La violence a été bannalisée par la télévision, film, jeux vidéos etc....
Je pense que notament les + jeunes n'ont pas du tout la meme perceptions de la violence......désolant
2007-01-18 19:48:53
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answer #1
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answered by Sweet 2
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Comme l'autre dit dans le film, 'la mort appelle la mort'. Les evenements violents et la haine ont toujours existe mais la couverture mediatique et l'exposition en place publique aujourd'hui sont sans comparaison avec ce qui existait 50 ans plus tot. Les revelations menees tambour battant (affaire Dutroux, tournantes dans les cites etc) ont du venir exciter certains qui sans ça se seraient tenus a carreau ; cela dit peut-etre d'autres qui seraient passes a l'acte ont ete dissuades en voyant les lynchages, mediatique ou physique (peut-etre un ou 2 dictateurs descendront de leur trone avec un air de redemption attristee apres la derniere sortie de Saddam?)
Enfin l'un dans l'autre et sans lien avec les 2 exemples cites c-dessus, rien n'a change (en tout cas ce n'est pas facile a mesurer), sauf la communication a outrance qui sous pretexte de faire progresser la bien-pensance ne fait que nous donner la nausee.
2007-01-19 04:31:00
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answer #2
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answered by Lau 5
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trop médiatisés et banalisé.
En France:
Il y a autant de bastons en proportion de la population qu'avant, mais les le moindre règlement de compte privé entre gros durs peut facilement devenir une affaire d'état.
Cela devrait se règler dans la communauté.
Ex: à l'armée, aucune bagarre ne dépassait le niveau de l'adjudant qui punissait "officieusement" les types (corvée, suppression de permission, garde sup,..) sans jamais en avertir la gendarmerie. Il faut dire que les plus violents avaient été "calmés" par le caporal ou le sergent afin qu'il se tienne sage devant lui.
=> pas de "tâche" dans les état de service, ni de "trou".
Vous imaginez "la guerre des boutons" aujourd'hui ?
Il y aurait tout de suite descente de CRS dans la bataille finale et embrasement de 3 autres cité par mimétisme.
Je rappelle qu'un brave paysan y perd son tracteur; une fortune pour l'époque !
De mon temps (province années 80) on avait un CODE D'HONNEUR:
La bagarre c'était
1) à la SORTIE de la classe,
donc aucun danger qu'un prof ne se prenne de coup en s'interposant
2) sur le TERRAIN VAGUE ou dans la FORET
sans commerce aux vitres trop fragiles ni bagnole aux plastiques
trop inflammable
3) à MAIN NUE
pas d'encombrement des urgences hospitalières, maman suffisant à soigner les bobos. L'épée de BOIS n'était utilisée qu'exceptionnellement dans les grandes batailles ou duel d'honneur quand tout le monde avait le casque de plastique de skateboard et la cuirasse en carton réglementaire.
4) arrêt au PREMIER SANG et pas de coup à terre
On était des vrais garçons !
Aujourd'hui la Racaille se bat dans la classe en boxant le prof
(origine de la "boxe éducative" ?), dans la rue en pétant les bagnoles et vitrines avec des barres de fer, lames et armes à feu et achevant les victimes ou sol ou en leur pétant les articulations grâce au judo appris aux lycée !!! ou dans la MJC subventionnée. Un comble !
Dans le monde
avant CNN et LCI, les fusillades existaient, mais moins de journalistes les couvraient.
N'oubliez pas de la France n'a cessé d'envoyer des appelés non-volontaires au casse type jusqu'en 1962 fin de la guerre d'Algérie
et que mai 68 a failli être une Commune bis...
2007-01-19 04:08:48
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answer #3
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answered by Raison sauf si j'ai tort 3
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commun, commun, c'est même plus commun, c'est QUOTIDIEN.
2007-01-19 03:48:38
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answer #4
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answered by Anonymous
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