La mort est un état de non-existence. Ce qui n'est pas n'existe pas. Donc la mort n'existe pas.
2006-12-20 15:00:14
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answer #1
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answered by Annulation en cours 7
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C'est tout simplement le néant.
2006-12-20 15:00:46
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answer #2
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answered by Anonymous
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la non excistence de l homme su terre
2006-12-20 14:59:17
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answer #3
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answered by Missy Spicy 6
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Mes meilleurs voeux de bonheur et de santé pour 2007.
2006-12-27 23:08:48
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answer #4
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answered by Anonymous
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cest quand en vit plus
2006-12-27 05:24:09
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answer #5
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answered by Anonymous
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Si j’accepte l’idée qu’après la mort, je serai remis au néant où j’étais avant ma naissance, ma vie actuelle se retrouve soustraite de toute angoisse face à la mort. La crainte de la souffrance existe toujours mais l’angoisse de l’inconnu que sera ma non-existence devient absurde. Dans le néant, qui, par définition, est un état de non-être, rien de ce qui me permet de ressentir des émotions n’existe. Si mon corps, qui est l’outil indispensable des perceptions et des réactions émotives, n’existe pas, comment le rien pourrait-il être le paradis, l’enfer ou quelque autre au-delà que ce soit qui m’accorderait une existence subjective quelconque. Pour ressentir, il faut être constitué d’un organisme sensible; c’est un must.
Donc, chaque minute de ma vie, où je pense à après ma mort, est du temps perdu pour ma vie puisque ma vie n’a rien à foutre d’un état qu’elle ne connaît pas et qu’elle ne connaîtra jamais. La mort est un état qu’ignore la vie puisqu’il faut être en vie pour se soucier de la vie ou de la mort … mais, de la mort des autres puisque la mort de la vie n’est déjà plus la vie … La vie est nécessaire à l’angoisse et la mort c’est même pas le repos éternel, c’est le néant pour l’être.
Le néant est très difficile à accepter, à concevoir et à comprendre pour la vie (ou pour un être vivant comme l’humain) parce qu’il nie l’être. Comme il est difficile de concevoir la non-existence pour un être existant! C’est comme essayer de réfléchir à un problème qui ne se pose pas (comme craindre les serpents au pôle nord); ça devient une simple fantaisie de l’esprit, une fantaisie de la pensée. Le jour où je mourrai, je ne le saurai pas, puisque pour le savoir, il faudrait que je sois en vie et je ne serais donc pas mort.
C’est bizarre, comme cette réflexion me ramène au piège de la pensée circulaire de l’Åuf et de la poule. Comme si l’exercice de la réflexion nous tendait toujours ce piège. Est-ce que la régulation serait, en fait, la conscience? Qu’elle soit mécanique, biologique ou humaine?
2006-12-23 10:25:48
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answer #6
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answered by ted_laparty 1
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La mort c'est le meilleur moment de la vie. C'est pourquoi il est préférable de la garder pour la fin.
2006-12-20 17:02:46
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answer #7
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answered by Anonymous
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c'est la fin de la vie,
2006-12-20 16:25:45
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answer #8
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answered by chrisnimes 4
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Pour moi, vivre est une chancon,mourir on est le refrains.
2006-12-20 16:08:28
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answer #9
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answered by Anonymous
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un sommeil profond pour qui y ai plu de problème
comme il éxiste ici bas
2006-12-20 15:58:09
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answer #10
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answered by esselte 2
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