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juste un déséquilibre de neuromédiateur et d'hormone, la violence tient a peu de chose n'est-il pas vrai?

2006-12-11 08:16:35 · 3 réponses · demandé par Anonymous dans Sciences sociales Psychologie

3 réponses

Oui et non, je ne pense pas que la violence ne tienne qu'à ça. Même si on sait aujourd'hui qu'il existe des déterminants biologiques aux comportements violents, il ne faut pas non plus négliger les facteurs, psychologiques (vécu, évènements traumatiques...), sociaux voir même culturels. Ce sont eux qui déterminent la perception des situations, qui vont donner l'interprétation que l'individu va en avoir et par là mettre en place les réactions purement biologiques. A ce moment précis (à part certains cas bien particuliers) je pense qu'on a encore le choix et, même si c'est dur et que cela nécessite sûrement un "apprentissage", je pense que l'on peut canaliser cette violence et l'exprimer autrement (notre cerveau nous permet ça aussi). Encore faut il en avoir envie, commencer par accepter d'être violent pour pouvoir ensuite agir dessus.

2006-12-11 20:31:09 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 0

je sais pas si cela se résume à un pur acte physiologique, il y a un milieu social qui t'a appris à réagir par la violence(habitus) et un autre qui l'a banni, donc...je pense que la question va plus loin qu'une considération physique

2006-12-11 17:32:11 · answer #2 · answered by moi 2 · 0 0

Ce sont deux facteurs favorisant l'impulsivité. Mais ta façon de voir les choses n'est-elle pas un peu simpliste ? N'y aurait-il pas plutôt une relation dialectique entre violence et sérotonine ou testostérone ? La violence est quand même déclenchée avant tout par des facteurs externes. Testostérone et sérotonine ne sont que des facteurs de risque.

2006-12-11 16:35:37 · answer #3 · answered by Le vengeur masqué 6 · 0 0

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