Salut le persan ta question est monstreuse, mais elle l'est surtout avec toi meme je pense que tu vas comprendre ce que je te dis en reflechissant un peu mais bon rassure toi on est tous pareil mais le mot pitié n'est pas le bon
2006-12-19 10:37:53
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answer #1
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answered by ? 5
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Beurrkk, la pitié c'est du mépris !
La conscience de l'autre, c'est l'amour (sous toutes ses formes) tout court.
2006-12-19 18:23:58
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answer #2
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answered by proclusus 5
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je n'aime pas le mot pitié... trop "constatant" et en ce sens dévalorisant de l'autre.
Je lui préfère le mot "compassion" qui est réellement une prise de conscience de la souffrance de l'autre et le mot "empathie" qui m'aligne au rang du souffrant...
2006-12-19 18:56:03
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answer #3
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answered by SpeedyJo 5
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La pitié: je suis en position supérieure
Compassion empathie sympathie je m'identifie
C'est dans l'espace d'une compréhension que de l'autre je peux saisir l'essence.
2006-12-20 05:29:23
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answer #4
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answered by ^^^^^^^^ 5
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La pitié c'est juste de l'orgueil, et beaucoup confondent "mémoire courte" avec "bonne conscience".
2006-12-20 01:33:25
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answer #5
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answered by PठpKठm Ἂlphα 6
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La "pitié" peut avoir des sens qui ne correspondent pas à ce que tu semble vouloir dire .
Cela peut être un début d'abandon de l'autre . Ne rien pouvoir faire , et laisser tomber .
La pitié rabaisse l'autre , et nous rend supérieur à lui du même coup.
On ne peut aimer quelqu'un dont on a pitié , l'un exclue l'autre .
2006-12-19 18:39:50
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answer #6
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answered by michel 3.1416 6
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on m'a toujours dit que la pitié était en fait un sentiment de supériorité
... donc prise de conscience de l'autre peut etre, mais pas de façon tres positive
2006-12-19 18:28:21
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answer #7
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answered by Le terrible pirate Robert 3
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On vous a critiqué sur le mot "pitié", mais si vous le remplaciez par "compassion", peut-être aurait-on fait l'effort d'approfondir le sujet. (pardon, Valin, je viens seulement de lire votre réponse)
L'être humain est probablement le seul être vivant qui dispose de la faculté d'empathie (capacité de se "mettre à la place d'un autre"). Celle-ci se manifeste déjà au travers de la relation avec la mère. Cette faculté conduit à "sentir" analogiquement ce que l'autre pourrait sentir, à éprouver de la sym-pathie ("souffrir avec") ou de la com-passion (ce qui veut dire la même chose , mais en latin). Faculté innée, son développement conduit à la prise de conscience de l'autre.
Mais cette faculté a son revers : si je sais que je peux souffrir, je peux savoir ce qui va faire souffrir l'autre, si je le hais. Les humains sont les seuls êtres vivants qui pratiquent la torture.
2006-12-20 04:02:36
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answer #8
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answered by Claber 5
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J'ai du mal avec le mot pitié.
Ce mot est piteux.
Ayons pitié, ayez pitié de moi Seigneur, Il fait pitié,prenons-le en pitié.....La nausée...
Prenons-le en considération, il a besoin d'aide et nous pouvons l'aider.C'est mieux ainsi.
Pas de pitié pour la pitié! nous avons bien d'autre chose à offrir aux autres que ce sentiment bâtard fait d'un amalgame de supériorité, de condescendance,etc.... Zut! mais qu'elle mouche me pique ce matin....Aie pitié de moi!
2006-12-20 03:58:21
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answer #9
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answered by PINEDE 5
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Si quelqu'un a pitié de moi, il n'est pas rare que j'ai l'impression qu'il a besoin d'aide. (et pas nécessaire que j'aie l'occasion de pouvoir l'aider) Une vie spirituelle chargée peut reconnecter l'être a sa misère intrinsèque, dès lors il n'auras plus de pitié, plus de sentiment d'impuissance, ou de décalage par rapport a la misère des autres, qui je le rapelle n'est pas tanponnée sur le visage (parce que les boudhistes me fatiguent a parler de compassion pour les enfants malades les vieux bossus et les unijambistes), et sont disponibles aux gestes bienveillants.
2006-12-19 21:49:20
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answer #10
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answered by Frere 2
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