- perfectionnistes
- irréprochables
- ouverts à toutes critiques
- inébranlables
- etc... irréprochables quoi !!!
2007-01-11
10:22:07
·
21 réponses
·
demandé par
Repère
2
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
Tu as raison Gally Léo, involotairement (ou à cause de mon inconscient....!!!!) j'ai induis vos réponses en employant le mot "trop". Pardon !!! C'est au moins la preuve que je ne suis pas parfait....!!!! Ouf !
J'en ai connu quelques uns des "parfais" (à l'école dans mon milieu professionnel, etc...), et ils étaient vraiment parfaits (à mes yeux). J'étais sans doute envieux et c'est pour cette raison que je les voyais "parfait".
Contrairement à ce que tu dis, ils étaient assez humbles, ils ne sermonaient personne, ils n'embêtaient personne, etc... par contre, ils étaient toujours à l'heure, sans avoir jamais rien oublié, plein d'attention pour l'entourage, serviables, humoristes, discutant sur tout....!
Ils se contentaient de raffler les premières places, les premiers prix, leurs productions étaient cent fois meilleurs que les miennes ou celles des autres, et ils ne foutaient rien, à par lire l'équipe à longueur de journées !!!
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2007-01-11
20:41:49 ·
update #1
Ils étaient sprotifs, spirituels, beaux mecs, etc...
Toutefois, je n'ai jamais souhaiter les approcher car je pressentais chez eux un intérêt à se voir entouré. Ils avaient tendance à engager les gens de leurs entourage dans leurs idées, leurs projets, et leurs ambitions.... Je les percevais comme des manipulateurs en herbe.
J'ai perdu tout contact avec ces gens là, mais par personne interposée, je sais que l'un d'eux a fait fortune (grosse fortune) en créant une entreprise qui s'agrandit à la vitesse grand V.
Je me demande bien quelle est la part de place restante pour leurs enoutrages ? Comment peuvent-ils s'épanouir....?
Il y a aussi le coté obscur que décrit celticbee et qui a croisé des personnages de ce gerne, mais plutôt des psychorigides
destructeurs. Ces gens semblent avoir eu sur elle lors de son enfance un effet destructeur... mais là, je pense qu'il s'agit d'un autre type de personnage....
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2007-01-11
20:46:45 ·
update #2
Certains sont vraiment doués et tant mieux pour eux ! D'autres cherchent à leurs ressembler... Je me demande si derrière cette recherche de la perfection, il reste une place pour le bonheur ? Faire semblant, c'est se mentir à soi-même... J'imagine que leur univers tout entier et tronqué. Comment ces gens ne deviennent-ils pas fous ?
Pour moi, les vrais fous sont ceux qui sont convaincus qu'ils sont dans la vérité. C'est peut être le genre de personnage que l'on retrouve dans les sectes ? Q'en pensez-vous ?
Permettez-moi de reformuler ma question....
Il y a deux types de personnages :
- Le premier est le personnage doué voué à un grand avenir,
- le deuxième est celui qui veut lui ressembler.
Comment peut-on faire la distinction de l'un sur l'autre ?
Consentiriez-vous à partager votre univers avec le premier ?
Pourquoi ?
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2007-01-11
20:50:34 ·
update #3
Sossoia, je n'irai pas jusqu'à dire qu'ils étaient sages...
Pour moi la sagesse commence par l'honnêteté envers sois-même... Elle ne garantit pas la d'atteindre la "perfection". Ce n'est d'ailleurs surement pas le but de la sagesse. A la place elle admet l'erreur, comme l'échec, mais elle engendre derrière un travail philosophique, psychologique, ou autre...
Je n'ai pas la preuve que ces gens là étaient honnêtes envers eux eux-mêmes... Vos avis sont peut être différents ?
Ils ne s'autoproclament parfaits, car le faire c'est faire une erreur. Ils laissent les autres le dire à leur place, en prenant la précaution de refuser ce compliment. A la place, il le dédie à quelqu'un d'autre.. peut être même toi en te le retournant...
C'est un peu le genre de personne qui après un partiel dit qu'il a échoué lamentablement, alors qu'il s'en sort avec un 18,5/20 alors que les autres rament pour garder la tête hors de l'eau...
Je ne vois pas de sagesse dans ce comportement.
2007-01-11
21:38:41 ·
update #4
Re-bonjour Sossoia... les autres restez on va sortir les cacahuètes ;-) !!!
Pour moi, il n'y pas que 2 catégories personnes. J'ai établi une distinction minimale pour simplifier une approche spécifique. Il faut percevoir cette distinction comme une "tendance à se comporter comme tel". Je suis conscient que l'homme est complexe et unique. D'un point de vue déontologique, cela passe souvent mal de faire des catégories, mais en PNL comme en analyse transactionnelle on catégorise bien les comportements que l'on rattachent ensuite à des individus? Catégoriser, engendre des erreurs, mais je ne vois pas d'autres moyens de conduire une analyse qu'en simplifiant le problème de départ s'il est trop complexe ou si des divergences apparaissent. On peut choisir ne plus se poser de question!
L'objectivité, c'est de s'affranchir de ses préjugés et de nos propres influences. C'est pas toujours aisé, aussi, des avis extérieur peuvent nous aider à trouver une position centrale et neutre.
2007-01-12
04:33:14 ·
update #5