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Bonjour a tous , une question culturelle concernant l'histoire. C'est pour voir ce que vous pouvez me dire en 10 lignes
==> A vous de jouer !

2007-01-01 22:32:00 · 11 réponses · demandé par Raph! 3 dans Societé et culture Religions et spiritualité

11 réponses

christophe colombe a découvert l'amerique ! voila !!!!!!!!!!

@+


lol


1451 - 1492

En ce XVème siècle, les voyages dans le vieux continent ont déjà été réalisés. Marco Polo a atteint la Chine. Mais les besoins économiques, les ottomans qui bloquent les accès vers l'Asie, poussent l'Europe a faire de nouvelles découvertes maritimes, d'ouvrir de nouvelles routes. Si le Portugal semble être le candidat idéal pour ces découvertes, c'est d'Espagne que tout commencera. Un homme va changer la perception du monde. Il s'agit de Christophe Colomb.



Christophe Colomb (voir l'image) est un personnage entouré de mystères. Le premier concerne sa naissance. On le voit catalan, corse, portugais ou juif. En fait, il vient au monde dans la ville de Gênes en 1451, dans une famille d'artisans, son père Domenico Colombo étant tisserand. Christophe Colomb, jeune garçon plein d'intelligence mais sans aucune culture, ne souhaite pas se cantonner à la vie de petit artisan qui lui est promise. Il désire vivre des aventures bien au-delà des horizons de la ville de Gênes. Pourtant cette ville va lui permettre de réaliser ses rêves car elle est un important port européen foisonnant de bateaux qui agitent l'imagination du jeune Christophe Colomb.

Cela soulève un autre mystère. Quand Christophe Colomb a-t-il pris le large, quittant sa destinée toute tracée ? Ce qui est sûr, c'est qu'il fait partie d'un équipage partant vers une île de la mer Egée en 1471-1472. Il sait maintenant que c'est dans ce domaine qu'il veut réussir. Pour cela, il complète son expérience de la navigation par un apprentissage de connaissances en comptabilité, en cartographie et en cosmologie. A l'âge de vint cinq ans, il embarque sur les navires des grandes familles génoises, les Centurioni, les Spinola et les Negroni, en direction de l'Angleterre et des Flandres. Christophe Colomb est blessé au cours d'une attaque des français au large de Gibraltar (voir l'image). Une fois soigné au Portugal, il reprend la mer. Et là encore le mystère plane sur les destinations qui seraient l'Angleterre et l'Islande. Dans ces pays du nord, Christophe Colomb entend des récits de terres lointaines vers l'ouest, des récits de noyés découverts et qui avaient les yeux bridés. Christophe Colomb croit que ces terres sont celles de Gengis Khan. L'observation de fortes marées à l'automne 1476 le pousse à penser qu'il doit exister d'autres terres pour expliquer leur puissance. On lui rapporte également les récits vikings et la découverte d'une autre terre appelée Vinland (qui serait le Labrador d'aujourd'hui).

Aussi, en 1478, il regagne Lisbonne, ville maîtresse de l'océan Atlantique, mais également ville de science dans laquelle on souhaite élucider les questions en suspend sur le monde de l'époque. Dans cette ville qui a connu Henri le Navigateur, Christophe Colomb travaille avec acharnement afin de parfaire ses connaissances. Après la lecture d'une étude de Ptolémée, il est persuadé que la Terre est ronde. D'où il pense qu'il peut trouver une route vers les Indes en passant par l'Atlantique. Ses motivations sont scientifiques (il croit en la rotondité de la Terre), d'intérêt pratique (il veut trouver une nouvelle route des épices vers l'ouest) et personnelles (il souhaite faire fortune). Il demande à son frère Bartolomeo de le rejoindre afin de l'aider à cette tâche. Colomb apprend le latin, consulte cartes et livres de géographie, s'initie à l'étude de l'Univers. Mais toutes ses investigations qui nourrissent son esprit, ne nourrissent pas son corps. Christophe Colomb accepte donc de conduire un navire plein de sucre de Madère à Gênes, sa ville natale.

