Je suis pour, mais pour les mêmes raisons que toi (enfin, l'histoire de la maison de retraite). Par contre, si on a une maladie incurable et qu'on sait qu'on va bientôt mourir et souffrir, je ne vois pas l'intérêt de rester en vie. J'attendrais jusqu'au moment où on ne peut plus rien faire. Autre possibilité: si on devient un légume. Franchement, si je suis un légume, je veux qu'on me débranche! Si mon cerveau est mort, quel est l'intérêt d'être maintenu en vie? Quant au coma, je demanderais qu'on arrête les machines au bout d'un certain temps (au bout d'un certain temps, même si tu te réveilles, en général, il te manque pas mal de capacités intellectuelles... Et ça, c'est QAUND tu te réveilles!). Il y a aussi pleins d'autres situations, mais tu vois ce que je veux dire? Bien sûr, il faut que le cadre de loi soit clair.
2007-01-10 13:29:58
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answer #1
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answered by Offkey 7
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je pense que l acharnement therapeutique ne respecte en aucune facon le desir de vivre ou mourir de l individu qui l exprime ceci est bien un choix personnelle ni la religion ni la medecine n on le droit d usurper notre vie et pourtant meme si je suis croyante ma foi me l interdirais cela ne m empecherais pas de trouver juste que de decider oui ou non par moi meme mon desir de vivre ou mourir ma concience elle s arrangeras avec dieu le moment voulu.
2007-01-10 22:36:54
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answer #2
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answered by Anonymous
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Ni pour ni contre !!
Je pense que l'euthanasie ne peut être que tolérer. On ne peux pas écrire des textes là dessus, décider de quelle façon et quand et par qui. C'est du cas par cas et c'est très délicat. Je respecte le choix de certaines personnes qui veulent en finir ... mais en le légalisant on peut arriver à des abus où des sauveurs de la douleur joueront aux héros !
Cette alternative doit peut à peut rentrer dans les moeurs.
2007-01-10 22:02:39
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answer #3
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answered by kitty 2
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Je suis pour! et je ne veux pas finir mes jours dans d'horribles souffrances, si je sais que c'est incurable je demande l'euthanasie et si personne ne se décide? bien que n'aimant pas le suicide? je me chargerais de supprimer ma vie!
2007-01-10 17:57:08
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answer #4
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answered by Blondie 6
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tout ceux qui meurent chaque jour ne le decident pas alors si pour une fois certains estiment qu'ils veulent partir, laissons les y aller. à quoi sert il de vivre si on doit pourir la vie à d'autres? l'étique s'inspire de la réligion mais la religion n'est pas le socle de la vie en société. faudrait donc evoluer dans le debat et permettre à ceux qui vivent comme des légumes de dormir tranquillement.
2007-01-10 14:59:30
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answer #5
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answered by silvere 2
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Je suis pour.
Pas envie de moisir pendant des mois relié à des appareils médicaux. La médecine fait des progrès et j'ai parfois l'impression que cela mine le moral de pas mal de gens.
Ca fait des années que je suis malade et que je passe des séjours en hôpital. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre de fois où j'ai entendu des gens qui en ont marre de vivre (parce que réduits mais toujours vivants, prothèses, organes artificiels etc...)
Mais bon, scotcher une personne sur un lit jusqu'au jour où la mort l'emportera sur les machines qui le maintiennent en vie artificiellement, je trouve que c'est dingue.
J'ai l'impression que de mourrir de "sa belle mort" (comme on dit) n'arrive quasiment plus...
Et puis, il y a un discours qui me travaille souvent.
Le trou de la sécurité sociale et la culpabilisation des gens qui en dépendent.
Je suis à la CMU et je n'ai rien demandé pour ça. Je suis malade et personne ne veut m'employer (je comprends, mon taux de productivité est minable). Je suis, aux yeux de certains, un parasite.
Arrêter de maintenir en vie des gens en phase finale pendant des semaines, c'est aussi faire des économies. Pourquoi ne pas euthanasier tout les sans-emplois ou les retraités, c'est-à-dire les plus grands débiteurs de la Sécu ?
Voyez, en écrivant ces quelques lignes, on peut mettre le doigt sur quelque chose qui ne sent pas bon au sujet de l'euthanasie... en arriver à des abus.
Pour conclure, il faudrait trouver un cadre législatif permettant tout à la fois de légaliser l'euthanasie tout en imposant des limites.
Cela sera tout bénef, sauf pour les labos pharmaceutiques.
2007-01-10 13:37:10
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answer #6
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answered by ottomatik 3
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On ne peut pas savoir ce qu'est le désir de mourrir tant que ça n'arrive pas à nos proches ou à soi-même.
C'est difficile d'avoir un avis sur l'euthanasie tant qu'on est pas concerné.
J'ai vu des gens qui voulaient se suicider juste pour une histoire d'amour mais 2 ou 3 jours après,il avait la rage de vivre et ils se trouvaient débile d'avoir voulu passer à l'acte.
Pour un handicapé ou un malade grave,j'ai déjà vu la même chose.Un séropositif voulait mourir car il ne voulait pas souffrir mais il s'est rendu compte que la vie,on n'en a qu'une.Il a repris goût à la vie car il se rend compte des bons côtés qu'il peut y avoir de vivre.
Mais je te comprends quand tu dis que l'euthanasie est bénéfique car il y a des situations presque impossible à gérer.
Mais tant qu'on peut gérer,vivons.
Si tu n'as ni bras ni jambes et que tu es aveugle,là c'est sûr,rien ne sert de vivre,je suis tout à fait d'accord.
Il faut trouver l'équilibre et analyser le contexte.
2007-01-10 13:02:43
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answer #7
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answered by YOUSFI 4
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Mon système de pensée est différent.
Un jour j'ai ouvert une revue (Paris Match), et je vois la princesse Diana en train de chialer, dans sa rolls, avec son beau manteau et tous ses bijoux.
J'ai refermé cet ouvrage, me suis indigné, et exprimé ma pensée aurpès du Seigneur Dieu, ainsi libellée:
Beaucoup d'entre eux meurent de faim, ou ne savent m^me pas de quoi ils vivront le lendemain.
Cette femme pleure pour des histoires de c...
Reprends-moi ça !>
Le lendemain, il est arrivé ce que vous savez à l'intéressée.
Et son beau-père peut remuer ciel et terre, il n'y a pas de 'grands complots secrets'. Il y a moi. POINT BARRE
2007-01-10 13:11:03
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answer #8
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answered by Le Grand Monarque Universel 3
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