Je ne suis pas spécialiste.
A mon avis, ce doit être extrêment difficile. Il faut aussi beaucoup de temps pour pouvoir "digérer" les évènements et "analyser" ce qui s'est passé.
Je pense que ce doit être très confus. J'imagine que la victime doit naviguer entre le pardon et le syndrome de Stockolm.
2007-01-18 19:07:49
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answer #1
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answered by Sanndy 7
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Le pardon c'est forcément après alors que le syndrome de stockolm c'est pendant
2007-01-22 13:41:54
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answer #2
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answered by Annulation en cours 7
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Le syndrome de Stockolm, c'est plus que du pardon, c'est un ralliement à la cause du bourreau (par exemple dans le cas d'une prise d'otages).
Mais parfois je me demande si on ne sort pas le coup du syndrome de Stockolm à n'importe quelle occasion pour ne pas écouter ce que les victimes ont à dire. Peut-être certaines ont-elles été réellement convaincues de la cause défendue par des preneurs d'otage (souvent opposant du régime en place) ou du moins leur ont trouvé des circonstances atténuantes. Peut-être ont-elles été témoins de choses que les personnes extérieures ne peuvent pas savoir, ce qui peut changer leur vision de choses. Comment peut-on être sûr qu'il s'agit d'un syndrome de Stockolm et non d'un simple avis dans certains cas ?
2007-01-19 03:54:19
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answer #3
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answered by lottie14 5
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eh bien quand on pardonne on oublie pas pour autant le mal qu'on nous a fait, du moins, on ne le minimise pas et surtout on considère toujours l'autre comme notre bourreau.
Tandis que le fameux syndrome de Stockholm, la victime porte une affection particulière à son bourreau et oublie presque le mal qu'il lui a fait...elle le défendra quoiqu'il en coute puisque dans sa tete, c'est lui son sauveur en quelque sorte.
2007-01-18 20:38:15
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answer #4
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answered by CYMERIA 5
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Quand la personne est dans le pardon, elle le sait intimement. Rien n'est nié, aucune blessure, aucun fait quel qu'il soit. C'est un mouvement d'ouverture du coeur mais dans le réel, les deux pieds bien sur terre. Aucune illusion.
Ce qu'on appelle parfois le syndrome de Stockolm est basé sur un déni. La personne se cache à elle-même la réalité de sa souffrance et c'est souvent lié à une histoire personnelle. On refuse de voir la vérité en face. Bien sûr la personne ne le "sait pas" puisqu'elle ne se l'avoue pas. Ma conviction, c'est qu'en profondeur quelque chose en elle le sait quand même. Quand elle arrêtera de se couper de cette voix, elle ouvrira les yeux. Et là le chemin du pardon deviendra de nouveau possible éventuellement.
Seule la vérité peut libérer.
2007-01-18 19:45:43
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answer #5
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answered by Anonymous
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pardonner, c'est prendre conscience du mal que qqn nous a fait et lui accorder son pardon, mais en n'oubliant jamais.
le syndrôme de stockolm, c'est nier le mal fait, minimiser et porter une forte affection (presque idolatrer) au responsable de ses souffrances.
2007-01-18 19:11:10
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answer #6
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answered by lilou 3
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