English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

2007-01-19 03:54:58 · 12 réponses · demandé par Anonymous dans Sciences sociales Psychologie

12 réponses

on est la race dominante sur terre

2007-01-19 04:06:32 · answer #1 · answered by idream 3 · 0 0

tout tend même à prouver le contraire quand on voit qu'on a même pas l'intelligence de préserver l'environnement dont dépend notre survie ...

2007-01-19 03:58:05 · answer #2 · answered by Anonymous · 2 0

C'est parce qu'on est doté de créativité. Les autres espèces sont tout aussi intelligent que nous, si on prend par exemple leur mode de chasse qui peuvent être très rusé, mais ils utilisent toujours le même système.
Par conséquent, on a cette capacité à pouvoir modifier notre environnement à notre guise. Les autres espèces sont quant à eux contraint de subir l'environnement sans pouvoir y changer quoi que ce soit.
Et enfin, c'est aussi parce que nous avons la possibilité de transmettre nos connaissances acquises à notre descendance (ex à travers l'école), tandis que les autres espèces apprennent à leur progéniture leur mode de vie afin qu'ils puissent se reproduire (et survivre).
En fait, on est pas plus intelligent qu'eux, on est surtout plus créatif et donc capable de manipuler tout ce qui nous entoure à travers nos inventions.

2007-01-19 23:18:34 · answer #3 · answered by ici & là-bas 2 · 0 0

On peut dire que l'intelligence est l'ensemble des fonctions mentales mobilisées pour l'analyse, la compréhension, et l'organisation du réel en pensées (concepts) chez l'humain, à défaut de connaître celles des autres animaux, notamment les plus évolués.

On peut aussi définir l'intelligence comme étant la capacité à utiliser le raisonnement causal, l'imagination, la prospection et la flexibilité. Elle serait ainsi liée à la faculté d'adaptation, sans s'y réduire.

On admet que l'homme intelligent est souvent celui qui perçoit comme processus unique ce que ses contemporains voient comme phénomènes indépendants.

Ainsi, après les intuitions de Galilée et Descartes, Newton comprit que le jet d'une pierre, la rotation de la Lune et les marées relevaient du même "mécanisme", similitude qui n'était pas évidente. Il percevra aussi comme distincts des phénomènes qui avant lui étaient perçus comme un tout : ainsi masse et poids, ou température et quantité de chaleur, avant que les physiciens ne s'en préoccupent.

Toutefois, il faut bien garder à l'esprit que ce dernier exemple d'intelligence, très caractéristique d'une certaine forme de représentation, est lié à l'héliocentrisme. On a constaté dans l'Histoire ses conséquences sociologiques (voir révolution copernicienne). Les découvertes ultérieures de la physique au XXe siècle (trois autres interactions élémentaires, physique quantique) relativisent cet exemple, tout en le confirmant sur le fond sur le plan des sciences physiques. Cette forme d'intelligence a été poussée à son maximum avec la pensée de Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon (voir aussi philosophie des réseaux), qui pensait que Dieu avait été remplacé par la gravitation universelle.

Un problème est présenté par le fait qu'une personne à l'esprit peu délié considèrera elle aussi comme un phénomène unique ce que ses contemporains voient comme différent, et comme différents ce que ceux-ci voient comme unique. On peut s'en rendre compte en reprenant l'exemple ci-dessus sur Newton dans le contexte actuel, où toutes ces idées sont bien assimilées.

Il ne sera donc pas possible de trancher entre une manifestation d'intelligence et de son absence par autre chose que par l'épreuve du réel. Ce paradoxe a parfois été désigné dans les forums Usenet du groupe fr. sous le nom de Loi de Nadot.

Il est bien évident que l'intelligence est en grande partie un caractère héréditaire (sinon, un chimpanzé ou même un chien éduqué comme un humain devrait avoir l'intelligence d'un humain, ce qui n'est manifestement pas le cas).

