parce que l'on a mis une veilleuse a ces étoiles pour que la nuit soit plus profonde
2006-12-05 01:55:16
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answer #1
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answered by ? 2
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sachant que l'étoile la plus proche de nous (enfin visible la nuit car l'étoile la plus proche de la terre est le Soleil) Proxima Centaurii est située à environ 4.22 années lumière (ou 270 000 unités astronomiques (une UA symbolise la distance qui sépare la Terre du Soleil - par vulgarisation, on considère qu'une unité astronomique mesure environ 150 millions de kilomètres) tu comprends qu'elles ont un peu de mal à éclairer la Terre les étoiles dans le ciel.
PS : l'étoile du Berger n'est pas une étoile mais la planète Vénus.
2006-12-05 01:53:18
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answer #2
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answered by shujin 7
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Paradoxe d'Olbers...
On admet que l'univers est en expansion, et que l'effet doppler existe. Ce qui fait que les galaxies (et leurs étoiles) les plus éloignées ont une lumière décalée vers le rouge, tant et si bien qu'elles émettent pour nous dans les infrarouges (invisibles pour l'Homme).
Et de plus, les étoiles n'ont pas une vie infinie, et on discute encore sur les limites (finies ou infinies) de l'univers, donc il pourrait y avoir des trous...
2006-12-05 01:55:37
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answer #3
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answered by Waly 2
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les étoiles nous éclairent autant qu'une bougie pourrait éclairer une cathédrale. C'est une question de puissance et de distance : un phare maritime regardé à 20cm aveugle son gardien, et n'est qu'un point lumineux à 10 km, et me^me 100 phares ne permettraient pas de lire le journal à 10km.
2006-12-05 01:53:42
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answer #4
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answered by paisible 7
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Parceque l'univers n'est pas infini et donc qu'il n'y a pas assez d'étoiles pour illuminer tout le ciel.
2006-12-05 01:50:15
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answer #5
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answered by Secret 6
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parce que j'ai etteint la mierlu
2006-12-05 10:37:06
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answer #6
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answered by Anonymous
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très simple : la densité d'étoile doit être constante comme le carré de la distance (on parle ici de surface) hors ce n'est pas le cas. Plus on avance dans le temps et moins il y d'étoile. (= plus on va loin et moins il y a d'étoiles)
mathématiquement : 2 x plus loin il y a moins de 4 x d'étoiles.
2006-12-05 06:01:14
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answer #7
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answered by solilote 3
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Mais la nuit n'est pas "noire" ! De tous les cotés nous parvient un rayonnement mais ce n'est pas un rayonnement visible !
2006-12-05 05:44:05
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answer #8
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answered by BOUAKE B 3
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tu connais très bien la question et je pense que tu te la pétes en ayant été sur des sites de vulgarisations scientifiques auxquels tu dois surement rien comprendre!
Alors au lieu de faire croire aux autres que t'es intellignet, va apprnedre ton cours de géométrie de 6ème et lache nous avec tes questions qui ont depuis longtemps été posées.
2006-12-05 03:46:29
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answer #9
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answered by Anonymous
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La première observation ayant mené lieu à une remise en question de ceci est très simple, et connue sous le nom de paradoxe d’Olbers, du nom du médecin et astronome amateur allemand du XIXème siècle qui popularisa cette question. La question posée par Olbers (et en fait d’autres avant lui) peut se formuler ainsi : « Pourquoi la nuit est-elle noire ? »
Les premières interrogations sur la noirceur du ciel nocturne semble remonter à Kepler et Halley, mais c’est l’astronome suisse Jean-Philippe Loys de Chéseaux qui insiste sur ce point vers 1743 dans son « Traité de la comète ». Celui-ci fait le raisonnement suivant : si les étoiles sont moins lumineuses que le soleil, c’est tout simplement car elles sont plus éloignées. Néanmoins, si tous le ciel était tapissé d’étoiles, alors le fond du ciel serait d’une clarté tout aussi aveuglante que la surface du soleil. En effet, si une étoile lointaine apparaît peu lumineuse c’est uniquement parce que elle nous apparaît petite du fait de son éloignement. On peut dire de façon équivalente que sa brillance de surface est la même quelle que soit sa distance, mais que son diamètre apparent décroît avec la distance. De Chéseaux remarque que si notre univers est infini est uniformément rempli d’étoiles, alors la baisse de luminosité de etoiles dû à leur éloignement serait en fait compensée par leur nombre de plus en plus important.
Bref, si l’on suppose que l’univers est éternel et uniformément rempli d’étoiles, il n’y a finalement rien de surprenant que sa luminosité soit infinie : une infinité d’étoiles rayonnant pendant une éternité rayonnent clairement une quantité inifinie de lumière.
Néanmoins, De Chéseaux fait remarquer que certaines étoiles proches peuvent en fait masquer des étoiles plus lointaines, et que de ce fait, même si le diamètre apparent des étoiles est petit, il existe une limite de visibilité dans l’univers. Une analogie triviale : si l’on est dans une forêt suffisamment grande, notre regard interceptera nécessairement un arbre et nous ne pourront jamais voir arbitrairement loin tant que la densité d’arbre reste grosso-modo constante. Par conséquent, il n’y a pas besoin de supposer que les étoiles brillent indéfiniment ou que l’univers soit infini, il suffit qu’il soit suffisamment grand et que les étoiles brillent suffisamment longtemps pour que le fond du ciel soit aussi lumineux que le soleil. Ceci est expliqué plus en détail dans l’article Retour sur le paradoxe d’Olbers.
