L'immortalité ? C'est surtout long vers la fin, comme l'éternité ...
L'immortalité est envisagée par la science-fiction sous 3 formes :
La régénérescence régulière : dans cette optique, l'immortalité s'apparente au mythe de la jeunesse éternelle et c'est souvent l'apanage d'une élite aux dépens d'une masse grouillante ... Ceux qui disposent de l'immortalité soumettent ceux qui n'en disposent pas, ce qui les placent en position de "dieux" ... L'implication physique est alors la recherche de la perfection et cela a (comme tu l'as décrit) une influence énorme sur la procréation (qui devient nulle ou contrôlée) et la sexualité (qui tend à disparaître) ...
La "sauvegarde" de l'âme assortie d'un changement de corps : c'est une sorte d'adaptation de la réincarnation qui place l'âme sur un autre plan que le corps ... Les moyens techniques permettent soit de reproduire le corps à l'identique par clonage, soit d'usurper le corps d'un individu né spécialement pour cette usurpation, et donc considéré comme inférieur ... La procréation est donc soit automatisée, soit jugée comme subalterne ... Mais dans cette optique, il n'est pas rare de voir le sexe subsister d'une manière particulièrement immorale ...
Le remplacement progressif de toutes les pièces, c'est-à-dire la bionique : c'est le terrain de jeu du scientisme le plus poussé ... En cela, le sexe ne revêt plus qu'un intérêt médiocre et il n'a pratiquement plus sa place dans un tel schéma ... La machine s'incorporant à l'homme finit par le déshumaniser, et c'est souvent un héros aux valeurs humaines qui vient contrecarrer les plans anti-humains de ces quasi-machines ...
En tout état de cause, et ça répond bien au dégoût exprimé par tous concernant l'immortalité, les tentatives de réfléchir à des formes d'immortalité morales et positives ne semblent pas pouvoir s'exprimer dans la science-fiction ... Il se trouve toujours un abus prévisible de ce droit quasi-divin pour nous avertir que l'immortalité ne serait pas une bonne chose ...
Peut-être sommes-nous définitivement et viscéralement attachés à notre condition animale au point de ne pas souhaiter la voir disparaître ... Le corps doit vieillir et mourir, c'est une nécessité pour goûter la vie telle que nous la goûtons ... Mais quand on pense à tout ce que la science fait autant que ce que fait chaque homme pour retarder l'heure de la mort, on peut se demander où se trouve la cohérence dans tout cela ...
2006-12-06 09:51:21
·
answer #1
·
answered by Dixneuf 6
·
0⤊
0⤋
un vrai reve
2006-12-13 20:29:06
·
answer #2
·
answered by R6 6
·
0⤊
0⤋
ni compte pas trop prolonger oui mais l éternité non et dans quel état les enfants font partis de notre accomplissement quant au Corp nous ne sommes pas tous égaux puisque la maladie existeras encore restons cartésiens;;;;;
2006-12-13 01:35:46
·
answer #3
·
answered by monickbehar 6
·
0⤊
0⤋
Cela aurait je pense des conséquences désastreuses ! dans quel état serions nous ? nous fabriquerions certainement une société d'éclopés et nous serions inévitablement en surpopulation !!
2006-12-10 09:41:59
·
answer #4
·
answered by monicklhay94 7
·
0⤊
0⤋
ah ah ah ah aha ... idiot bete . nous irions deja sur la lune puis conquerrir les etoiles sauf que sur certaines planetes on mourrait quand meme a cause des radiations . donc on nous clonerais un corps neuf mais ce ne serait pas nous a 100% . et de toute les façon le brassage des genes est essentiel ...
2006-12-06 15:16:19
·
answer #5
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋
il faut un corps de goliate pour ca .
2006-12-06 10:40:21
·
answer #6
·
answered by mohamed w 3
·
0⤊
0⤋
la foule pouah !
2006-12-06 09:58:07
·
answer #7
·
answered by db2006 1
·
0⤊
0⤋
Vitch-1 : tu tends vers 0, la courbe amorse la descente dès la naissance, tu vas mourir un jour et il y aura toujours des enfants.
Bon rêve.
2006-12-06 09:54:29
·
answer #8
·
answered by AMAZIGH 3
·
0⤊
0⤋
J'espère bien que cela n'arriveras pas ce serais déprimant
2006-12-06 09:53:04
·
answer #9
·
answered by caro11 2
·
0⤊
0⤋
Catastrophiques! Une longue dégénérescence....
2006-12-06 09:50:14
·
answer #10
·
answered by MarieS 5
·
0⤊
0⤋