Il est non moins évident que l'intelligence est dépendante de l'environnement, tant par les aspects physiques (qualité de l'alimentation par exemple) que par les aspects plus relationnels (contraste entre les enfants privés de soins humains et les autres ; cf. par exemple Kaspar Hauser et les enfants dits « sauvages » ).

Cela n'empêche pas les débats sans fin sur l'importance respectives des deux facteurs, et sur les conclusions à en tirer d'un point de vue politique.

Sir Francis Galton, un cousin de Charles Darwin, proposera par exemple de mettre en place une politique d'amélioration de l'espèce humaine, et inventera le terme eugénisme. Ce point de vue sera même dominant à la fin du XIXe siècle et encore au XXe siècle (mythe de l'Homme nouveau, nazi ou communiste – Nikola Tesla en sera l’un des nombreux partisans). De nos jours, l’extropianisme et dans une moindre mesure le transhumanisme penchent pour un eugénisme à visage humain.

Plus concrètement dans la vie de tous les jours, les différentes opinions sur la part respective de l'hérédité et de l'éducation ont un impact souvent structurant, quoique sous-jacent, sur les stratégies éducatives. Ainsi et par exemple, si la part inné/héréditaire est importante, il faut prévoir des programmes adaptés au niveau (et au type) d'intelligence des enfants, et mettre en place une politique visant beaucoup à repérer les enfants naturellement intelligents et donc « sélectionner » ; dans ce cas, les qualités propres des enfants s'exprimant fortement, des politiques de mélange auront peu d'effet positifs et beaucoup d'effets négatifs (en soumettant les enfants à un régime intellectuel inadapté, trop riche ou trop pauvre selon le cas). Inversement, si la part éducative est forte, il est inutile de sélectionner mais au contraire il faut stimuler, et on peut prévoir des programmes très homogènes ; en outre, des politiques de « mixité sociale » pourront atténuer les différences initiales d'intelligence entre les enfants sans inconvénient pour eux.

2007-01-19 05:18:46 · answer #4 · answered by mozar41 4 · 0 0

Puisque l'HOMME est fait à l'image et à la ressemblance de DIEU.Et que DIEU étant la sagesse infinie ,son image ne peut qu'être sagesse et intelligence

2007-01-19 04:41:17 · answer #5 · answered by président 2 · 0 0

Le fait même qu'on se pose une telle question.
Cependant, le mot "intelligents" n'est peut-être pas très bien choisi, car très subjectif, difficile à définir, et ça a une connotation très positive.

2007-01-19 04:16:33 · answer #6 · answered by lottie14 5 · 0 0

peux etre les animaux mais pas sur car eu aussi sont tres inteligent

2007-01-19 04:14:10 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 0

Rien.
On a juste la possibilité de se projeter dans l'avenir , d'avoir la conscience de notre propre existence et de se poser des questions sur le but de notre vie .
Mais si les rats avaient été plus gros, ils auraient certainement conquis la planète à notre place.

2007-01-19 04:09:31 · answer #8 · answered by CYMERIA 5 · 0 0

C'est relatif, c'est le fait de vivre dans un système réputé fonctionnel par rapport à d'autres systèmes où les sociétés sont instables, et les populations vivent continuellement dans des troubles.

2007-01-19 04:04:52 · answer #9 · answered by hichem r 2 · 0 0

rien, absolument rien...

Chaque jour, l'homme semble au contraire prouver qu'il est le plus imbécile des êtres vivants existant sur la planète.
il n'y a qu'à voir l'utilisation que l'on fait de nos ressources, de nos biens, de cette terre qui nous nourrit et que l'on souille.

Maintenant, la réponse officielle à ta question est le langage. L'homme a le langage le plus évolué et complexe, ce qui tend à prouver qu'il est le plus intelligent sur Terre.

Il nous reste beaucoup de chemin à parcourir pour prouver cela.

2007-01-19 04:00:17 · answer #10 · answered by Macperdu 2 · 0 0

fedest.com, questions and answers