non c'est le cas mais on a juste un peu de mal à s'imaginer l'infini ....
2007-01-10 04:08:05
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answer #1
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answered by Anonymous
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immaginez un univers qui est formé par un TOUT
ce TOUT il est inclus ou enveloppé dans un autre TOUT,
Tous ces TOUTS sont Partout dans un autre TOUT
Imagine l´univers micro cosmique. Ton corps représente un univers macro cosmique.l´atome qui est en toi est une galaxie qui fonctione comme nos galaxies Macro cosmique. etc..
avec ce raisenement peut etre que notre univers est dans une tasse de café d´un type qui va prendre dans 5 minutes son bus pour aller travailler.
pas mal hein ?
notre fantaisie est plus puissante que toute logique rationalisée pour comprendre les limites de l´´ univers,
2007-01-10 13:25:11
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answer #2
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answered by chemacir 2
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En fait, j'aime bien les scientifiques qui disent "dans la limite de nos connaissances"....
Mais apparement, c'est le cas.... l'univers est un tout... donc, c'est vrai que c'est très difficile à comprendre d'autant plus qu'on dit qu'il est en extension.... donc... s'il est infini.... "dans quoi" est-il en extension ???
2007-01-10 12:13:15
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answer #3
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answered by Anonymous
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oui c'est absurde puisqu'il ne l'est pas!!!
2007-01-11 10:16:29
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answer #4
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answered by Anonymous
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On peut compléter la question en se demandant s'il peut être à la fois infini dans l'espace et infini dans le temps? Certains diraient en gros que cela se rejoint dans un espace courbe.
Personnellement je n'ai pas de réponse
2007-01-11 10:09:23
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answer #5
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answered by Starless 2
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Si l'univers est fini... Alors dans quel milieu est notre univers ? Et avec autant de réactions nucléaires qui produise tant de lumières, ne devrait-on pas avoir des nuits éclairées ? (avec la lumières des astres et la lumière "ayant rebondit" sur les limites de l'univers)... Et le pire, avec toutes ces lumières, on devrait avoir chaud !!!
Si on n'observe rien de tout cela, alors notre postulat de départ : "l'univers est fini" est faux... Ceci dit, cela ne signifie pas que "l'univers est infini"... D'ailleurs, pour les mathématicien, l'infini est une inconnue (il me semble).
Donc peut-être (et j'insiste sur ce peut-être) l'univers est infini ! ;-)
2007-01-10 17:54:10
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answer #6
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answered by sung 4
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il y a 3 théories à ce sujet:
-Une courbure spatiale nulle correspond à des sections spatiales décrites par la géométrie euclidienne. => valeur d'oméga=0
-Une courbure spatiale positive correspond à l'analogue tridimensionnel de la géométrie sphérique. => valeur d'oméga>1
-Une courbure spatiale négative correspond à une géométrie hyperbolique. => valeur d'oméga<1
pour l'instant, la sonde WMAP à enregistré des valeur d'oméga est de 1,023 +- 0,02, ce qui conclu à dire que l'univers est clos.
la question de l'expansion va alors ce poser.
La densité de l'Univers est inférieur à la densité critique.
Quand on parle de densité, on parle de la densité de masse et d'énergie contenue dans un espace en expansion. Une partie de cette énergie, appelée énergie sombre, aurait la faculté de pouvoir accélérer l'expansion. => infini
2007-01-10 16:35:50
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answer #7
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answered by o0_belgium_0o 4
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On nomme univers l'ensemble de tout ce qui existe, comprenant la totalité des êtres et des choses, celle-ci comprenant ou non, selon les philosophies, les choses immatérielles. Si l'on suppose qu'il y a plusieurs parties totalement séparées entre elles ou existant parallèlement, on parle de multivers, chaque partie étant un univers.
L'Univers est une notion scientifique qui désigne l'ensemble de la matière distribuée dans le temps et dans l'espace ; son étude fait l'objet de la cosmologie.
Les observations du décalage vers le rouge des rayonnements électromagnétiques en provenance d'autres galaxies suggèrent que celles-ci s'éloignent de notre galaxie, à une vitesse radiale d'éloignement supposée proportionnelle à ce décalage.
En étudiant les galaxies proches, Edwin Hubble s'est aperçu qu'en général la vitesse d'éloignement d'une galaxie était proportionnelle à son éloignement, ce qui est connu sous le nom de loi de Hubble ; une telle loi correspond à un univers proche en expansion.
Bien que la constante de Hubble ait été révisée par le passé dans d'importantes proportions (dans un rapport de 10 à 1), la loi de Hubble a été extrapolée aux galaxies éloignées, pour lesquelles la distance ne peut être calculée au moyen de la parallaxe ; cette loi est ainsi utilisée pour déterminer la distance des galaxies les plus lointaines.