Certes, l’univers n’est pas uniformément rempli d’étoiles, puisque celles-ci sont situées dans les galaxies, elles-mêmes formant des structures complexes, néanmoins si l’univers reste homogène à grande échelle, l’argument reste valable. De Chéseaux résout ce paradoxe en supposant que l’univers n’est pas parfaitement transparent et que la lumière des objets les plus lointains ne peut nous parvenir parce qu’elle aura fini d’être absorbée par le milieu environnant avant de nous atteindre.
En 1823 Heinrich Wilhelm Olbers refait, dans un article intitulé « Sur la transparence du ciel », le calcul de Chéseaux sans citer celui-ci... et c’est son nom que l’histoire a retenu. Il conclut « Toute droite que nous pouvons imaginer partant de notre Åil aboutirait nécessairement sur une étoile fixe, nous parviendrait nécessairement ainsi de tout point du ciel ».
C’est l’astronome John Herschell qui le premier fait remarquer l’explication de Chéseaux est intenable : si le milieu interstellaire absorbe effectivement le rayonnement, il va finir par être échauffé et par briller aussi (cette considération est évidente de nos jours, mais l’était beaucoup à l’époque, antérieure à la découverte des principes de la thermodynamique). Ce qui dit Herschell est exactement ce qu’il se passe dans le soleil : l’énergie du soleil est produite en son centre, mais celui-ci est opaque. De ce fait, les couches extérieures du soleil sont chauffées par la lumière qu’elles absorbent et se mettent elles aussi à rayonner. La surface du soleil est certes bien plus froide que son coeur (6000 degrés contre plus de 14 millions), mais il n’y a pas de perte d’énergie : le soleil produit en son coeur peu de photons très énergétiques et rayonne à sa surface beaucoup de photons moins énergétiques. Au final, sa surface rayonne autant d’énergie que son coeur n’en produit. Bref, Herschell montre qu’il y a là réellement un paradoxe : le fond du ciel devrait, quelle que soit son opacité, être aussi lumineux que la surface du soleil. En fait, si l’univers est éternel et que les étoiles ont toujours brillé, la luminosité devrait même être infinie.
Bien que simple a posteriori, il a fallu attendre quelques années la première tentative de résolution de ce dernier problème, que l’on doit semble-t-il à l’écrivain et poète Edgar Allan Poe en 1848 (il est possible que Arago ait, quelques années plus tard, trouvé indépendamment la bonne réponse). Celui-ci fait remarquer que si l’univers a un âge fini, seule une petite partie nous en est accessible du fait que la lumière voyage à une vitesse finie, ce qui résoud le problème. L’âge fini de l’univers s’explique naturellement si celui-ci est en expansion, et c’est ce que Hubble découvrira au début du XXème siècle. Une autre explication pourrait également venir d’un univers de taille finie ou alors inhomogène.
Bien que fréquemment mentionnée dans les ouvrages de vulgarisation, l’explication ci-dessus est fausse. Elle est vraie dans un univers statique qui serait créé tel qu’il est aujourd’hui à un instant antérieur donné, mais dans un univers en expansion, c’est un autre phénomène que son âge fini qui explique la noirceur du ciel : le décalage vers le rouge. En effet, à nombre de photons égal, plus un objet est rouge, moins il est lumineux. On peut en fait montrer que non seulement cela suffit à ce que la lumière reçue des objets les plus lointains soit extrêmement atténuée (voir l’article Les distances dans un univers en expansion), mais en fait cela est la vraie explication du paradoxe d’Olbers. En réalité, plus l’univers est âgé, moins le fond du ciel est lumineux, alors que l’explication proposée indique qu’avec le temps, le fond du ciel devrait être de plus en plus lumineux ce qui n’est pas le cas (voir l’article d’approfondissement Retour sur le paradoxe d’Olbers pour les détails). La résolution du paradoxe d’Olbers nécessite en réalité de faire appel à un ensemble de notions de physique assez complexes et il n’existe pas de réponse si simple que cela à la question d’Olbers.
En fait, le décalage vers le rouge représente même un obstacle très gênant en astronomie : la lumière des objets les plus lointains est tellement atténuée du fait de l’expansion que même avec les plus puissants téléscopes il faut des temps d’observation très longs pour arriver à les voir.
(mais il existe d'autres éléments de réponse...)
L'essentiel à retenir est que la nuit est noire car l'univers n'est pas statique sans quoi nous vivrions dans une lumière éclatante même en pleine nuit.
2006-12-05 02:14:40
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answer #10
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answered by Askme 1
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T'as pas remarqué que c'est la pleine lune ces jours ci ? comme le ciel était vierge de nuage hiers soirn je peux t'asurrer qu'on y voyait très bien !
Pour ça, faut aller à la camplagne...
2006-12-05 01:58:06
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answer #11
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answered by klode31 5
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