qui peut me raconter les évènements de la boucherie de "dir yassine" en 1948?

Question

on parle d'une extermination totale et voulue d'un village arabe en territoire occupee en palestine pour instaurer l'atat d'angoisse qui a servie a delocaliser des milliers de palestiniens de chez eux

Answer 1

Des civils (même les femmes et les enfants) ont été exécutés par les milices sionistes venues pour instaurer l'etat d'israel (il y a des videos qui montrent même les exécutions). Des centaines de milliers de palestiniens ont été chassé de leurs maisons et terres pour laisser place aux immigrés juifs qui viennent d'europe et d'amerique. Ce génocide n'est qu'un parmis des milliers d'autres qui ont été commis depuis 48

Answer 2

sans oublier sabra et chatila, tu sais avec ta question tu risque d'être censuré car ici t'as le droit d'insulter islam et les musulmans, jésus les chrétiens, mais il faut jamais poser ce genre de questions qui touche a israel ou bien au juif sioniste!!!

Answer 3

Exactement. Et il y en a eu des dizaines d'autres massacres du genre par les millices sionistes.

Answer 4

Le 9 avril 1948 l'Irgoun et le Stern, forces armée juive composée de 500 hommes et équipé de mitrailleuses, s'empare de Deir Yassine, village arabe de la banlieue de Jérusalem. C'est une razzia.Tous les habitants soit environ 250 personnes, dont des femmes, des vieillards et des enfants sont tués.
La bande sioniste a rassemblé sur la place du village les hommes, les femmes et les enfants, aussi les personnes très âgées puis le feu des mitrailleuses et des grenades fut dirigé sans pitié sur les habitants.
Durant cette nuit pareille aux massacres perpétrés par les nazis, les terroristes sionistes ont massacrés plus de 250 victimes. Ceux qui ne succombèrent pas sur le coup furent achevés par des couteaux et des sabres. Jamais encore dans les annales de la barbarie, un pareil massacre n'a été commis où les victimes, la pluspart des femmes et des jeunes gisaient sur le sol dans une mare de sang, percés de balles tandis que les bourreaux se faisaient un plaisir de contempler ce spectacle sanglant.
Le 18 avril, la ville de Tibériade est bombardée par l'artillerie sioniste et la panique gagne la population arabe, des tracts invitent les musulmans à quitter le territoire et contribuent à accroître le malaise.

Answer 5

Je t'invite a explorer l'histoire pour comprendre ce qu'était la situation en 1948
- lors de l'attaque de Dir-Yassine, l'att d'Israel nb'existait pas encore (proclamé en avril par l'ONU, créée en mai)
- Les armées arabes (egypte, jordanie, syrie, irak) lancentr l'offensive "pour bouter les jhuifs à la lmer"
- les pays arabes invitent les palestiniens à fuir, même des territoires de la palestine

Quant à Dir Yasssine, voici ce qu'en dit Paul Giniewski (collaborateur de Joseph Kessel) :

"L'unité de l'Irgoun, forte de quelque 80 hommes, qui attaqua Dir-Yassine au petit matin savait qu'il y avait, à côté des soldats, de nombreux civils arabes dans le village. Aussi l'Irgoun avait-il fait précéder son unité d'un véhicule portant des haut-parleurs qui invitèrent la population civile à se retirer de la zone dangereuse.

L'avertissement avait été clairement formulé et fut bien compris car 200 villageois sortirent de leurs maisons, s'abritèrent au pied de la colline de Dir-Yassine et pas un seul ne fut blessé ni avant, ni pendant, ni après les combats. Tous furent évacués plus tard vers la ligne de démarcation.

Ce fait est confirmé par les Arabes eux-mêmes. La brochure, l'Agression israélienne, (publiée par la Ligue arabe) l'admet : " Le pacifique village de Dir-Yassin, dans les faubourgs de Jérusalem, a été surpris par des haut-parleurs qui invitèrent les habitants du village à l'évacuer immédiatement (...)".

Comment réagirent les unités irrégulières de la Ligue arabe et les éléments de groupes palestiniens infiltrés dans ce village ?

Paul Giniewski précise à nouveau ceci :

"(...) les Arabes avaient opposé aux hauts-parleurs une ruse de guerre. La garnison irakienne et palestinienne avait accroché aux premières maisons du village des drapeaux blancs. Quand l'avant-garde de l'Irgoun s'avança pour occuper ce village qu'elle croyait décidé à se rendre, elle fut accueillie par un déluge de feu. Son commandant fut frappé le premier. (...)".

Par ailleurs chaque maison "de ce village stratégique avait été fortifiée et fut âprement défendue. (...).

Paul Giniewski poursuit :

"Quand la bataille fut terminée et que les soldats de l'Irgoun dénombrèrent les morts, ils découvrirent, mêlés aux corps des soldats irakiens et palestiniens, de nombreux cadavres de femmes et d'enfants. Ces civils avaient-ils été empêchés par les soldats arabes d'obéir à l'invitation des juifs d'être évacués ? Avaient-ils eu confiance dans le sort des armes arabes et avaient-ils choisi de demeurer au milieu de la bataille?

La responsabilité de leur mort incombe à ceux qui avaient violé les lois de la guerre en n'évacuant pas les civils d'un village qu'ils avaient transformé en position militaire.

Qu'aucun juif, à aucun moment, n'ait eu l'intention de s'attaquer aux civils arabes de Dir-Yassine, cela est prouvé tout d'abord par l'épisode des haut-parleurs. Cela est attesté aussi par les témoignages authentiques (...)des acteurs et survivants du drame. L'un de ceux-ci, Younès Ahmad Aassat, écrit ceci : " les juifs n'ont jamais eu l'intention de porter atteinte à la population du village, mais s'y trouvèrent forcés qaund ils eurent à faire face au feu de l'ennemi, placé au milieu de cette population, et qui tua le commandant de l'Irgoun". Ce texte a été publié par le quotidien jordanien Al-Ourdoun, le 9 avril 1955.