Bayrou n'a t-il pas raison de dénoncer l'attitude des médias ?

Answer 1

F. Bayrou a entièrement raison. L'attitudes des médias vis-à-vis des candidats autres que N. Sarkozy et S. Royal, qu'ils soient de gauche ou de droite, est nocive au débat démocratique et à la diversité politique, et extrêmement dangereuse. J'espère que les électeurs sauront à nouveau sanctionner l''Establishment politique et les médias complices.

Answer 2

bien sur qu'il a raison. Les Médias sont a la botte de Sarko qu'ils encensent et ne parlent des autres que pour essayer de les prendre en défaut.

Answer 3

le pen avant bayrou denonçait ce probleme de democratie

Answer 4

Chaque année, des dizaines de nouveaux jeux, provenant du monde entier envahissent nos vies, suscitent un engouement aussi instantané qu’éphémère. Ces jeux suspectent et coupables d’autant que la répartition des gains s’appuient sur des enjeux qui favorisent toujours les organisateurs. Comme la publicité qui est la principale source de revenu de la presse et de la télévision !
Par l’intermédiaire des médias le capitalisme maintient son contrôle sur les adultes, mais également sur nos enfants. Le capitalisme éduque très tôt nos enfants, les médias dédient des programmes qui les conditionnent à la consommation et les habituent aux valeurs du système. Ils n’ont pas l’esprit critique très développé mais ils sont amenés à être des consommateurs et des travailleurs de demain.
A chaque instant de notre vie le capitalisme se perpétue malgré l’injustice qu’il procure grâce aux médias qui diffusent son message et nous encouragent à participer aveuglément. La publicité sous les aspects éducatifs pénètre dans nos écoles qui a pour but d’enseigner la morale républicaine et le patriotisme.
Notre école doit favoriser le développement intellectuel et donner un certain esprit critique et créatif et la volonté d’agir dans la société en tant que citoyen. Mais les intérêts du capital passent avant la liberté, l’égalité, la fraternité et la laïcité.
Depuis plus de vingt ans, les gouvernements européens, nationaux ne font plus de politique. Ils n’expriment plus les problèmes de la société et ils ne tentent ou n'essayent plus d’apporter des solutions. Nous sommes sur un marché mondial et contrairement à ce que l'on pense, le marché ce n’est pas de l’offre à la demande. Le marché, c’est la loi du plus fort.
Les entreprises semblent beaucoup moins soumises à la loi que les citoyens. Alors que les citoyens n’exercent leur pouvoir que lors des élections, les entreprises l’exercent toutes les secondes. Ils utilisent nos ressources, pour faire placer nos capitaux en mettant en place des réglementations aux profits des entreprises multinationales, les fonds de pensions et d’investissements, les sociétés d’assurances, les banques, et les professionnels de la spéculation.
Nos politiques légifèrent et les entreprises, construisent des paradis fiscaux pour des fonds légaux et illégaux. Les hommes politiques et entreprises font des affaires ensemble en pillant notre patrimoine.
Ensuite, ils communiquent, et après s’étonnent, font la morale, accusent les électeurs de démissionner ou de s’imposer.
Parce que nous voulons la paix et la fraternité, parce que nous ne voulons plus recommencer des guerres et des génocides.
Nous sommes pour l’Europe, mais pas une Europe de la dépendance économique, qui remet en cause notre protection sociale, parce qu’il faut aligner la productivité.
Au nom de notre devise: Liberté, Egalité, Fraternité. Notre pays, notre communauté européenne, notre Terre. Nous ne pouvons pas tolérer que l’un de nos enfants puisse vivre sous le seuil de pauvreté avec moins d’un euros par jours, c'est-à-dire sans avoir: de nourriture, un vêtement, un toit et un travail.
On voudrait que ce soit une Europe laïque, d’une Fraternité citoyenne.
Ce qui manque d’abord en France et dans le monde, c’est un catalyseur : un homme politique qui donne envie de construire.
Le rôle des hommes politiques est de préférer le destin à la carrière c’est d’entraîner le peuple comme Mendès et de Gaulle en lui disant la vérité tout en lui redonnant confiance en lui. C’est résoudre la cohabitation entre citoyens, exclure la violence sous toutes ses formes, pour consentir aux partages possibles, pour renoncer aux saccages, pour abandonner les activités destructrices pour travailler à l’émancipation de tous les êtres.
Le Général de Gaulle, notre Président de la République, fondateur de notre Constitution. Il avait ressenti parfois de la lassitude, malgré les critiques à son encontre, il a toujours trouvé une force pour propulser notre Patrie au sommet du monde.
Mon grand-père avait une radio qui marchait avec des piles carrées de la grosseur d’une boite de la moitié d’un morceau de savon de marseille. Quand il me promenait en brouette dans ses jardins, c’était moi qui tenais la radio, avec sa pile enroulée de scotche « hansaplast » à chaque intervention du Général il disait : « Sa parole c’est de l’or parce qu’il sort rarement du silence »
Les citoyens ne détestent pas la politique, ils n’aiment pas celle qu’on leur sert. Cette désaffection est inquiétante pour la démocratie il est temps que les partis renouvellent les élites politiques en retirant dans l’ombre de leur parti les sages qui sont à la lumière crue de la réalité.
Cet homme politique qui ne prend pas ce mandat comme un métier, qui ne cherche pas le pouvoir, son intérêt personnel, mais l’intérêt du peuple qui n’est pas au contact d’autres détenteurs du pouvoir mais au contact du peuple.
Dans la politique il y a beaucoup de candidats et peu d’élus, alors les partis politiques mènent une lutte sans merci pour s’approprier les votes du peuple.
Nous avons des parlementaires, et des ministres qui sont confrontés à des dossiers, parfois épineux, dont la prise en compte n’est pas chose aisée : Il y a ceux qui font de leur mieux et ceux qui ne sont pas forcément instruits de cette fonction humanisme.
A la recherche d’audimat, les médias diffusent toutes les mêmes reportages et les mêmes débats politiques qui attireront les citoyens.
Depuis que les médias ne sont plus financés par les citoyens, le système d’information est dépendant des entreprises et des pouvoirs.
De plus en plus les interprètes des émissions ne sont plus neutres. Sachant que c’est par les médias que le pouvoir peut être pris et c’est eux qui permettent de les conserver. Pour servir les intérêts du peuple, dans un pays démocratique les médias doivent être indépendants du pouvoir du capital et du pouvoir politique.

