Baisse de l'impot sur les sociétés, baisse des taxes sur le travail, incitation à l'emploi, diminution des avantages pour ceux qui refusent de travailler, encouragement à la creation d'entreprise, suppression de l'ISF et de toute la fiscalité qui fait fuir les capitaux et les entreprises. Lutte contre la fénéantise organisée, meilleure gestion du budget de l'Etat. Réhabilitation de l'effort et des filières technologiques. Encouragement fiscal pour les femmes au foyer (qui s'occuperont enfin des enfants)... etc etc
2007-01-11 11:34:15
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answer #1
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answered by Anonymous
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Aucune mesure : c'est foutu !!! La dérèglementation et la mondialisation engendre une fuite naturelle des emplois vers des pays à bas coût de main d'oeuvre, c'est la délocalisation.
Et ce n'est pas l'europe qui nous aide, car en accueillant la Roumanie et la Bulgarie, elle fait preuve d'une bien grand naïveté ou d'un savant calcul pour enrichir ses élites.
Nous sommes, à titre individuel, mis de plus en plus en concurrence, donc ce sera de plus en plus dur.
On trouvera bientôt que rémunérer un français au smic c'est beaucoup trop d'argent, et qu'il vaudra mieux payer des pseudos salariés des pays de l'est.
2007-01-11 18:42:42
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answer #2
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answered by Anonymous
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Le rôle des banques doit être changé, pour faire reculer et remettre en cause la dictature de la rentabilité financière et des actionnaires, promouvoir un crédit sélectif en faveur de l’emploi.
Il s’agit de responsabiliser socialement et territorialement les entreprises en changeant leurs relations avec les banques à partir d’un crédit nouveau, alternatif au financement par les actionnaires.
Le suivi et le contrôle par les salariés et les élus sera organisé grâce aux conférences régionales pour l’emploi, aux pouvoirs nouveaux créés pour cela.
Des fonds régionaux pour l’emploi et la formation prendraient en charge la bonification des prêts bancaires, dans la mesure où ils développent emplois et formation.
Tous ces fonds régionaux seraient associés dans un fonds National pour l’Emploi et la Formation géré avec les élus, notamment territoriaux, et des représentants des CE, dans le cadre de programmes nationaux d’emploi et de relance des filières industrielles et de services.
Outre des dotations budgétaires, il serait tout de suite doté des 20 à 23 milliards d’euro annuels représentant les exonérations de cotisations sociales patronales.
Les PME , qui représentent 63% de l’emploi total et 53% de la valeur ajoutée en France, de même que les artisans et les petits commerçants, seront particulièrement concernées par ces nouveaux dispositifs qui sécuriseront leur création, leur développement et leur transmission.
Elles disposeront ainsi de marges de manoeuvre très accrues dans leurs rapports avec les grands donneurs d’ordre et les réseaux de distribution.
2007-01-11 19:36:57
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answer #3
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answered by trotskaille 4
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Si il y avait une mesure miracle elle aurait déjà été prise.
- Il faut bien sur relancer la consommation en augmentant le pouvoir d'achat des ménages
- Il faut évidemment baisser les charges qui pèsent sur l'emploi
On peut faire les 2 d'un coup en diminuant les charges patronnales sur les salaires et en redonnant la moitié de l'argent économisé sous forme de prime au salarié. Ce n'est qu'un début il faudrait évidemment d'autres mesures, notamment pour lutter contre la concurrence déloyale de certains pays qui font travailler les enfants et ne respectent aucun droit social.
Evidemment il faudrait que les français jouent le jeu en dépensant leur argent plutôt qu'en le mettant de côté, il y a donc un pacte de confiance à mettre en place.
2007-01-11 20:53:39
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answer #4
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answered by Doc 6
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Baisser fortement la taxation sur le travail.
Supprimer les allocations de chômage, et les remplacer par une allocation universelle.
Financement par une taxe sur les transactions financière (qui décourage la spéculation mais pas les investissements de long terme).
Mettre en place un financement des pensions qui aille graduellement vers un financement privé (patronal et employé).
2007-01-11 18:31:20
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answer #5
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answered by martinbayot75 2
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Ca ne les intéresse pas. La droite pour satisfaire les patrons afin qu'une pression soit exercée sur la salariés et les salaires par un marché de l'emploi instable et tangeant, la gauche pour cultiver des bataillons maléables qu'on envoie manifester et protester lorsque le besoin s'en fait sentir. Et parce que chercher des solutions pour le travail, c'est fatiguant.
2007-01-11 18:29:46
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answer #6
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answered by augustin dadiani 6
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microcredits pourquoi pas: plus responsabilisant que des indemnites chomage
2007-01-11 18:28:43
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answer #7
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answered by yo21000 2
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Pour relancer l'emploi en France il faut une révolution des mentalités à plusieurs niveaux.
1°) L'effrayant conservatisme intellectuel dans l'enseignement universitaire français et les médias économico-politiques : les autismes néomarxistes d'un côté et ultralibéraux de l'autre doivent laisser une petite place pour l'éclosion et le développement de la nouvelle pensée économique, appelée aussi pensée économique "sociétale" (une économie au service de la société et non uniquement au service de l'administration ou de la bourse).
2°) Développer les emplois privés dits "sociétaux" (indispensables à la société) que ni le privé ni le public ne sont capables de pourvoir avec les réglementations actuelles. Notamment en abaissant fortement les charges et les impôts dans les secteurs d'activités les plus utiles et les plus déficitaires (débrousaillage, crèches, accompagnement scolaire, aide aux retraités et aux handicapés, etc.).
