_ il y a en France de la misère, et beaucoup trop, mais il y a une récupération politique de cette misère par tous les bobos pourris et bien-pensants, il fut une époque où il y avait toujours un clochard dans un quartier de Paris, personnage avec un grand mal de vivre, échoué là par l'accumulation de malheurs, mais aujourd'hui nous avons en plus de véritables malheureux sans famille, sans travail, sans logis, des "pro de la cloche", venus de tous les coins de la terre et qui vivent de l'exploitation et de l'exposition de cette "misère" .
_ Ceux là trouveront toujours une vedette de cinéma, un chanteur en mal de pub pour se faire photographier et parler à la télé !!!
2007-01-16 03:52:13
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answer #1
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answered by caporal_epingle 6
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Tu dois comprendre que tout a change... Et certaines categories de la population deviendront de plus en plus riches et d'autres de plus en plus pauvres... C'est pourquoi les hommes politiques doivent etre prets pour faire face a ces fleaux du temps actuel touchant les enfants Don Quichotte. C'est un fleau moderne du a la pauvrete et aux injustices humaines qui merite d'etre traite avec tous les moyens possibles et avec toutes les possibilites...
2007-01-10 15:59:42
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answer #2
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answered by Jourd'hui 7
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je pense qu'ils ont fait le jeu des politiques, la vraie misère ne se voit pas, et je vous assure qu'il y en a................
2007-01-17 12:06:24
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answer #3
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answered by joubarde1 2
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Depuis quelques temps, beaucoup s’extasient devant ce qu’il est à la mode de nommer «la vague compassionnelle», ou «la démocratie compassionnelle». Nos sociétés seraient emportées par des vagues de générosité, des bouffées de pitié, qui l’emporteraient sur toute autre considération, et qui feraient de nous des gens de plus en plus généreux. Ceux-là citent en exemple la générosité pour le Téléthon, pour le Sida, pour les Restaus du CÅur, pour les victimes du Tsunami, et, tout récemment encore, l’intérêt pour le climat ou pour les SDF. Comme j’aimerais que cela soit vrai! Et je ne nie pas que des gens, fort nombreux, de plus en plus nombreux mêmes, soient sensibles, par altruisme, à ces causes. Mais en réalité, si ces campagnes prennent et que d’autres, comme le Darfour, ou les victimes du tremblement de terre au Cashmere, ne prennent pas, si tant de gens continuent de souffrir de la bilharziose, de la malaria, de la faim, de la misère, de la dictature de par le monde, c’est que nos sociétés ne sont compassionnelles que par égoïsme: Les maladies génétiques et le Sida touchent les riches comme les pauvres. La précarité peut toucher chacun d’entre nous et le tsunami a concerné des touristes occidentaux en grand nombre. Le climat ne nous concerne que depuis que nos zones tempérées sont menacées de températures dont souffrent des milliards d’hommes depuis des siècles. Quand aux SDF, il a fallu que des centaines de tentes, bien visibles parce que rouges, viennent faire éclater la misère aux yeux des bourgeois, petits et grands, pour que chacun se précipite pour faire disparaitre ce qui, pour beaucoup, qui ne l’avoueront jamais, est d’abord une pollution visuelle. Il faut vivre avec cet égoïsme généralisé, et tenter d’en faire une source d’altruisme intéressé. Tout ce qui pourra rendre plus visible, plus gênante, plus contagieux, plus dangereux même, le malheur des autres aidera à faire prendre conscience de ce qui doit changer. Vite
2007-01-13 04:27:08
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answer #4
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answered by Gargadu55 7
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