English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

Il y a 3 porte a ouvrir:
1ere porte - on y lit:Change le monde et as face arriere: Accepte le monde
2eme porte - on y lit: Change les autres et a sa face arrirer: Accepte les autres
3eme porte - on y lit: Change toi-meme et a sa face arriere: Accepte toi-meme

2007-01-08 09:34:05 · 13 réponses · demandé par rousserolle 2 dans Societé et culture Savoir vivre

13 réponses

Les 3 portes sont en réalité la même porte : c'est une illusion de croire qu'on est différent des autres. En faisant du bien aux autres, on se fait du bien à soi aussi.
Pourquoi changer quoi que ce soit ? Pour la justice, pour le besoin de vie ? D'où vient ce besoin de justice ou de vie ? De ce qui existe déjà. On ne "change" que ce qui vient d'un besoin déjà existant. Donc ça va changer de toutes façons. Et si le besoin est fugace, ce n'est pas un vrai besoin.
La plénitude, c'est d'arriver à passer sans avoir besoin des portes.

2007-01-08 09:48:59 · answer #1 · answered by magnon86 6 · 2 0

Salut Rayna, c'est pas évident tes phrases mais je vais essayer d'y répondre !
Pour moi, je choisirais plutôt la troisième ! C'est en changeant soi même que l'on arrive à la sagesse !
Allez, bien à toi, bonne année, amitié Isa

2007-01-08 09:41:17 · answer #2 · answered by I S A 6 · 2 0

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince
courageux, habile et intelligent. Pour parfaire
son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès
d'un Vieux Sage.

"Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie", demanda
le Prince.

"Mes paroles s'évanouiront comme les traces
de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant,
je veux bien te donner quelques indications. Sur ta
route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes
indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin
irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche
pas à t'en détourner, car tu serais condamné à
revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis
t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans
ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis
cette route, droit devant toi."

Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea
sur le Chemin de la Vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur
laquelle on pouvait lire "CHANGE LE MONDE".

"C'était bien là mon intention, pensa le Prince,
car si certaines choses me plaisent dans ce monde,
d'autres ne me conviennent pas." Et il entama son
premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur
le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre,
à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant,
mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer
certaines choses, mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
Bien des années passèrent.

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
"Qu'as-tu appris sur le chemin ?" "J'ai appris,
répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon
pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi
et ce qui n'en dépend pas". "C'est bien, dit le
Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce
qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à
ton emprise." Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde
porte. On pouvait y lire "CHANGE LES AUTRES".
"C'était bien là mon intention, pensa-t-il.
Les autres sont source de plaisir, de joie et
de satisfaction, mais aussi de douleur, d'amertume
et de frustration." Et il s'insurgea contre tout
ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez
ses semblables. Il chercha à infléchir leur
caractère et à extirper leurs défauts.
Ce fut là son deuxième combat.
Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité
de ses tentatives de changer les autres, il croisa
le Vieux Sage qui lui demanda : "Qu'as-tu appris
sur le chemin ?" "J'ai appris, répondit le Prince,
que les autres ne sont pas la cause ou la source
de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
et de mes déboires. Ils n'en sont que le
révélateur ou l'occasion. C'est en moi que
prennent racine toutes ces choses." "Tu as raison,
dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi,
les autres te révèlent à toi-même. Soit
reconnaissant envers ceux qui font vibrer en
toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers
ceux qui font naître en toi souffrance ou
frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne
ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu
dois encore parcourir." Et le Vieil Homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte
où figuraient ces mots "CHANGE-TOI TOI-MÊME ".
"Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
c'est bien ce qui me reste à faire," se dit-il.
Et il entama son 3e combat. Il chercha
à infléchir son caractère, à combattre ses
imperfections, à supprimer ses défauts, à changer
tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout
ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut
quelque succès, mais aussi des échecs et des
résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
demanda :

Qu'as-tu appris sur le chemin ?"

"J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en
nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres
qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à
briser."

"C'est bien," dit le Sage.

"Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à
être las de ma battre contre tout, contre tous,
contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de
cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner,
de lâcher prise." "C'est justement ton prochain
apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant
d'aller plus loin, retourne-toi et contemple
le chemin parcouru." Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le
lointain la 3e porte et s'aperçut qu'elle
portait sur sa face arrière une inscription qui disait

"ACCEPTE-TOI TOI-MÊME."

Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette
inscription lorsqu'il avait franchi la porte la
première fois, dans l'autre sens. "Quand on combat,
on devient aveugle, se dit-il." Il vit aussi,
gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui :
ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites,
tous ses vieux démons. Il apprit alors à les
reconnaître, à les accepter, à les aimer.
Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer,
se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

"Qu'as-tu appris sur le chemin ?"