En extrapolant l'expansion de l'Univers dans le passé, on arrive à une époque où celui-ci a du être beaucoup plus chaud et beaucoup plus dense qu'aujourd'hui. C'est le modèle du Big Bang qui est un ingrédient essentiel du modèle standard de la cosmologie actuelle et possède aujourd'hui un grand nombre de confirmations expérimentales. La description du début de l'histoire de l'Univers par ce modèle ne commence cependant qu'après qu'il soit sorti d'une période appelée ère de Planck durant laquelle l'échelle d'énergie de l'univers était si grande que le modèle standard n'est pas en mesure de décrire les phénomènes quantiques qui s'y sont déroulés. Durant cette époque, seule une théorie de la gravitation quantique pourrait expliquer le comportement microscopique de la matière sous l'influence importante de la gravité. Mais les physiciens ne disposent pas encore (2006) d'une telle théorie. Pour des raisons de cohérence avec les observations, après l'ère de Planck le modèle du Big Bang privilégie aujourd'hui l'existence d'une phase d'inflation cosmique très brève mais durant laquelle l'univers aurait grandi de façon extrêmement rapide. C'est suite à cette phase que l'essentiel des particules de l'univers auraient été créées avec une haute température, enclenchant un grand nombre de processus importants[1] qui ont finalement abouti à l'émission d'une grande quantité de lumière, appelé fond diffus cosmologique, qui peut être aujourd'hui observé avec une grande précision par toute une série d'instruments (ballons, sondes spatiales).
C'est l'observation de ce rayonnement fossile micro-onde, remarquablement uniforme dans toutes les directions qui constitue aujourd'hui l'élément capital qui assoit le modèle du Big Bang comme description correcte de l'univers dans son passé lointain. Beaucoup d'éléments du modèle restent encore à être affinés[2] mais il y a aujourd'hui consensus de la communauté scientifique autour du modèle du Big Bang.
Dans le cadre du modèle ΛCDM, qui est le plus simple incorporant toutes les éléments qu'on vient d'évoquer, les contraintes issues des observations de la sonde WMAP[3] sur les paramètres cosmologiques indiquent une valeur la plus probable pour l'âge de l'univers à environ 13,7 milliards d'années[4] avec une incertitude de 0,2 milliard d'années, ce qui est en accord avec les données indépendantes issues de l'observation des amas globulaires[5] ainsi que celle des naines blanches[6].
Une importante question de cosmologie qui reste sans réponse est la forme de l'Univers.
Est-ce que l'univers est plat ? C'est-à-dire : est-ce que le théorème de Pythagore pour les triangles droits est valide à de plus grandes échelles ? Actuellement, la plupart des cosmologues croient que l'univers observable est (presque) plat, juste comme la Terre est (presque) plate.
Est-ce que l'univers est simplement connexe ? Selon le modèle standard du Big Bang, l'univers n'a aucune frontière spatiale, mais peut néanmoins être de taille finie.
Ceci peut être compris par une analogie bidimensionnelle : la surface de la terre n'a aucun bord, mais possède une aire bien déterminée. Vous pouvez également penser à un cylindre et imaginer de coller les deux extrémités du cylindre ensemble, mais sans plier le cylindre. C'est aussi un espace bidimensionnel avec une surface finie, mais au contraire de la surface de la Terre, il est plat, et peut ainsi servir de meilleur modèle.
Par conséquent, à proprement parler, nous devrions appeler les étoiles et les galaxies mentionnées ci-dessus « images » d'étoiles et de galaxies, puisqu'il est possible que l'univers soit fini et si petit que nous pouvons voir une ou plusieurs fois autour de lui, et le vrai nombre d'étoiles et de galaxies physiquement distinctes pourrait être plus petit. Des hypothèses d'univers multiconnexe ont été proposées et sont en cours d'étude.
Selon sa densité moyenne de matière et d'énergie, l'univers continuera à s'étendre indéfiniment ou il sera gravitationnellement ralenti et s'effondrera sur lui-même dans un « Big-Rip » ou « Big Crunch ». Actuellement, l'état de nos connaissances suggère non seulement qu'il y a insuffisamment de masse et d'énergie pour provoquer cet effondrement, mais que l'expansion de l'univers semble s'accélérer et continuera donc pour toujours.
D'après une théorie de Stephen Hawking (dans son livre Une brève histoire du temps), si l'univers continue indéfiniment à s'étendre, les particules issues d'explosions successives ne seront plus assez proches les unes des autres pour recréer des étoiles après leur explosion. Toute activité dans l'univers s'éteindra ainsi à jamais.
2007-01-10 13:12:48
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answer #8
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answered by mozar41 4
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non...
2007-01-10 12:18:06
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answer #9
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answered by remaille1 4
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L'univers est fini, bien qu'à cause de l'espace courbe vous ne soyez jamais confronté à un mur.
Tout simplement parce que la nuit, le ciel est noir.
Si l'univers était infini, il y aurait une infinité d'étoiles et elles rempliraient le ciel qui serait saturé de blanc.
2007-01-10 12:18:02
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answer #10
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answered by bigjim 6
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Cette question sans argumenter, on reste sur sa faim!!
Pourquoi serait-ce absurde???
L'a-t-on seulement dit??? Est-on sûr que l'univers même immensément grand soit vraiment infini, sans limite??
Ce serait absurde si l"univers serait fini, soit avec des limites?
Heureusement l'homme se pose la question: l'univers est-il infini?
En fait, ce qui est absurde, c'est la question posée.
2007-01-10 12:17:51
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answer #11
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answered by moniroje 3
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