zen sais pas...
ou plutot zenensaisrien...
Attitude zen : je me relaxe et plus rien ne m'atteint... Je m'incorpore, moi petite chose, au grand tout universel...
2006-12-30 13:30:16
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answer #1
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answered by OanaOne 3
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Eh "What" ! tu as été très précis, je n'ai pas grand chose d'autre à rajouter sauf que...... : pourquoi tu parles de "secte" ?
en langue française, la connotation est très péjorative et je ne crois qu'il s'agit d'une bonne traduction....
2006-12-31 04:34:22
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answer #2
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answered by nespresso 5
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zen, secte bouddhique japonaise héritière du bouddhisme chinois de la secte chan, caractérisée par la pratique de la méditation assise – zazen – et réputée pour l’emploi d’aphorismes et de paradoxes – koan.
Le terme « zen » est la lecture japonaise du caractère chinois chan, transcription abrégée du sanskrit dhyana, soit « méditation ». Son enseignement se définit, avant tout, comme une tentative de retour aux sources, à l’expérience du Bouddha historique. La posture assise y revêt une importance primordiale, car c’est précisément dans cette position que le Bouddha est parvenu à l’Ãveil..
Le bouddhisme chan est originaire de Chine, mais il se réclame cependant l’héritier direct du Bouddha historique, ou plutôt de la posture de ce dernier au moment où il atteint l’Illumination. Le chan assied donc sa légitimité sur une filiation en grande partie imaginaire, remontant à l’époque du Bouddha en Inde, et dont le premier patriarche chinois serait le moine indien Bodhidharma au VIe siècle.
Le chan est introduit au Japon après le séjour en Chine du moine Dosho (629-700), fondateur de la secte Hosso, mais il ne bénéficie cependant pas d’un enseignement particulièrement développé. Plus tard, Saicho, fondateur de la secte Tendai, rapporte à nouveau de Chine l’enseignement du chan et la pratique de la méditation assise. Le zen s’implante durablement au sein de la secte Tendai, sans toutefois faire l’objet d’un développement individuel.
Le zen de la secte soto
Le zen rinzai, du fait de son influence politique notamment, est celui dont l’enseignement s’est le plus répandu au Japon. Le plus original et le plus étudié aujourd’hui est cependant celui de l’école de Dogen, le zen soto.
Dogen étudie très jeune dans la plupart des écoles bouddhistes de son époque, y compris au Kennin-ji, le monastère fondé par Eisai. En 1223, il part en Chine avec son disciple Myozen, et étudie pendant trois ans dans un monastère de l’école caodong. Il y atteint l’Ãveil, et obtient l’autorisation de repartir enseigner au Japon, où il fonde une première communauté près de Kyoto. Il quitte cette dernière en 1243 et fonde le Eihei-ji, en pleine montagne, manifestant ainsi son refus du confort, de la puissance, ainsi que de tout contact avec les classes dirigeantes du pays.
L’importance de la pratique de la méditation
Adversaire de l’étude exclusive des textes, qu’il appelle la « lettre morte », utile mais trop souvent stérile d’après lui, Dogen instaure pour ses moines le retour à la « parole vivante ». Son enseignement passe ainsi avant tout par la parole, à tel point qu’il rédige son principal ouvrage, le Shobogenzo (« Trésor de l’Åil de la vraie loi »), en japonais et non en chinois. Dogen met avant tout en place une discipline extrêmement stricte : les moines sont ainsi soumis à des règles particulièrement exigeantes, qui leur imposent de pratiquer sans cesse la méditation. Selon Dogen, vouloir l’Ãveil est cependant tout aussi stérile que l’étude des sutra ; il s’agit pour lui d’apprendre à tout mettre au présent, à méditer sans objet de méditation : « la pratique ne mène pas à l’Illumination, mais s’effectue dans un état d’illumination ». Puisque les êtres portent en eux la bouddhéité, il suffit de pratiquer jusqu’à prendre enfin conscience de son état de bouddha.
Le rôle du maître
Le zen de l’école soto insiste tout particulièrement sur l’importance de la transmission. Le zen étant une pratique, seul celui qui en a déjà parcouru le chemin — le maître — est en mesure de guider l’expérience du disciple et de reconnaître en lui les progrès déjà accomplis. Sur le plan spirituel, le rôle du maître est donc d’utiliser la « lettre morte » et la « parole vivante » — conversations ou koan — pour faire progresser son disciple, tout en l’amenant à en mesurer chaque fois les limites et l’incomplétude. Sur le plan physique, le maître doit veiller à la qualité de la pratique, ainsi qu’à la justesse de la posture maintenue pendant la méditation.
2006-12-30 21:46:22
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answer #3
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answered by What? 3
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......Le bol ou le bâton....
......Le chan......
......Daishimaru....
......Dogen.....
Beaucoup lecture a faire zazen par terre...... Mais si arrive tout en haut de la montagne le sage continue a monter alors rien ne vaut que ton expérience personnelle dans le domaine....Car du zen il n'y a rien a savoir c'est de soi qu'il faut apprendre......
2006-12-30 21:34:42
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answer #4
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answered by Mr (president Q/R elu) 5
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moi, peu, mais Google, un peu:
www.zen-deshimaru.com/
fr.wikipedia.org/wiki/Zen
www.zen-occidental.net/
etc.
2006-12-30 21:31:16
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answer #5
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answered by zabou 3
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