3°) Restaurer l'ACCRE (don sous forme d'avance RMI et Assedic aux chômeurs créateurs d'entreprises et d'emplois) supprimée par Juppé en 97 et hypocritement rétablie de manière stérile sous la forme d'un prêt rendu inaccesible (car nécessitant l'obtention préalable d'un crédit bancaire ordinaire).
4°) Restaurer le service public du crédit confisqué à la population qui en avait le plus besoin (les pauvres et les précaires) au profit des riches ou des CDI) par une loi d'union de la gauche (dite loi "Neïertz). Une urgence, notamment pour deux types d'investissements : la création d'entreprises et d'emplois ainsi que l'accès au logement (crédit mutualisé automatique si le crédit (charges comprises) revient moins cher que le loyer assumé depuis (par exemple) 3 ans. Voir politique VLC du zéro SDF (1996).
5°) Relancer la "recherche populaire" par une réforme et un co-financement de l'Etat du dépot des brevets.
6°) Associer les universités, les centres de recherches et les entreprises pour limiter la terrible hémoragie de nos chercheurs et techniciens vers l'étranger.
7°) Transformer l'Etat et les régions en partenaires économiques pour dynamiser les grands projets (comme aux USA, au Japon, en URSS, en Chine, au Brésil, etc.).
8°) Créer un outil de financement (DTSL) pour les investissements économiques publiques qui puisse (sans inflation) libèrer progressivement l'Etat de ses dettes (la lourde charge des seuls intérêts représente 25% du budget national).
9°) Développer plus de les liens de co-développement avec les pays émergents, afin d'ouvrir de futurs marchés exportateurs à la France et générer un processus de retour volontaires d'immigrés dans leurs pays.
10°) Instauration d'un service civile universel (hommes, femmes, ainsi que les sans papiers volontaires) tourné vers la deuxième chance éducative (3 mois à 3 ans en fonction des apprentissages librement choisis) et l'humanitaire dans le Quart-Monde (en France) comme dans le Tiers-Monde.
11°) Lutter contre les concurrences internationales déloyales (dumping fiscal, social, salarial, environnemental).
Exemple récent du spectaculaire et scandaleux aveuglement socialiste en IdF soutenant le canadien Bombardier contre Alsthom pour le marché des trains d'Ile-de-France : 17% de différentiel via les charges sociales + 22% de différentiel via un $ canadien plus faible et... absence d'appel d'offre dans les marchés Canadiens ! (permettant de baisser ensuite les prix à l'étranger). Résultat ? Ressouces financières (50% de prélèvements obligatoires) et des centaines d'emplois perdus pour un gain "superficiel et à courte vue" de 10%.
12°) Développer l'écoute "transversale" et la collaboration productive entre les partenaires sociaux. Accès symbolique (mais réèlle et utile) des chômeurs et des usagers de l'administration, aux institutions pour éviter les autismes et détournements de NOS propositions (exemple de la tentative d'escroquerie sociale via "NOTRE" CPE).
Etc., Etc. Lire le programme du collectif trans-partis VLC. Et surtout, faire attention aux habiles et coûteux) camouflages du chômage qui ont mené tous les comptes sociaux à la faillite :stages, pré-retraites, exemptions de recherche d'emploi (pour raisons médicales, de dépression ou d'âge), contrats de transition professionnelle permettant de toucher les Assedic sans être inscrits comme chômeurs, etc., etc., Les ENArques de droite et de gauche sont hyper doués pour cela (ils dillapident nos impôts et taxes tout en n'ayant jamais créé d'entreprises et d'emplois eux-mêmes; es grandes sociétés où ils "pantouflent" parfois, licencient, ou embauchent des machines et des "salariés délocalisés" au Maghreb ou en Asie).
Les victimes de l'administration Française en ont assez des "postures sociales" de politiciens hypocrites ou autistes (de gauche ou de droite). Ségo et les autres devront "accentuer" et "prouver" leur volonté "d'institutionaliser l'écoute".
2007-01-11 20:04:17
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answer #8
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answered by remy_ronald 2
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@agaucheto :
Toujours la même rengaine :
"500 000 offres non satisfaites" : le chiffre est faux (propagande ump) mais même s'il était vrai, tu fais quoi des 3,5 millions de gens sans emplois qui restent après avoir pourvu toutes les offres dispo ?
ah oui, tu leur "supprime le RMI" :
sais tu que c'est la droite qui a créé le RMI ? et sais tu pourquoi ? parce que c'est un prix infime à payer pour pas se retrouver avec la tête tranchée, ce qui arriverait à nos "dirigeants" si les gens n'avaient plus aucun moyen de survie...
2007-01-11 19:16:54
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answer #9
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answered by Lo L 4
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Il y a 500.000 offres d'emplois en France non pourvues!
Donc premierement reduction de la durée d'indemnisation du chomage et suppression du RMI sans recherche d'emploi active ou sans équivalent de travail d'interet général effectué. Deuxiemement mise en place de concours à l'entrée des université dans les filères sans débouchées et mise en place de liens etroits entre les universités et le monde de l'entreprise.
Troisiemement suppressions des départs à en retraite anticipées et augmentation de l'age de départ, car ces retraites précoces non seulement freinent l'embauche des seniors mais coutent aussi énormément à l'économie française.
2007-01-11 18:36:47
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answer #10
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answered by Anonymous
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