Bjr
Envers moi-même, il arrive que je prenne enormément de précautions pour me protéger. En somme, que je me surprotège, et, même, que j'outrepasse mes propres critères d'évaluation de la légitimité de mes droits à cette protection.
Cela peut aussi s'appeler : "égocentrisme", ou bien encore, plus sèchement "égoïsme".
Il peut arriver que je ne maîtrise pas le processus - alors ça m'est insupportable, et je m'efforce de grignoter des gains, un peu plus chaque année, je crois même que c'est pour beaucoup dans ce qu'on appelle la "maturité". Je n'y suis pas encore !
Pour les autres, bien sûr que c'est souvent insupportable.
Meilleurs souhaits pour une bonne année.
2006-12-27 19:14:54
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answer #1
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answered by Siberia 1
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Elle est supportable, mais elle est surtout insuffisante, je ne suis pas assez généreuse avec moi même, cela vient sûrement du fait que j'ai été délaissée dans mon enfance.
Quand on sait donner à soi même, on sait donner aux autres.
2006-12-27 09:23:34
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answer #2
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answered by Anonymous
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charite bien ordonne commence par soi-meme : je deteste de dicton
2006-12-27 06:22:03
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answer #3
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answered by Cymru 3
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Il peut arriver qu'elle m'insupporte
- toute commisération doit être renvoyée - la bienséance toutefois m'oblige à me garder en vie, ce à quoi s'emploie essentiellement mon autocharité.
Bonne année.
Tchuss
2006-12-28 19:01:41
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answer #4
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answered by Anonymous
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je suis plutôt dur avec moi
et c'est parfois insupportable
... pour les autres aussi!
2006-12-27 09:07:07
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answer #5
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answered by zéphyr 5
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Bonjour,
Voilà une question qui comporte en son sein une affirmation qui impose une réflexion dans deux directions différentes.
La première est que l'auteur affirme qu'il est acceptable que la charité s'éxerça à l'égard de soi-même.
La seconde est que, dès l'instant où je m'exprime sur la question, j'ai quelque charité en vers moi-même.
L'éthymologie fondamentale de la charité est essentiellement théologique, consistant en une vertu de l'amour de Dieu pour lui-même (sans attente de retour). Dès lors si l'on accepte que l'on exerce de la charité à son propre égard, ne serai-ce là s'identifier à Dieu ? Chacun en pensera ce qu'il veut.
En tant qu'entité humaine, ai-je de par mon intérêt à rentrer dans le jeu de l'interrogation, une quelconque charité à mon égard ? Le mot à employer est-il bien celui de charité ? Celui d'humanitude semblerait plus adapté.
Toutes les fonctions que notre condition humaine nous permet, peuvent devenir vecteurs de charité. Il reste à notre libre arbitre, à définir alors nos agissements. A partir de là chacun devra définir son acte. Et chacun définira également l'acte effectué à son égard.
Ma réponse est un peu une question, mais en philosophie tout n'est-il pas questionnement?
Bonne année 2007 !
2006-12-27 07:44:06
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answer #6
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answered by Grain2sable 2
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je comprends pas trés bien ...
2006-12-27 06:27:55
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answer #7
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answered by bodycocoon 3
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