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De 1997 à 2001, le gouvernement de gauche diminua la dette de l'Etat de 3 % du PIB (50 milliards d'euros). De 2002 à 2006, l'UMP augmenta cette dette de 12 %¨du PIB (200 milliards d'euros). Pour la sécu, même chose. De 1999 à 2001, excédent de la Sécu. Depuis 2002, trou de la Sécu. Ce sont des faits vérifiables (comptes de la Nation, comptes de la CNAM).

2006-12-22 00:11:42 · 19 réponses · demandé par Anonymous dans Politique et gouvernement Élections

19 réponses

Thèmes très sérieux qu'il ne faut pas prendre à la légére aux yeux de l'opinion, surtout ne pas raconter n'importe quoi. Les 35H coûte à la Sécu, La CMU coûte à la sécu et à l'état sans y avoir mis forcément les recettes en face. L'immigration, que l'on aime ou que l'on n'aime pas coûte à une nation lorsqu'elle ne trouve pas de travail. une croissance existait durant les années 99 à 2001. Alors c'est bien beau de déballer cela sur la table pelle-même en invectivant les consciences mais la réalité est bien ailleurs. Le gouvernement Raffarin a pris de plein fouet ce que le gouvernement Jospin a voté sans recette et n'a pas voté pour ne pas froisser l'electorat, c'est à dire le financement de la sécu et les retraites. Merde il y avait cela à prévoir ! Par ailleurs ce n'est pas De villepin qui rédige les ordonnances médicales et les arrêts de travail dont certains abusent mais les médecins ! Alors ce qui était vrai en 2000 ne l'est déjà plus en 2007.

2006-12-22 00:35:33 · answer #1 · answered by Anonymous · 1 0

La baisse de la dette de l'état est au coeur du programme de Sarko. On vote pour un Président en 2007 sur les propositions qu'il présente.

2006-12-22 08:16:57 · answer #2 · answered by Doc 6 · 5 1

on doit pas avoir les mêmes infos :

Dette publique : que fait le Parti socialiste ?
Il y a un an, le rapport de la commission sur l'endettement public présidée par Michel Pébereau établissait un bilan sans concession de la situation dégradée des finances publiques françaises. Le constat qu'il dressait était pour le moins alarmiste. Après plus de vingt ans de déficits budgétaires ininterrompus, la dette financière des administrations publiques s'élevait à 1100 milliards d'euros fin 2005, soit 64,5 % du produit intérieur brut.
Cette dérive des finances publiques et les difficultés rencontrées pour y remédier constituent un véritable mal français. Dans d'autres pays de l'OCDE, tels que la Suède, la Finlande, le Canada ou la Nouvelle-Zélande, des mesures efficaces d'assainissement des finances publiques ont été mises en œuvre. Contrairement à une conception largement répandue, ces programmes d'ajustement ont eu un impact positif sur la croissance et le chômage à moyen terme. En cédant à la facilité de la dépense, la France s'est à l'inverse placée dans une situation risquée pour sa prospérité, sa crédibilité internationale et l'avenir de ses citoyens.
Pourtant, la situation n'a guère changé depuis le rapport Pébereau. En novembre 2006, la dette publique représente toujours 64,6 % du PIB et malgré des engagements volontaristes, l'assainissement des finances publiques ne constitue toujours pas une priorité de notre pays.
Dans ce contexte préoccupant, il est utile d'examiner l'impact qu'aurait sur les finances publiques la mise en œuvre des programmes des deux principaux candidats à l'élection présidentielle. Les propositions formulées lors de la campagne conditionnent en effet directement la capacité de notre pays à réduire ou non sa dette au cours des cinq prochaines années.
Concernant le Parti socialiste, les différents chiffrages établis semblent aboutir à une conclusion négative. En effet, si l'on écarte le chiffre officiel du PS (30,7 Mds d'euros), il est établi que la mise en œuvre des engagement du programme socialiste se traduirait par une dépense s'échelonnant entre 45 Mds d'euros (chiffrage du site débat2007) et 115 Mds d'euros (chiffrage du ministre du Budget, certainement surestimé). L'examen du détail du programme montre que plusieurs propositions sont à l'origine de ce coût déraisonnable. La renationalisation d'EDF, estimée initialement à 11 Mds d'euros et aujourd'hui à 12,5 Mds d'euros du fait de la hausse quotidienne de la capitalisation boursière de l'entreprise. La mise en place d'une allocation d'autonomie pour les jeunes, sur le mode « RMI jeunes », qui représenterait entre 3 et 15 Mds d'euros. L'abrogation de la loi Fillon, d'un coût évalué à 12 Mds d'euros. L'augmentation de 10 % pendant cinq ans du budget de la recherche enfin, dépense certes peu contestable mais qui représenterait la coquette somme de 7 Mds d'euros. Enfin, la généralisation des 35 heures, qui exigerait un effort budgétaire de 4 Mds d'euros.
Au total, sachant que le budget de l'Etat représente aujourd'hui environ 270 Mds d'euros, la mise en œuvre du programme du PS, en l'état, aboutirait à accroître potentiellement de près de 40 % les dépenses publiques, ce qui engendrerait inévitablement une hausse sévère des prélèvements obligatoires et/ou un accroissement majeur de la dette publique. Du fait du niveau élevé de la pression fiscale en France, il est probable que l'application du programme du PS déboucherait principalement sur la seconde branche de l'alternative.
Le programme de l'UMP, d'un coût non négligeable, ne peut cependant souffrir de critiques similaires, pour trois raisons.
D'abord car son poids pour les finances publiques serait moindre que celui du PS. Si l'on écarte le chiffrage officiel du parti (27 Mds d'euros), il est établi que la mise en œuvre du programme de Nicolas Sarkozy se traduirait par une dépense d'environ 40 Mds d'euros selon le site débat2007, soit 5 Mds d'euros de moins que le coût du programme du PS estimé par les mêmes experts.
Ensuite, au-delà du coût du programme, l'UMP s'est efforcée de prendre des engagements proches des conclusions du rapport Pébereau : d'une part ramener la dette publique en deçà de 60 % du PIB d'ici 2012 (2010 pour le rapport Pébereau) ; d'autre part limiter la progression des dépenses publiques à 1,8 % en volume d'ici 2012 (le même rapport proposant un gel pur et simple).
Enfin, au-delà du coût immédiat des mesures annoncées, leur contenu a un impact majeur sur les finances publiques à moyen terme. Ainsi, le programme du Parti socialiste, essentiellement consacré à la redistribution et non à la production de richesses, sera peu générateur de croissance et donc de rentrées fiscales permettant de réduire la dette. A l'inverse, le programme de l'UMP est en partie orienté vers l'encouragement du travail et de l'activité, ce qui devrait permettre de générer croissance et recettes supplémentaires pour réduire la dette.
Face à la situation dégradée de ses finances publiques, la France a d'abord besoin d'un engagement collectif. Celui-ci devra, dès 2007, être capable d'enclencher dans la durée une dynamique de désendettement. Pour l'instant, le Parti socialiste a pris du retard dans la prise en compte de cette exigence qui doit habiter les programmes de tous les candidats.
Le temps est compté.