En 1479, de retour à Lisbonne, il épouse Felipa de Perestrello, issue de la noblesse portugaise, mais sans argent. Elle permet cependant au navigateur de s'introduire dans ce cercle fermé de la noblesse de ce pays. Ils s'installent sur l'île de Porto Santo, gouvernée par le frère de Felipa. Pendant ce séjour qui dure de 1480 à 1483, leur fils Diégo verra le jour. Regardant l'horizon de l'océan Atlantique, Christophe Colomb croit dur comme fer que la Chine se trouve de l'autre côté. Cette conviction aurait été renforcée par l'échouage d'un madrier décoré d'une façon inconnue en Europe et par les mots d'un marin mourrant qui disait venir d'une terre de l'ouest inconnue. Cela est peut être seulement une légende ; encore un mystère. Profitant de son séjour, Christophe Colomb apprend à naviguer dans les latitudes tropicales, se rendant plusieurs fois au Ghana.

Colomb rentre à Lisbonne en 1483, avec Felipe et Diégo, accueilli par son frère Bartolomeo qui se consacre dorénavant à la cartographie. En 1484, il est reçu par Jean II, roi du Portugal (voir l'image). Ayant écouté les explications du navigateur, le souverain réunit une commission qui refuse le projet de Colomb. Jean II le relit mais ne préfère pas s'engager, le Portugal étant déjà investi dans l'exploration de l'Afrique. De plus, Christophe Colomb a des prétentions importantes, souhaitant en autre être anobli et obtenir le grade d'Amiral. Un autre explorateur fait la même proposition au roi du Portugal. Il s'agit de Ferdinand Van Olmen. Cependant ce dernier finance lui-même son expédition. Jean II accepte. Parti en 1487, ce flamand ne réapparaîtra jamais.

A cette époque, Christophe Colomb a quitté Lisbonne. Couvert de dettes, il part pour l'Espagne, laissant sa femme qui mourra peu de temps plus tard, sans qu'il l'ait revue. Il est en Andalousie en 1485, accompagné de son fils Diégo. A cette époque l'Espagne a fini sa Reconquista, assiégeant la dernière ville aux mains des arabes : Grenade.

Colomb confie son fils au père Marchéna, au monastère de la Rabida (voir l'image), souhaitant une bonne éducation pour son fils. Il évoque son projet aux religieux qui, intéressés, finissent par en parler à la reine Isabelle de Castille. Cette dernière le reçoit le 20 janvier 1486. Colomb expose d'une façon enflammée son projet, qui est à nouveau soumis à un conseil de scientifiques, qui comme au Portugal, affirment que le navigateur s'est trompé. Va-t-il encore être oublié, l'Espagne étant engagée dans d'autres combats ?

A Cordoue, Colomb fait de Béatrice de Arana sa maîtresse, qui lui donne un fils, Ferdinand. Ce dernier sera plus tard admiratif de son père et écrira sa biographie. Bien que très religieux, Colomb n'épousera jamais Béatrice. En effet, cette dernière n'a pas la même position sociale que sa première femme.

Devant le silence royal qui dure plusieurs mois, Colomb demande et obtient une audience. La reine, plus préoccupée par l'expulsion des arabes de la ville de Malaga, ne se montre pas du tout enjouée pour d'éventuelles explorations au-delà de l'Atlantique. Mais Colomb s'entête et continue d'étudier, persuadé que la Terre est de taille moindre que celle en vigueur. Il est certain que L'Europe et l'Asie ne sont pas si loin l'un de l'autre. Christophe Colomb, apprenant l'infortune de Ferdinand Van Olmen, propose à nouveau ses services au roi du Portugal, Jean II. Ce dernier répondant favorablement, le navigateur repart pour Lisbonne. Mais Bartolomé Dias a réussi à ouvrir la voie vers l'Asie en passant par le Cap de Bonne Espérance. Jean II ne souhaite plus investir dans d'éventuelles aventures maritimes et Christophe Colomb s'en repart pour l'Espagne.

Son frère, Bartolomeo, se rend en Angleterre, mais n'y trouvera aucun soutien. Il vient ensuite exposer les vues de son frère au roi de France, Charles VIII. Colomb y voit dans celui son dernier espoir. Mais ce dernier refuse également, bien que Bartolomeo devienne son cartographe. Colomb s'impatiente quand, à l'aube de ses quarante ans, en 1491, le père Pérez, responsable du monastère de la Rabida demande une audience à la reine dont il a été confesseur. Après avoir convoqué cet homme de l'église, elle accepte de donner une audience à Christophe Colomb. Celle-ci se déroule bien et à son issue une commission de savants est consultée pour avis. Cette fois-ci, il est favorable.

