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Je choisirai le meilleur en fonction des votes qu'il aura obtenu.
S'il n'y a pas de votes,et bien je le choisirai lol ;-)
A vos plumes!!

2006-11-30 20:20:24 · 10 réponses · demandé par Anonymous dans Arts et sciences humaines Arts et sciences humaines - Divers

10 réponses

À deux mains

Imaginez… dix petits doigts… et votre tête est dans vos mains…
Ni masculin, ni féminin
À gauche pour donner, à droite pour recevoir
Actives en ce qu'elles tiennent, passives en ce qu'elles contiennent.

- Stop ! dit le pouce, je suis le maître, le maître-doigt, écoutez-moi ! C'est moi qui aide, c'est moi qui pouce.
- Attention ! dit l'index, je suis l'autorité, je catalogue, c'est moi qui décide, c'est moi qui pointe, je vous préviens…
- Heu… dit le majeur, consultez-moi, je suis l'important, le capital !
- Ne me laissez pas dit l'annulaire, j'agis très peu mais… c'est moi qui vais de pair.
- Oui, oui, dit le petit-doigt, c'est quand même moi qu'on finit par écouter… Alors…

Alors ?
Vous allez vous mordre les doigts et ne ferez plus rien de vos dix doigts si vous ne vous prenez pas en mains !
Prêtez-vous mains fortes et vous pourrez toucher, palper, tâter, saisir toute la chance que vous avez ; vous pourrez frôler, caresser, effleurer la fortune qui vous sourit ; vous pourrez manipuler pour modeler ou chatouiller pour rigoler, mais si vous ne mettez pas la main à la pâte, vous repartirez… la main dans le sac !
Alors prenez la vie à pleines mains, pétrissez, malaxez, griffez, tordez, laissez-vous enflammer par les lendemains !

Et, d'un petit signe de la main, je vous dis… à demain…

2006-11-30 20:22:36 · answer #1 · answered by MELINA 5 · 2 1

Je voudrais tant te dire toute cette tendresse
Cette douce chaleur qui enflamme mon cœur
Mais les mots se bousculent et restent ridicules
Et ma voix ne peut dire les plus belles caresses

Je voudrais tant te dire que le son de ta voix
Est pour moi une chose plus douce que les roses
Mes pensées sont confuses dans mon cœur l’amour fuse
Je ne sais pas te dire ce que tu es pour moi

Je voudrais tant te dire que ta chaude présence
Est toujours avec moi partout où que l’on soit
En un rêve éveillé fait de douces caresses
Je suis émerveillée de vivre ta tendresse

Est-il besoin de dire combien on se ressemble
Et combien nos pensées sont sans cesse les mêmes
Combien on s’est aimés combien toujours on s’aime
Comme il est bon de vivre d’être à toujours ensemble.

JE VOUDRAIS TANT TE DIRE JE T'AIME

2006-12-01 04:29:59 · answer #2 · answered by Nawres 5 · 2 1

Je ne sais pas si c'est mon plus beau, mais j'ai un attachement particulier pour celui-ci:

MON YGGDRASIL

Un murmure de feuilles porté par le vent
S’immisce au milieu du vacarme tonitruant,
Un subtil parfum de bois mouillé
Se fraie un chemin dans l’air pollué.

Interpellé, je lève les yeux,
Délaissant le bitume, les voitures et la piétaille,
Oubliant le béton et la grisaille,
Je regarde vers les cieux.

Et, plus haut que les tours de la ville,
Voilà que s’élève Yggdrasil,
Arbre – monde, cœur de la Terre,
Gardien des traditions millénaires.

Son vert feuillage
Caresse le ventre des nuages
Et protège toute vie
Qui s’abrite sous lui.

Sur son tronc, doux et rugueux,
J’aime à m’appuyer
Quand je me sens trébucher,
J’aime m’épancher quand je suis malheureux.

Qu’il est bon de s’allonger
Sur les racines moussues !
Et se laisser bercer, bercer, bercer,
Pleurer et dormir quand je suis fourbu.

Et de ses racines qui vont si profond,
Je puise ma force, mon énergie,
J’y retrouve le goût à la Vie
Et la volonté de faire front.