Answer 5

C'est l'hopital qui se fout de la charité.

Answer 6

Si, les medias on joué un role énorme pour Ségo et Nico

Answer 7

Oui.
Canal+, organe officiel de la gauche caviar devrait se faire rappeler a l'ordre.

Answer 8

il a raison car il n'y en a que pour sarko.les journalistes vont à la soupe comme d'habitude

Answer 9

Oui il a raison les deux grands groupes français de médias veulent nous vendre leurs propres intérêts via les deux candidats à qui ils échangeront plus tard leur propagande contre divers avantages patriotico-politico-économiques qu'ils demanderont bien entendu au nom du soutien aux "médias français" et de la liberté de la presse du pays de "l'exception culturelle"... Et la boucle est fermée.. Cocoricoo!!!.....

Answer 10

il a raison... ca fait pas mal de temps que je trouve que les medias sacralisent sarko et sego... et font du leche botte a tout va.

J'espere vraiment qu'ils vont se reprendre une baffe comme en 2002. C'est inadmissible dans une democratie que l'on accorde pas le meme respect pour tous les parties. Meme pour le FN qui faut combattre pour moi par l'information et non en le montrant du doigt...

Donc j'approuve le combat de bayrou, mais il doit faire gaffe a pas ce les mettre a dos quand meme, et ne pas se focaliser sur ce debat, je pense qu'il a beaucoup plus de choses a dire.