L'homme est-il dépendant de son animal de compagnie à cause de sa vision anthropomorphique de l'animal?

Answer 1

J' aime bien cette question mais tout d'abord
Il y a de certaines similitudes.......entre l' homme et son chien:
-" ils aboient souvent.....pour ne rien dire,
pour certains goujats urinent de partout
sans vraiment se soucier d' viser dans l' trou,
sautent la première femelle en chaleur,
s' grattent en public les organes reproducteurs,
se curent le nez et j' en passe......
sont et font pire..........qu' les animaux !"
Bref ! Si j' avais un animal, ce serait:-" une chouette hulotte",
mais je ne la comparerai certainement pas à autre
chose qu' un animal.
Et pour répondre à la question, nous pourrions tous perdre
demain un être chèr,et il est plus facile souvent
de s' adresser à son chien ou son chat
pour avoir en retour un minimum de compréhension
que nous nommerons par de: "l' affection".(simplement)
Peut-on vraiment leur en vouloir,
même quand cela tourne au ridicule ?!
Quelle ressemblance entre:
-"dépendre d' un animal ou d' un homme ?!"
On Parle pas même langage,mais
on réussit à s' comprendre......tantôt oui, tantôt non !
Et si je me couvre de ridicule en répondant
au seul chat dans l' coin:-" TANT PIS!!!!!!!!!!!!!!"
C'est par c' que j' l' aime bien,
au travers de ces questions
et ces réponses.
-" Bisou bisou au MATOU d' internet !"

Answer 2

Les chèvres avaient de moi, une vision animale,je faisais partie de leur troupeau....J'aimais assez cette idée, partageant le partageable, grimpette folle dans les talus caillouteux des garrigues, replis dans le creux des robines lorsque le soleil était au zénith.Nous vivions en bonne entente.Acceptant nos caprices respectifs.De cette expérience j'en ai gardé les stigmates de la liberté...
Le chat qui m'accompagne m'a choisie pour mon silence .je l'apprécie pour sa présence légère et son entière indépendance.Il dort sur mon carnet de croquis et dans mon dos en hiver, le printemps le rend fugueur,il disparaît, réapparaît au gré de sa fantaisie.Pas d'obligation dans cette relation , ni pour lui,ni pour moi.

Answer 3

Oui...
A creuser un peu plus, je me dis:
"L'homme anthropomorphise t-il tout ce qu'il voit, entend, sent, etc...?
Ce serait plus une question de dosage. Si je prends mon chien pour mon enfant je dirai que c'est une identification ciblée de l'animal à un personnage humain représentant le plus de la proximité, mais aussi une pâte à éduquer ou former...
Le loup est un animal fortement anthropomorphisé... Il est méchant... Il mange les petites filles... ect...
Le chien est un loup recyclé à des taches domestiques... Il s'est crée en l'homme et le chien un rapport d'addiction... Le loup est un animal de horde qui a besoin de hiérarchie... Le chien aussi et à cet endroit il y a le Maître qui est en quelque sorte le mâle dominant... Entre eux c'est crée des devoirs réciproques...
La surdose d'anthropomorphines provoque des altérations de la pensée...
Mais la mémère à son chienchien lui parle alors qu'elle ne reçoit guère plus de visites d'humains... On sait d'ailleurs que le chien a un effet hypotenseur... Ect...
Je crois que c'est tout à l'honneur de l'humain de s'être attaché à son animal domestique...
C'est une attache réciproque...
La relation entre l'homme et l'animal de compagnie est forte et complexe... Il y a les adeptes du chien et les adeptes du chat... On pourrait probablement dessiné un portrait standard de celui qui préfère le chien au chat et vice versa...
Mais au fait est-ce un vice?

Answer 4

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Answer 5

Cette question me rappelle le regard de plusieurs écrivains et philosophes.
Alain, dans son petit texte sur les chiens, qui compare e maître à son animal. Quelle analogie!
Kafka, plus complexe, en nous emmenant dons son délire, nous assimile à un cafard. Insecte qui nous domine...
Nous ne dominons rien, nous co-habitons...
Lorsque la bête nous domine, c'est qu'il nous digère, et c'est trop tard pour nous...

Answer 6

L'homme est dépendant de son animal, parce qu'il trouve chez lui, avec lui, une loyauté qu'il ne trouvere pas chez ces semblales.

Answer 7

moi je vaute pour imagette, c'est vachement bo ce qu'elle a dit ...

Answer 8

Le souci éternel de l'homme est de se mesurer à lui-même, non en tant qu' ego, mais à toute similitude qui répond un tant soi peu à son désir de comparaison. Il se comparera subséquamment à tout être vivant, voire même à toute chose qui lui apportera quelque justification à son besoin inexpugnable de suprématie. De là il accorde en effet une vision antropomorphique à tout ce qui dans son environnement lui autorisera dès lors la possibilité de se comparer et de se considérer. Il n'est pas que l'animal au quel l'homme porte un regard antropomorphique. Certains individus de l'espèce "homo" n'ont -t-ils point une vision antropomorphique d'un objet au combien adulé : la voiture.
L'homme est un animal, ne l'oublions pas... La voiture, cette bête (comme eux) qu'ils domptent et qu'ils asservissent, et grace à la quelle leur suprématie sur leurs cogénères s'exacerbe, comme une démonstration de puissance digne d'un duel où l'on joue de l'intimidation face à son adversaire.
Il est certain que la part d'antropos dans tout acte humain est présente de façon innée ; puisque homme il est. Mais le morphisme qu'il crée grace à son aptitude cognitive le pousse à s'identifier systématiquement non pas " à " mais " dans " tout ce que son regard, en tant qu'il est le principal percepteur* touche. Et ceci bien évidemment à commencer d'abord par ce qui l'entoure.
Il est donc indéniable que l'homme -homo- est dépendant, et pas seulement de son animal de compagnie...

(*notre cerveau enregistre une image sur trois, un son sur six, alors combien peu pour ce qui est des trois autres sens)

Answer 9

Non à cause de son besoin de compagnie mon minou

Answer 10

cette question s'adresse à des surdoués...maitre LEPERSAN.

Answer 11

lC'est là une déviance!!...L'animal domestique est un animal de compagnie....Tel maître, tel animal!!...Et non l'inverse...