2006-12-20
01:37:40
·
8 réponses
·
demandé par
eyguirende
3
dans
Societé et culture
➔ Mythologie et folklore
Pas mal Phil Hip et Claber mais ce n'est pas tout à fait ça !
2006-12-20
02:02:33 ·
update #1
Les Gaulois coupaient le gui au moment du solstice d'hiver (21-22 décembre), lors d'une grande cérémonie qui se terminait par la phrase"O Guel an Heu" prononcée par le druide, soit littéralement "le blé germe". C'est la déformation de cette phrase qui a donné au Moyen Age le fameux "Au gui l'an neuf".
2006-12-20
02:52:30 ·
update #2
C'est la déformation française de l'exclamation que poussaient les druides qui venaient de couper du gui. C'étéit qq ch comme "Ann gueï ann heu". Je ne sais pas ce que ça voulait dire.
2006-12-20 01:53:07
·
answer #1
·
answered by Claber 5
·
0⤊
0⤋
Bonne journée et joyeuses fêtes.
petite précision a tout cela gui en celte signifie "guérit tout"ce que en fait l'ingrédient principal des druides dans leurs différentes potions.
Par extension donc cela lui donne un coté magique rester de nos jours sous forme de porte bonheur " s'embrasser sous le gui".
Bonne année 2007.
2006-12-26 17:21:26
·
answer #2
·
answered by eclatsderoses 4
·
2⤊
0⤋
Le gui
Dans l'ancien temps, les druides celtes cueillaient le gui et le houx et le donnaient aux habitants du village pour leur porter bonheur.
La tradition du nouvel an invite les couples en quête de bonheur à s’embrasser sous un bouquet de gui. Cette coutume ancestrale remonte en fait au culte païen qui avait cours lors des cérémonies celtiques de mariage. Le gui était en effet censé favoriser la fécondité. Cette plante mystérieuse faisait partie, avec le houx et le lierre, d'un trio de verdures vénérées en hiver. Cependant, le gui était nimbé d’une aura toute particulière, surtout du reste celui qui, le plus rare, daignait pousser sur un chêne
Si l'on mettait une boule de gui sur la porte, cela protégeait la maison des mauvais sorts car, en Celte, gui veut dire "guérit tout".
Selon la légende scandinave de Balder le Magnifique:
Le dieu Loki devenu jaloux du succès de ce protégé du dieu Frigg utilise le gui pour en fabriquer une flèche mortelle qu' il fait décocher par Hödner, un dieu aveugle. Les dieux redonnèrent vie à Balder et placèrent le gui sous la tutelle de la déesse de l'amour, décrétant que quiconque passe sous une touffe de gui doit recevoir un baiser. Cette plante est devenue ainsi un symbole de l'amour depuis des temps immémoriaux.
La légende dit que le gui et le houx sont des plantes qui portent bonheur et que les couples qui s'embrassent au dessous d'une couronne de gui se marieront dans l'année.
Selon une ancienne légende galloise:
L’usage du baiser sous une branche de gui date du temps du roi Gwydyr. Ses trois filles étaient toutes fiancées. Leurs compagnons devant partir à la guerre, ils retrouvèrent leurs promises à l’ombre de vieux chênes chargés de gui sacré et demandèrent un gage d’amour : chacune des filles du roi enleva la plume de paon qui ornait sa chevelure et l’offrit à son fiancé. «Encore» déclarèrent tendrement ceux-ci. Alors chacune des filles du roi détacha de ses cheveux la branche de houx qui soutenait la plume de paon. «Encore» supplièrent plus tendrement les fiancés. Comme les filles du roi n’avaient plus rien à donner, elles accordèrent à leurs fiancés un baiser...
2006-12-20 01:49:45
·
answer #3
·
answered by Bili-bili 2
·
2⤊
0⤋
Pour célébrer l’An nouveau, vêtus de blanc et à l’aide d’une serpe d’or, les druides coupaient le gui (symbole de l’immortalité) sur les chênes sacrés… Les fruits ne devant pas toucher le sol, les druides les récoltaient dans des grands draps blancs. Aux cris de la formule « Au gui l’An neuf » ils offraient pour souhaiter prospérité et longue vie, une branche de gui aux participants de la cérémonie de l’An nouveau, formule reprise au Moyen-Age et remplacée ensuite par « Bon An, mal An, Dieu soit céans » (dans la maison) Des feuilles de gui réduites en poudre et portées dans un petit sac autour du cou sont un puissant protecteur contre les maléfices, me souffle Moriganne… N’oublions pas que sous les Mérovingiens l’année commençait le premier mars, et que pendant tout le moyen-age le jour de l’An coïncidait avec le jour de Pâques. Il faudra attendre 1564 pour que Charles X impose le premier janvier comme premier jour de l’année. En 1582, le Pape Grégoire XIII instaura le calendrier grégorien, celui que nous utilisons encore… La coutume des étrennes remonte elle à l’époque romaine. S’embrasser le jour de l’An, à minuit précisément, porte bonheur (heur=chance)
C’est ce que je vous souhaite pour cette nouvelle année 2007 qui s’annonce. Et sous le gui.
2006-12-20 01:47:18
·
answer #4
·
answered by Phil Hip 5
·
1⤊
0⤋
« Au gui l’an neuf ! », criaient autrefois, le premier jour de l’an, nos ancêtres les Gaulois en offrant une branche de gui coupée par les druides à l’aide d’une faucille d’or. Offrir du gui, ce jour-là , c’était souhaiter une bonne année à celui ou à celle à qui l’on en faisait hommage. Parmi ses nombreuses vertus, le gui n’avait-il pas celle d’éloigner les maléfices ? Pour cela, il suffisait de réduire ses feuilles en une poudre qu’on serrait dans un sachet porté autour du cou.
2006-12-20 01:48:54
·
answer #5
·
answered by palmiers83 1
·
0⤊
0⤋
La tradition était de s'embrasser sous le gui le jour de l'an.
2006-12-20 01:45:50
·
answer #6
·
answered by broogers 6
·
0⤊
1⤋
je ne sais pas tu pouras me dire toi??
2006-12-20 01:43:37
·
answer #7
·
answered by Anonymous
·
0⤊
1⤋
Parce que traditionnellement, on s'embrasse sous le gui pour se souhaiter les bons voeux de nouvelle année. Il paraît que ça porte bonheur.
2006-12-20 01:45:49
·
answer #8
·
answered by al1_gibert 6
·
0⤊
2⤋