à déconseiller....
2007-01-16 10:53:36
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answer #1
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answered by elpmas 4
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Le mal, le bien , la vérité , le mensonge , l'amour , la haine, et bien d'autres Tout ces sentiments contraires font partie intégrante de l'homme . Pourquoi essayer de les différencier? un jour tu croieras faire le bien en faisant du mal ; Comme tout sentiment humain , cela dépend des moments , des circonstances , des situations . Rien n'est rigide , rien n'est fixé a l'avance , rien ne peut être pareil d'une personne a l'autre; Pour répondre a ta question , je dirais que la recherche du bien excuse tout.
2007-01-16 19:12:46
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answer #2
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answered by Protagoras pour rire avec vous 7
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Aborder une telle question, nécessite la mise au point qu'a soulevée DixNeuf.
Cependant, si nous répondons subjectivement, nous serions tenté de dire que l'éducation, passe par l'expérimentation du bien et du mal.
Si la philosophie orientale, a noté que ces deux entités étaient inséparables, nous comprenons alors, que seul notre point de vue, justifie l'existence de ces deux entités.
Si nous persistons dans le dogme religieux imposé par les églises ( quelles qu'elles soient ), nous ne pouvons appréhender cette question que par un "non" exclusif.
Enfin, le libre-arbitre, nous recommande de participer au 'jaugement" des situations, afin d'agir en "conscience".
2007-01-16 23:46:44
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answer #3
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answered by hiram abif 3
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Qu'est-ce que le mal ? Qu'est-ce que le bien ? Des notions subjectives, séculières et sociales très amplement fluctuantes ...
Au-delà de cela, l'intérêt d'instituer une règle est de permettre au plus grand nombre de poursuivre une expérience instructive dans leur vie matérielle ... Le "mal" peut leur servir tout autant que le "bien", ne serait-ce que pour se confronter à une réalité non encore investiguée et y réagir par un ressenti nouveau ...
On apprend de tout et le mal d'un temps peut devenir le bien du lendemain ...
2007-01-16 18:59:13
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answer #4
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answered by Dixneuf 6
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En aucun cas. Le mal n'engendre que le mal.
2007-01-16 18:55:56
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answer #5
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answered by Pulsar 6
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Il faut distinguer le bien en tant que contenu ou but (par exemple je vole les riches pour donner aux pauvres, l'acte de voler étant répréhensible) du bien comme forme (ce qui compte, c'est la nature de l'action).
Dans le premier, comme c'est un pricipe d'efficacité qui prime, les moyens importent peu du moment qu'on réalise le bien ("la fin justifie les moyens"). Dans le second, on considère que la nature des moyens colorent largement les fins.
Je partage c dernier point de vue: le bien réside dans la forme de l'action plus que dans le contenu. Considérer que le bien réside dans le but ou le contenu c'est le rendre dépendant d'un critère d'efficacité (si on rate le but fixer, on n'est plus bon), or l'abbé Pierre n'a pas toujours pas réussi à régler le problème des sans logis, pourtant personne ne soutiendrait qu'il n'est pas bon.
Et même si c'est pour donner aux pauvres, comment un Robin des bois peut-il légitimer la rappine des riches (finalement il est comme eux)?
Nietzsche disait: "Lorsqu'on combat un ennemi, on est tenté de tenté d'utiliser les mêmes armes que lui voir pire. Dès lors, prends garde de ne pas devenir celui que tu combats. Quand on regarde l'abysse, l'abysse aussi regarde en toi".
Conseil à suivre.
2007-01-17 03:58:27
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answer #6
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answered by Gally Léo 5
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Pourquoi ne pas avoir recours au bien pour réaliser le bien?
2007-01-17 03:31:31
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answer #7
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answered by tresenverve 2
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Edward Jenner et Louis Pasteur ont sans doute pensé que oui.
Et la vaccination (qui consiste à soigner le mal par le mal) sauve encore des milliers de vie.
Quelques pistes de réflexion ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mal
2007-01-16 19:32:26
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answer #8
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answered by piloulac 2
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beaucoup de gouvernements l appliquent
2007-01-16 19:11:49
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answer #9
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answered by dubcien 5
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Sujet de dissert qui joue sur le paradoxe, et sur la question de la fin et des moyens. Peut on user du mal comme moyen pour réaliser le bien comme fin. Deux positions s'offrent à nous. Soi l'on répond oui en pensant très fort à Machiavel et à sa maxime "la fin justifie les moyens" soit on pense que le mal n'a pas sa place dans la quête et surtout la réalisation du bien, et donc on répond négativement.
Kant versus Machiavel...
2007-01-16 18:56:30
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answer #10
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answered by zanospi 1
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