A cette vision, je souris.
un peu de soleil, un peu de pluie.
Un arc-en-ciel répand sur nous ses belles couleur,
Et l’image du frêne reste gravée en mon cœur…

2006-12-01 04:24:07 · answer #3 · answered by Mike B 6 · 2 1

ma misère ma souffrance mes soucies
aidez moi a me relever
la mal chance la misère le désarroi
aidez moi a me relever
l'injustice la trahison la bassesse
aidez moi a me relever

2006-12-01 04:29:43 · answer #4 · answered by dominic 3 · 1 1

Tiens, voici l'un des derniers que j'ai écris, c'est un acrostiche, il faut lire de haut en bas la première lettre de chaque vers pour connaitre le but du poème :

Elle est entrée dans mon coeur
Mais elle ne semble pas s'en apercevoir
Bringuebalant mon coeur de tous côtés
Redonnant de l'espoir à qui n'en rêvait plus
Avec ses yeux de chat,
Son sourire mutin
Son âme généreuse
Elle m'a prise dans ses griffes de velours

Mais suis je à ses yeux celui qu'elle attend
O divine, ne te joue plus de moi
Invite moi dans ton coeur

2006-12-01 07:47:41 · answer #5 · answered by moyndy 4 · 0 1

allo drose

La nature ne m'apprend rien
et parler aux gens m'ennuye
Tout les maux sont miens
Et je n'aime pas la vie

La science est une connerie
les animaux sont tous a abattre
Je ne pense pas mais je suis
entend tu mon coeur battre ?

Le reste n'est qu poussiere
Je m'en vais vomir mon midi
Reconnaitre en un dieu notre pere
C'est une frustration de l'envie

2006-12-01 05:17:38 · answer #6 · answered by suspend ton vol 4 · 0 1

Se pencher en avant et n’y voir que le vide…
Demander ta main, d’une caresse subtile,
Et ne voir se tendre que cette main avide.
Mon regard y voyait au delà des raisons
Je rêvais cette histoire au delà des saisons.
Mais maintenant dans le noir tu n’es plus que passé,
L’inconnue, s’offre de ne pouvoir plus t’aimer.

2006-12-01 05:02:33 · answer #7 · answered by Faust 4 · 0 1

Fais-moi l'amour, encore et encore,
Empêche moi de voir que tout ça peut finir.
Je t'en prie, aime-moi plus fort,
Sans quoi, nous allons nous détruire.

Fais-moi l'amour, encore et encore,
La nuit va bientôt venir.
Laissons-la tomber dehors,
Profitons-en pour nous unir.

Fais moi l'amour, encore et encore,
Je veux oublier que tu vas partir,
Et tant pis pour les remords,
Continue, donne moi du plaisir.

Fais-moi l'amour, encore et encore,
Une dernière fois avant d'en finir.
Je te suivrais même dans la mort,
C'est dans tes bras que je veux mourir.

2006-12-01 04:49:36 · answer #8 · answered by ange4456 4 · 0 1

Renaissance

Au loin, à l’horizon, une main rouge sang
Ecarte lentement des cieux obscurs encor,
L’océan ténébreux. Pensif et frissonnant
Peut-être un peu fiévreux, un ange guette l’aurore.

Noir sur l’escarpement, grotesque agenouillé,
Un monstre bienveillant est tapi à ses pieds.
Sous le soleil naissant, de pâles rayons profilent,
Les formes des falaises , et le dessin des villes.

Jadis murmure-t-il, l’homme était tout puissant,
Arasant les montagnes, surplombant les abîmes,
Il édifiait des villes de fer et de béton,
Aux longues tentacules s’agrippant jusqu’aux cimes.

Fou d’orgueil, sans pitié, il ne comprenait pas,
Ce monde souriant qui fut un paradis,
Où les derniers oiseaux, de pétrole englués,
Dans l’ombre des Prestige agonisaient sans bruit.

Venant de toutes parts, des vallées pétrifiées,
Des mers polluées, des nues empoisonnées,
Une clameur grandit, toucha le firmament,
Sortit de son exil, le plus grand des Titans.

Il fondit sur la Terre en déluge de feu,
Effaça tel l’éclair, l’empire orgueilleux,
Ecrasa, déchira, enchevêtra, tordit,
Les usines, les maisons, les palais, les abris.

Et les derniers humains hagards, anéantis,
Apprirent finalement, ma fille, mon enfant,
Que même le poisson, même la fleur des champs,
Tu les respecteras, car c’est aussi la vie.
Provenzano Renaud

2006-12-01 04:44:28 · answer #9 · answered by rhodan 2 · 0 1

Dis moi, est-ce bien la lune qui resplendit
dans cette soirée d'hivers où enfin je suis
comblé,heureux de voir qu'enfin on te rendit
à toi même aprés ta chute dans ce puit

Puit maudit qui fit paradis de vie ici
Enfer sur la terre que tes pieds avaient foulés
Vie trahie, salie, honnie qui te fit ceci
Mais belle enfin tu es revenue sans fierté

2006-12-01 04:40:18 · answer #10 · answered by Empereur 5 · 0 1

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