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Manque de réactivité,absence de sanction ou sanction non proportionelle à la faute:sanction de complaisances.
Affirmer que certains injures serait du language courant,afin de ne pas sanctionner l'élève ,qui en,suite commence à tout se permettre dans un établissement.

2006-12-13 01:38:43 · 18 réponses · demandé par Padawan 2 dans Politique et gouvernement Police et application de la Loi

"Le chef d'établissement peut prononcer seul, donc sans réunir le conseil de discipline, une exclusion temporaire de l'établissement ou de d'un des ses services annexes pour une durée maximale de 8 jours."

2006-12-13 03:15:26 · update #1

18 réponses

un manque d'éducation en général pas seulement en milieu scolaire. d'ailleurs quelles sont les sanctions encore tolérées dans le milieu scolaire ?

2006-12-13 01:43:42 · answer #1 · answered by Rose marie l 4 · 3 0

on ne peut imputer la responsabilité qu'aux seuls enseignants, proviseurs et principaux de collége . certes ils ont creusé un peu leur tombe car il était "interdit d'interdire"

Mais les équipes de direction qui sont décidées à réprimer sévèrement les violences ne peuvent le faire car le système politique est laxiste et tout personne qui tenterait de ramener l'ordre est immédiatement insulté traité de facho et mis au placard !!

2006-12-13 09:44:51 · answer #2 · answered by theophraste2006 4 · 5 0

la violence est un problème de société et l'École n'est que le reflet de cette société Dire que des enfants sont violents parce que l'École est trop permissive c'est faire injure a ceux qui essayent tous les jours de redonner une éducation a certains alors que ce n'est pas leur rôle ils sont la essentiellement pour transmettre un savoir et former les esprits. Rejeter la faute sur l'École c'est se débarrasser du problème en trouvant des boucs émissaires et comme toujours il est plus facile de chercher des responsables que de trouver des solutions

2006-12-13 09:48:30 · answer #3 · answered by Anonymous · 3 0

Ma réponse est OUI et aussi à celle des parents...

(les parents s'en foutent, les directeurs ont peur)...

2006-12-13 14:33:49 · answer #4 · answered by oui_lou_c_moi 6 · 2 0

l ecole laique des annees 60 etait tres bien ,comme l 'ecole privee car il y a vait LA DISCIPLINE et la SANCTION pour les tetes de mules et en plus on savait lire ecrire compter pour se prendre en charge dans la vie (fils de p.... c etait le renvoi immediat) PAS de portables pas de vetements de marques de l amitié de la vraie ;c etait le bonheur et on avait les poches vides

2006-12-13 13:32:45 · answer #5 · answered by joane 6 · 2 0

UN TOUT
La corde à sauter et la marelle faisaient partis de notre vie quotidienne dans des lieux variés et surtout dans la cour de récréation c’était le temps ou l’on faisait l’expérience de la liberté seul et avec les autres et ou on prenait du recul par rapport à soi-même, et au monde qui nous entourait, le temps pour tous de découvrir. L’un des principaux enjeux de l’éducation est d’apprendre aux être humains à résoudre les conflits et cela dès l’enfance.
Autrefois la télévision servait juste a nous informer sur le monde, il existait qu’un seul jeu télévisé les chiffres et les lettres. A la maison, le soir des lendemains sans école, quand nous étions pas fatigués, nous participions au jeu de cartes contenant des questions et des réponses ou au jeu de l’oie certains comprenant ses embûches comme ses pénalités : le pont, le puits, la prison et la mort.
C’était le moment de communication, d’apprentissage du langage, de la patience et du respect. Nos adultes devenaient des enfants et exprimaient leurs émotions. Ils s’échappaient le temps du jeu, aux normes de la vie à ces règles de vie.
Lors des coupures d’électricités, mon grand-père allumait la lampe à pétrole et nous racontait sa jeunesse, et les histoires des temps anciens. Sous cette même lampe, ma mère, mes tantes et mes oncles ainsi que les cousins et cousines, on faisait nos devoirs, nos dessins d’histoires, de géographies et de sciences.
Hélas ! Le retour de l’électricité a chassé ces bons moments.
En éteignant la lampe. Le défunt a accompli sa fonction, il a achevé ce qu’il avait à faire. Quels que soient ses mérites et ses péchés, il devient quelque chose.
Il nous laisse des devoirs, il fait passer, il lègue son enseignement d’une tradition vivante et évolutive et non une évolution fermée à la nouveauté. Car le défunt ne pensait qu’à innover.
Des enfants jouant sur le trottoir à la marelle ou au ballon, dévalant en riant les escaliers, pour jouer à cache-cache ont disparus. Les conditions de vie se sont dégradées, ces jeux sont devenus dangereux, les quartiers ne sont pas conçus pour nos enfants ils sont conçus en dépit d’eux. Ils ont des multiples activités sportives et culturelles, éloignées du quartier et certains parents n’ont pas les moyens de payer ou de les conduire à ces jeux.
Les premiers jeux de sociétés sont apparus en Egypte Depuis par l’observation des règles, la convivialité et le respect de l’autre, l’imagination contrôlée l’homme s’est construite par le jeu.
De plus en plus d’enfants ne connaissent que le parcours entre leur immeuble et l’école. Il n’est plus tabou de dire qu’on s’ennuie à l’école. La plupart du temps, l’abandon avait lieu entre la classe de 4eme et de la 1ere. Maintenant l’épidémie gagne les moins de 16 ans. Ces enfants font l’école buissonnière dans les halls et les murs des immeubles, et se laissent entraîner dans la dérive de la violence ou de la drogue, voire de l’argent facile.
C’est aussi l’enjeu de notre école, qui a pour but dès qu’on atteint l’âge de la scolarité de nous donner certains outils pour avoir les moyens de cultiver ce que la nature, la culture nous offrent pour que nous puissions affiner notre personnalité, et avoir les moyens de choisir notre appartenance culturelle, philosophique, politique, et pour que nous soyons des femmes, des hommes libres. Elle ouvre sur l’avenir pour l’égalité des droits de chacun, librement fasse un choix de sa vie. L’enjeu de l’école est l’intégration, l’école est un des piliers contre le racisme et la xénophobie. Parce que l’école laïque, est la pour ne pas reproduire des communautés mais la communauté Nationale.
A chaque époque, à chaque société ses propres jeux, l’arène est le lieu de tout les défis, un espace clos où l’homme se mesure à lui-même, aux autres, il n’y a pas de solutions miracle alors le tricheur et le malade du jeu nourrissent l’imaginaire de certains,aux dieux et au sort, mais ceux-ci sont en fait hors-jeu.
Les moments de jeu nous délivrent des événements imprévisibles, des circonstances fortuites, qui sont des moments de liberté.


