Quand on voit ses proches décliner, pensez-vous que la vie est une bien drole de futilité?

Answer 1

Loin de l' être..........
si nous possédions le temps, nous l' arrêterions afin que
nos parents soient en meilleur forme physique.
Mais aussi, qu' ils puissent toujours être auprès de nous.
On prend réellement conscience soudainement,
des effets du vieillissement, et du choc
que cela nous provoque, quand on les voit partir
en décrépitude. Les photos sont là,
pour nous rappeler que le temps passe vite,
mais qu' on ne peut le remonter, et qu' il faut
vivre, vivre heureux avant toutes choses:
-" bien dans son corps, dans sa tête en allant de l' avant."
Par c' qu' aujourd' hui nous sommes là,
demain on n' sait pas.........?!
Nos choix nous les faisons inconsciement et
par les contraintes de la vie au quotidien,
spirituellement comme physiquement.
Mais les jours, les heures, les minutes et les secondes
s' écoulent lentement et silencieusement,
sans que nous nous en apercevions
puis un jour...........trop tard !
Pas philosophique comme réponse,
pour ma part, si je ne les aimais pas autant,
j' en oublierai pas, jusqu' à ma propre vie.
C'est ainsi..........ils méritent bien plus.
Yatilunps a tout juste.
Bonne journée au Matou d' internet.

Answer 2

Dure et salvatrice expérience que celle faite au quotidien dans
l'accompagnement des êtres très aimés que l'on voit peu à
peu disparaître de l' acuité de la vie.Absences, regards
vides d'ici, déjà ailleurs.Petits pas glissés et tremblants,
fragilité poignante.
Outre la douleur de les voir ainsi, ils nous renvoient l'image
qui sera la notre demain et cela est destructeur, ce vécu
anticipé de notre futur.
Cette expérience remet nos ridicules déboires au rang qui
leur convient....des petits riens!

Answer 3

C'est toujours difficile de les voir partir chaque jour un peu plus.
On aimerait qu'ils soient toujours tels qu'on les a connus.
Nous sommes tous de passage. Essayons de laisser le meilleur de nous mêmes.
Etre proches d'eux, jusqu'à la fin, même si ça nous rend malheureux, après la douleur, restent les souvenirs, ceux où il est bon de se réfugier quand dehors il fait si gris.