Grenade tombe aux mains des espagnols le 2 janvier 1492 (voir l'image). Christophe Colomb est appelé à faire part de la procession qui entre dans la ville arrachée aux arabes. Dans l'ivresse de cette victoire, Colomb expose au Conseil Royal ses projets mais avec une grande assurance énonce ses prétentions : l'anoblissement, le grade d'amiral, le gouvernement des terres inconnues qui deviendront la propriétés de la couronne d'Espagne et des revenus importants. Et ses prétentions, il les réclame pour lui, mais aussi pour ses descendants. Mais ces dernières exposées avec tant d'orgueil ont provoqué l'indignation, et pour une fois que Colomb allait aboutir, la chance lui passe devant.

Christophe Colomb prend le chemin de l'exil. Mais à peine sorti de la ville de Grenade, il est rattrapé par un messager de la reine qui lui demande de revenir. En effet, le 17 avril 1492, le couple royal signe à Santa Fé les accords qui donnent à Christophe Colomb ce qu'il demande. Un revirement miraculeux ? Surtout dû à l'intervention auprès de la reine de l'évêque Deza qui évoque l'évangélisation des peuples rencontrés, de Luis de Santangel, secrétaire du roi Ferdinand et qui démontre que l'expédition ne coûterait à la couronne que deux ou trois navires et rapporterait énormément avec les richesses découvertes. La reine finit par être séduite par ces arguments et accepte les conditions de Christophe Colomb. Ce dernier débarque en mai 1492 à Palos (voir l'image). Martin Pinzon, armateur et marin aguerri, lui fournit deux caravelles : la Nina et la Pinta. Colomb loue une autre embarcation à Jean de la Cosa qu'il baptise Santa Maria. De ce dernier navire il sera le commandant.

Nombreux sont les curieux qui assistent aux préparatifs du voyage. Parmi eux se trouve un marin, Vasquez de la Frontera qui raconte à Colomb et Pinzon qu'en 1452, un capitaine portugais s'était lancé à travers l'Atlantique et qu'il avait été arrêté par une barrière infranchissable d'herbes avant de revenir vers les Açores. « Continuez droit devant vous, et j'en suis sûr, vous découvrirez des terres » leur dit-il. Les explorateurs s'en souviendront. Christophe Colomb emmène environ une centaine de personnes. En plus des marins il y a un interprète, un notaire et un contrôleur royal. Il est à noter que Colomb, croyant, n'est pas accompagné d'un prêtre.


faut faire ces devoirs petit !

2007-01-01 22:39:20 · answer #1 · answered by Le président de yahoo Q/R 7 · 0 4

Bonjour,

toute personne faisant des recherches sur cette "découverte" des amériques sait bien que l'existance de cette terre était connue depuis bien avant Christophe Colomb. D'ailleurs, ce cher Christophe Colomb s'est servi d'une carte (ou plusieurs) qui décrivait toute la côte de l'amérique du sud à l'amérique du nord.
La différence, c'est que ceux qui avaient fait cette carte n'étaient pas des tarés prêts à tout pour de l'OR, des épices...!
Les peuples de l'Afrique (berberes, égyptiens, phéniciens, noirs...) connaissaient déjà ce qu'on appelle aujourd'hui l'Amérique (nord et sud), et une carte existait décrivant ses côtes et ses habitants de manière précise.

cf :http://www.dinosoria.com/piri_reis.htm

cf: http://www.egypte-ancienne.net/Sciences/sciences-negres.htm

L'Afrique n'est pas la seule, la Chine aussi connaissait quasiment le monde entier...c'était la plus grande flotte navale à une certaine époque (avant qu'un certain empereur ne referme la Chine sur elle-même)!

Bonne lecture et bonne recherches!

2007-01-02 02:50:50 · answer #2 · answered by kspider 2 · 1 0

Et bien ce fut l'occasion de débuter un génocide complet, à l'échelle d'un continent entier. Génocide qui vit l'extermination totale de peuples et de cultures ancestrales et le pillage des ressources naturelles du secteur au profit des grandes monarchies européennes. Par la suite, l'amérique du Nord servit de rebut de la société européenne par l'expulsion massive d'illuminés intégristes, nommés par la suite à leur arrivée "pères fondateurs". Fondateurs d'une nation, qui non content de continuer et finir le génocide, donna lieu à l'émergence en à peine quelques siècles d'une nation d'exaltés (toujours autant illuminés) propageant la "démocratie" à coups de canon, mais uniquement en fonction de leurs intérêts nationaux.