"J'ai appris, répondit le Prince, que détester
ou refuser une partie de moi, c'est me condamner
à ne jamais être en accord avec moi-même.
J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement,
inconditionnellement."

"C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première
Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3e
porte."

À peine arrivé de l'autre côté, le Prince
aperçut au loin la face arrière de la seconde
porte et y lut

"ACCEPTE LES AUTRES".

Tout autour de lui, il reconnut les personnes
qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il
avait aimées comme celles qu'il avait détestées.
Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait
combattues. Mais à sa grande surprise, il était
maintenant incapable de voir leurs imperfections,
leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement
gêné et contre quoi il s'était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. "Qu'as-tu
appris sur le chemin ?" demanda ce dernier.
J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en
accord avec moi-même, je n'avais plus rien à
reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux.
J'ai appris à accepter et à aimer les autres
totalement, inconditionnellement." "C'est bien,"
dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse.
Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la
face arrière de la première porte et y lut

"ACCEPTE LE MONDE".

Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette
inscription la première fois. Il regarda autour
de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à
conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé
par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur
perfection. C'était pourtant le même monde
qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé
ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.

"Qu'as-tu appris sur le chemin ?"

"J'ai appris, dit le Prince, que le monde
est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
pas le monde, elle se voit dans le monde.
Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
Quand elle est accablée, le monde lui semble
triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai.
Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était
pas le monde qui me troublait, mais l'idée que
je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans
le juger, totalement, inconditionnellement."

C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme.
Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec
les autres et avec le Monde." Un profond sentiment
de paix, de sérénité, de plénitude envahit le
Prince. Le Silence l'habita. "Tu es prêt,
maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit
le Vieux Sage, celui du passage du silence de
la plénitude à la Plénitude du Silence".

Et le Vieil Homme disparut.

2007-01-08 10:24:20 · answer #3 · answered by M♥oohay♥M 5 · 1 0

Il faut prendre les portes dans le bon ordre!.....On ne peut changer le Monde en l'acceptant que si on s'accepte soi-même1
Ensuite,on doit regarder les Autres et les accepter, car nous sommes les Autres 2.- Puis,comme Nous somme TOUS les Autres de quelqu'un d'autre,il nous suffit de changer nous-même pour changer le Monde .

2007-01-08 09:57:26 · answer #4 · answered by M'sieur 5 · 1 0

porte 3. Je trouve les deux autres un peu prétentieuses et ambitieuses...

2007-01-12 06:36:42 · answer #5 · answered by forsythia 5 · 0 0

personnellement je choisirais la troisième porte

2007-01-11 09:19:22 · answer #6 · answered by sandy 1 · 0 0

la porte de la cuisine car j'ai faim et il est sage de manger...

2007-01-11 07:06:16 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 0

je dirai la troisième porte car il me parait essentiel de s'accepter soi même pour être capable d'accepter les autres !!
ce que l'on reproche souvent aux autres ce sont nos propres lacunes !!

2007-01-10 23:41:13 · answer #8 · answered by monicklhay94 7 · 0 0

que dire après la belle histoire racontée par OOHAY?
parfait

2007-01-08 16:17:31 · answer #9 · answered by Padawan 7 · 0 0

Aucune des trois, car il me semble que je suis encore trop jeune pour que la Sagesse daigne me pénétrer et rester en moi. Ce n'est ni un poids, ni un fardeau, mais rester humble. Peut-être que les plus grand sages font preuve d'humilité et ne savent pas qu'ils puissent l'être. La Sagesse, ne la recherche pas, elle viendra un jour à toi... et se présentera comme telle, aussi simplement...
et les portes de tes intérogations s'ouvriront d'elle-mêmes, sans que tu n'ais à en choisir une.

Tes trois portes sont les unes à la suite des autres...

L'Orgeuil du Savoir et de la Connaissance, poussera chacun d'entre nous a vouloir ouvrir une porte.

Pourtant, tour à tour, ce sont les portes que nous ouvrons quand nous vivons dans le monde, celui de tous les jours, le monde que nous avons sous les yeux, les amis et personnes avec qui nous vivons et quand nous méditons, on se retrouve avec soi-même.
Pour se changer, il faut déjà se connaître, savoir ses "faiblesses". Vouloir changer, ce n'est pas accepter ses faiblesses, orgeuil et vanité !


Merci pour ce moment de réflexion

2007-01-08 10:09:37 · answer #10 · answered by michel g 5 · 0 0

fedest.com, questions and answers