2006-12-22 08:16:40 · answer #3 · answered by Anonymous · 6 2

Ah ah ah, mais tu crois vraiment à ton verbiage?
Tu as entendu ce qu'a dit Kouchner?

2006-12-22 08:14:48 · answer #4 · answered by Arachné sur la toile 5 · 5 1

La gauche a bénéficié d'une croissance dans la zone euro, que n'a pas la droite, la gauche a tout bouffé

2006-12-22 08:15:21 · answer #5 · answered by gregou06 2 · 5 2

La droite réduit les impôts, la gauche les augmente. Envie de voter PS ?

A alain c : le bouclier fiscal pour les riches ne me concerne pas ; par contre des impôts locaux qui augmentent de 10-15% alors que mon salaire (modeste) stagne depuis 5 ans, ça fait mal.

A S?stien F : quelle est cette invention comme quoi les pauvres ne paient pas d'impôt ?? Et la TVA ? Et les taxes "locales" ? Et la CSG ? Et la taxe TV ? Et les taxes sur l'alcool et le tabac ??

A Turin : tu dois être riche pour payer 30% d'impôts en plus...Cette augmentation ne serait-elle pas liée à la fiscalité locale ?

2006-12-22 08:14:46 · answer #6 · answered by Anonymous · 5 2

La droite élue en 2002 avec des voix de gauche a crû bon de ne rien défaire de ce que Jospin avait fait si ce n'est la fameuse et extraordinaire police de sécurité. Même les emplois jeunes ont été remis au goût du jour.

Il est vrai néanmoins que des réformes courageuses ont été entreprises sur les retraites (bien) et la sécurité sociale (un peu moins bien). Domaines où la gauche s'est bien gardée d'intervenir.

Il n'est donc pas étonnant que le déficit ait continué à se creuser, avec des effectifs de fonctionnaires pléthoriques, une sécurité sociale dispendieuse et le maintien des 35h.

CQFD.

Une vrai politique de droite libérale et il n'y paraîtra plus, à l'instar des pays anglo-saxons et nordiques où les dépenses de l'état ont été ramenées à un niveau raisonnable et acceptable.

2006-12-22 09:53:17 · answer #7 · answered by Anonymous · 2 0

Faut chercher plus loin mon ami et poses toi la question depuis quand et sous quel régime avons nous commencé la descente dans le puit sans fond de la dette nationnale ?
Indice n° 1:
14 ans
Indice n°2 :
Menteur
indice n°3 :
Manipulateur
Indice n°4 :
de gauche

Je suis Mit....

2006-12-22 09:43:48 · answer #8 · answered by LILOU 3 · 2 0

Mais qui finances les 35Heures...? C'est pris dans qu'elles caisses..? Ha la gauche avait laissé des réserves pour le financement.. tien et je ne le savais pas...?
A Lille Martine, Maire, la fille a son Père.. comment elle gere le personnel.. et les 35Heures...? Elle peste contre cela.. car n'as pas a sa dispos le personnel quand elle le souhaite.. Mais au fait tiens elle ne parle plus.. devenue silencieuse.. Ha..! Mais elle ne serait pas morte au faite.? (POLITIQUEMENT BIEN SUR)

2006-12-22 08:23:22 · answer #9 · answered by sadotherapeute 5 · 2 0

la Gauche réduit la dette parce qu'il surtaxe les plus riches! La Droite essaie de ne pas pénaliser une classe plus qu'un autre....
C'est quoi déjà le slogan de la Gauche ... l'ordre juste?.... quelle justice!

2006-12-22 08:20:19 · answer #10 · answered by Ely 4 · 4 2

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