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Je suis toujours surpris que personne ne se pose la question

Tout le monde semble oublier que un mois après les présidentielles on retourne tous voter pour les legislatives.
Je sais que la réforme du quinquénnat a essayé tant bien que mal de bloquer cette possibilité en imposant des légilsatives tout de suite après les présidentielles afin que le parti du président bénéficie d'un "mouvement" lui permettant d'avoir la majorité au Palais Bourbon

Mais en cas de duel droite/gauche serré en mai (et non en cas de duel tronqué, je pense qu'on peut envisager sérieusement un "sursaut" un mois plus tard des perdants, surtout que les législatives sont moins marquées par la présence du FN et plus propices aux "petits arrangements" politiques locaux.

2007-01-09 00:42:34 · 8 réponses · demandé par schnockelloch 2 dans Politique et gouvernement Élections

8 réponses

Bonne question. Oui, bien sur.
Présidentielle et législatives ont été mises ensemble et pour 5 ans et pour éviter cela. Peut etre était ce meme le but caché de la dissolution de 1997. Mais les Français aiment les contre pouvoirs.
Et puis les 2 grands partis ont appeler à voter OUI en 2005, cette défaite commune les rapproche.

2007-01-09 09:08:00 · answer #1 · answered by dominique M 5 · 0 0

OUI, c'est constitutionnellement possible, c'est d'ailleurs en partie pour cela que quand on est passé au quinquénat, on n'a pas supprimé le droit de dissolution.

Vu la tournure bi-personne (plus que bi-parti) que prennent les présidentielles, et vu les propositions "droitières" de Ségolène, et les propositions "gauchères" de Nicolas, il peut effectivement y avoir des surprises aux législatives... Ca ne m'étonnerait pas des francais !

2007-01-09 09:11:51 · answer #2 · answered by Anonymous · 0 0

OUI je vois Bien le PEN president
avec une assemblee socialiste
on va etre mort de rire

Un conseil des ministres socialistes preside par LEPEN

ah ah mdr

2007-01-09 09:11:36 · answer #3 · answered by sargolene 1 · 0 0

elle l'est

2007-01-09 08:53:20 · answer #4 · answered by GABY 5 · 0 0

Oui, cela peut se faire. Mais il faudra vraiment un vote très serré.
Le mode de scrutin des législatives est quand même très fort pour transformer une petite tendance nationale en faveur d'un parti en grosse victoire aux législatives.

Le rôle de l'UDF va être déterminant aussi.
Si Bayrou fait un bon score aux présidentielles (j'aimerais espèrer qu'il gagne, mais c'est autre chose), il faut qu'il présente des candidats dans la plupart des circonscriptions (à condition d'en trouver des compétents bien sûr) et qu'ile ne donnent pas de consignes de désistement nationales, qu'il laisse ses candidats décider en leur âme et conscience, selon leur expérience locale, ce qu'ils font en cas d'élimination au premier tour ou de ballotage défavorable dans une triangulaire ou quadrangulaire. S'il atteint un étiage d'une trentaine de sièges, on peut espérer une chambre sans un PS ou un UMP hégémonique.

2007-01-09 08:53:17 · answer #5 · answered by Loïc M 4 · 0 0

vu la tournure que prends la campagne il y a de grandes chances pour que cela finisse comme en Allemagne et l'élection de Mme MERKEL,elle a été contrainte de faire une coalition (autre nom de la cohabitation) gauche/droite.....

2007-01-09 08:51:49 · answer #6 · answered by jessie 75017 3 · 0 0

Tout est possible..je sens qu'on va être de nouveau surpris...!!!

2007-01-09 08:51:43 · answer #7 · answered by FRANCIS 6 · 0 0

A priori tous les scénarii sont possibles : la victoire d'un camp à la présidentielle dope en général les élections parlementaires pour le parti présidentiel, lorsqu'elles se déroulent dans la foulée.

Toutefois, la réduction à 5 ans du mandat présidentiel fait qu'une hypothèse de cohabitation se trouve diminuée du fait de la durée de mandat entre l'assemblée nationale et celui du chef de l'Etat qui sont identiques.

Le seul risque important que je verrai (toujours en théorie) pour la possibilité d'une cohabitation est le décès d'un chef d'Etat au cours de son mandat (le ou la nouvel(le) président(e) pourrait être d'une couleur politique différente de celle de l'Assemblée).
Autre risque : une dissolution voulue par le chef de l'Etat qui pourrait se retourner contre lui (cf. 1997).

2007-01-09 08:50:14 · answer #8 · answered by Bâtard Bol Misputh 6 · 0 0

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