Un rêve assez bizzarre que j’ai fait il y a près de huit mois, et dont je ne vois toujours pas l’interprétation. Je suis dans une maison que j’ai loué à la campagne dans le namurois. Un type dont je me méfie assez fort, et que je pressens comme étant le diable ayant pris apparence humaine s’introduit, accompagné d’une sorte de garde du corps bardé de deux revolvers. Je négocie quelque chose avec le premier, qui cherche en fait à distraire mon attention pendant que son barbouze cherche Saïda, qui s’est caché en-dessous de la table. Il soulève la nappe, et Saïda se refugie à la vitesse d’une souris en-dessous d’un petit éléphant dont le dos est recouvert d’une couverture. Le barbouze va fouiller là aussi, et l’éléphant, pour lui faire peur, fait une telle pirouette qu’on entend une vertèbre de son dos craquer. Puis Saïda vient se cacher en dessous d’un fauteuil où je suis assis, vers lequel le barbouze se dirige.
Suite: Ouvrez yahoo, dans recherche, tapez: amis mahdi
2006-12-08
06:38:20
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12 réponses
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demandé par
Le Grand Monarque Universel
3
dans
Sciences sociales
➔ Psychologie
Il sfont chier avec leur manie de balancer les urls: http://www. (à suivre)
lesamisdumahdi (à suivre)
.com
2006-12-08
06:39:37 ·
update #1
Je commence à angoisser sérieusement sur la façon dont je vais résoudre cette situation désespérée, quand une femme barbouze surgit de nulle part. Elle s’adresse directement au barbouze qui accompagne le diable et commande: “Toi, viens dehors avec moi!” – Le barbouze, habitué à obéir aux ordres, la suit dehors. Curieusement tout en étant toujours chez moi, je vois ce qu’il font dehors comme si j’étais loin de ma maison.
Donc la femme barbouze (qui ressemble assez à une soeur de Saïda, soeur décédée dans des criconstances pas très claires, ou à une copine de Namur, un peu schizophrène) entraîne le barbouze dehors, puis elle lui commande: “Tournes-toi sur le côté, et sort tes flingues!”
Le type est curieux de la suite et obtempère.
Alors là, j’hallucine grave !
2006-12-10
04:27:26 ·
update #2
(fin) La femme barbouze sort ses pétards à la vitesse de la lumière et tire sur les mains du type ,en rafales, lui sciant méthodiquement ses flingues, et continuant centimètre par centimètre jusqu’au moment où le barbouze n’a plus que les moignons de ses coudes. Tout cela se déroule en quelques fractions de secondes.
Puis le type qui ne s’est pas rendu compte tout de suite, se remet en face d’elle, veut tirer à son tour, et baisse les yeux: Il ne saurait plus tirer, il n’a plus que ses moignons.
Je regarde la femme et je lui demande: “Qu’est ce qui se serait passé s’il avait tiré avant toi ?”
Elle rempoche ses flingues, et me répond: “La même chose qu’à lui…”
Puis la femme s’en va et le rêve se termine.
2006-12-10
04:28:27 ·
update #3