plaisir si l'on n'est pas acteur de ce que l'on fait.
A paritr de là, je pense que toutes les "recettes" techniques sont permises. Il suffit juste d'avoir un peu d'imagination, ou de se tourner vers ceux qui en ont.
2007-01-20 22:40:15
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answer #6
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answered by Kibou 2
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justement pas du tout en donnant envie de "faire plaisir au prof" parce qu'il est trop sympa ! ce genre de réponse craint à fond. L'idée ce serait pas qu'il y comprenne son intérêt ? le pb vient pas des profs, mais des conditions et des parents.
2007-01-20 03:12:51
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answer #7
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answered by xuxu 3
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En préparant des activités suffisamment riches pour que chaque élève y trouve son compte et que ces activités puissent balayer la notion que l'on envisage de faire acquérir sans perdre trop de temps dans le programme
2007-01-20 01:02:24
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answer #8
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answered by castagnettes 4
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si vous voulez faire travailler vos élèves ,ne pensez pas d'etre un commandant miltaire qui ordonne ses soldat tout le temps alors vous etes le guide ainsi que vos questions soient presenter dansle cadre d'un jeu pour attirer leur attention il faut qu'ils s'amusent en apprenant;B COURAGE
2007-01-19 15:22:47
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answer #9
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answered by Anonymous
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Faut un prof qui s'implique et qui aime ce qu'il fait ! C'est 80% de réussite ! Faut de l'autorité (sans que les parents interviennent au premier désaccord !)
Faut du respect des deux côtés !
Quand un prof est sympa, on a envie de lui faire plaisir, c'est bien connu !
Faut laisser sa chance à chaque élève...et surtout faut diminuer le nombre d'élève par classe !
2007-01-19 14:57:02
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answer #10
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answered by POULETTE86000 2
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