Bon, y a un peu plus de 10 lignes, je vous le laisse quand même ?

2007-01-01 22:44:22 · answer #3 · answered by coolmao 4 · 1 0

Le premier à s'approcher du continent l'a fait par le nord, c'est Erik Le Rouge (Viking bannit de son état) il débarquera en 986 au Groenland. C'est Leif Erikson (fils d'érik) qui ira plus loin et arrivera plus au sud (à partir du Groenland) le Vinland (Canada, NewBrunswick, et pourquoi pas Manhatan ou Boston peut être ?) en l'an 1000.
En 1493 C Colomb nanti d'une carte venant d'on ne sait où débarque dans les Antilles.
C'est Cabral qui débarquera le premier en 1500 au Brésil et AmériGo Vespucci en Amérique du nord en 1512

2007-01-05 17:47:00 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

Christopher Colombus a été bien malgré lui le premier touriste Européen à fouler le continent Américain dans sa partie Caraibeenne, cherchant une nouvelle route des Indes par l'ouest pour confirmer la rotondité de la terre. D'ou le nom West Indies en anglais.
Il fut bien accueilli par les Caraïbes et les Kalinagos.
Mais malheureusement, l'hospitalité de ces derniers a causé leur perte car la civilisation européenne (très avancée) ne laisse que peu de place aux faibles devant la recherche du PROFIT maximum.
Plus vite, plus riche, plus fort, plus loin, tjrs plus,tjrs plus....
(10 lignes!)

2007-01-02 01:16:21 · answer #5 · answered by KuntaMq 2 · 0 0

Christophe Colomb n'a pas découvert l'Amérique car il y avait déjà des habitants , je dirais qu'il l'a plutôt trouvé ...Ceci dit il voulait passer par l'atlantique pour ce rendre dans les indes, ce qu'il fit et grâce à ce voyages il trouva ce qu'e l'on appel aujourd'hui l'Amérique.

2007-01-01 23:13:16 · answer #6 · answered by angelguy_paris 6 · 0 0

l'Amerique de Christophe Colomb ?
mais y'a pas d'amerique de christophe colomb
le colomb a decouvert les iles caraibe dont il croyait qu'elles etaient la partie occidentale de l'inde
Americ Vespuce, 1451-1512 qui donna son nom au nouveau monde confirmat que c e qu'a decouvert colomb est un continent pas un amas d'ilots

2007-01-01 22:53:51 · answer #7 · answered by Haroun 5 · 0 0

Petite anedocte sur le voyage de C.Colomb : il a été financé par les juifs qui ont été contraints par Isabelle la Catholique au moment de la terrible inquisition Espagnole (qui a touché aussi bien les juifs que les musulmans).
Les juifs Espagnols ont voulu echapper ainsi à la pression politique qui s'exercaient sur eux. Malheureusement, cela n'a rien changé pour eux, ils étaient toujours autant pourchassés, par contre, la découverte des Amériques a été pour eux l'occasion de s'enfuir vers ce nouveau continent.
D'autres sont partis au Portugal, mais ils ont été rattrapés par les alliances politiques entre l'Espagne et le Portugal, d'autres se sont enfuis au Maroc...
Les musulmans d'Espagne n'ont pas eu aussi la vie rose, mais ils sont partis beaucoup plus tôt au Maroc.

Note : au crétin décébré qui m'a collé une éval négative, ce que j'ai dit est tiré d'un ouvrage intitulé "l'inquisition espagnole".

2007-01-01 22:42:52 · answer #8 · answered by Anonymous · 1 1

C. Colomb n'a pas découvert l'Amérique, mais entre autres autres Cuba et les Antilles.

2007-01-01 22:50:53 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 1

c'est un hasard..il voulait aller aux Indes..

2007-01-01 22:46:40 · answer #10 · answered by FRANCIS 6 · 0 1

1492 !!!!
Arrive sur les plages de republique dominicaine, et ce tordu etait censé arriver en inde !!!
d'ou le nom d'indies donné au autochtones !

2007-01-01 22:46:27 · answer #11 · answered by mendoza 1 · 0 1

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