Désormais, on gère son temps, ses amours et ses loisirs. A économiser le temps, nous perdons peut-être une parole, un sourire, un contact et une chaleur…Nous voici matraqués, conditionnés, dépendants et assistés. Le moderne évacue l’ancien, les machines et les techniques évoluent, mentalités et modes de vies se transforment, les téléphones et les ordinateurs s’ils nous libèrent dans un certains sens, nous séquestrent du dehors.

2006-12-13 10:41:08 · answer #6 · answered by enft de la Rep 4 · 2 0

L'équipe de direction n'a aucune possibilité d'exercer une autorité ferme car cette possibilité lui a été retirée par la gestion calamiteuse de l'enseignement, gestion ignitiée par le non moins calamiteux ministre de l'éducation jospin. A force d'élire des incompétents nous allons nous retrouver dans un pays sous développé.

2006-12-13 09:48:47 · answer #7 · answered by ? 6 · 2 0

L'école ne peut pas tout résoudre, les premiers responsables sont les parents qui laissent leurs enfants dériver sans définir de limittes.
L'école ramasse la démission de tout le monde et ne peut éduquer contre la socialisation familliale.

2006-12-13 09:47:56 · answer #8 · answered by jean-michel c 3 · 3 1

Les premiers fautifs sont les parents qui doivent donner les bases de l'éducation et du civisme, et ensuite l'école doit se charger de peaufiner tout cela, en n'acceptant pas ce qu'elle accepte depuis déjà plusieurs décennies, car il fut un temps où il était interdit d'interdire, et voilà le résultat aujourd'hui.Même les parents viennent insulter les profs qui ont la mauvaise idée de punir ou de coller leur chère progéniture.Alors comment demander aux enfants d'être respectueux dans ces conditions ? ensuite les sanctions quand il y en a ne sont pas assez sévères ni dissuassives.Il est inadmissible d'accepter des insultes d'un élève, et de laisser s'installer le chaos dans une classe, et pire encore de banaliser le racket et les violences dans l'enceinte d'un collège ou d'un lycée.Si l'on ne fait rien la situation va échapper à tout contrôle, et dans certains établissements c'est presque le cas.

2006-12-20 10:38:31 · answer #9 · answered by Lilou 3 · 1 0

L'éducation d'un enfant commence à la maison, puis continue à l'école. Les parents et les enseignants doivent travailler de concert à faire des futurs citoyens. Malheureusement, de nombreux parents se déchargent de leurs devoirs sur l'école. Les enseignants, submergés par l'ampleur de la tâche et la mauvaise volonté évidente des parents, ne peuvent plus qu'assumer la partie strictement "technique" de leur travail. Comment pouvoir faire preuve de la moindre parcelle d'autorité sur des gamins à qui l'on inculque "VOUS AVEZ DES DROITS", mais à qui l'on omet volontairement de dire "MAIS AVANT TOUT, VOUS AVEZ DES DEVOIRS" ??? Des enfants qui exigent "ON ME DOIT LE RESPECT", mais qui, eux, ne RESPECTENT personne ???

2006-12-14 04:54:16 · answer #10 · answered by Anthéa 7 · 1 0

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