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Question

Tristounette

Ah ! Tristounette, jambes en levrettes,
Me voie m’ gausser de cette vue,
A perdre haleine et ma vertu,
Pour m’enquérir de cette soubrette.

A coup de zip, a coup de zete,
La faire monter et apparaître,
Ce doux morceau du type bavette,
N’envie en rien une crème fleurette.

D’une position qui m’est commune,
D’y faire sans peine ce qu’il convient,
Elle est ouverte et sier si bien,
De sa posture ou j’y revient.

Cheveux mouiller, torse gonflé,
A chaque râle, se voit vibrer,
Ces membres doux de pureté,
Que je caresse sans lâcheté.

Car elle ressent au fond d’elle-même,
Un bien immense et sans pareil,
Que ces instants soient éternels,
Pour peu d’une fin ou elle me mène.

Et de frictions a son extrême,
Au reflet d’eau de grosses gouttes,
S’amassent sans cesse dans la déroute,
Et font d’une marre notre entre mêle.

Je la sens chaude et prête a tout,
De m’y risquer, elle en est prête,
A tout chemin nous mène en Crête,
Pour terminer dans le dernier trou.

Mais elle retient mon attention,
A ne sauter aucun échelon,
En guise de gage et d’attraction,
Reprend l’entame de délections.

Nous n’en sommes plus au minutage,
Et que l’action soit contrôlée,
Le temps n’est plus au bavardage,
L’ayant en bouche pour le prouver.

Alors commence ce qu’elle aurait,
Au premier acte, du entamer,
Et qu’elle choit en puberté,
De doux baisés et rauques discrets.



Que de mouvements en prolongés,
Qui de ses mains s’agitent frêle,
Sur une cadence qui ne tient que d’elle,
Vitesse croissante est assurée.

A ces petits jeux, elle en est reine,
Abuse sans frein, sans trop de peine,
Et qui pour moi, j’y vois en scène,
Un déroulement d’une fin obscène.

Alors pour ne pas être en reste,
Sans trop la voir y mettre un terme,
D’une rotation et d’un sans gêne,
M’attire sur moi cette petite peste.

Doux et suave à l’état mure,
Gorgée a souhait d’une liqueur,
Qui coule a flot de cette torpeur,
Que je recueille comme un vin pur.

Mais elle aussi sent bien venir,
La chose crue qui fait gémir,
Accroître l’envie et définir,
A quels dieux puisse-t-elle séduire.

MOCKBA 2003
Souvenirs tentant.

au trois premieres reponses: ont parle de liberation des sex, c'est dans la bouche de chacun, dans les media, a la radio, dans les clips, au cine, tele, journaux et j'en passe et j'en passe, mais d'en parler sur fond de poesie, ca vous derange?? mais quel societe contradictoire!

au trois premieres reponses: ont parle de liberation des sex, c'est dans la bouche de chacun, dans les media, a la radio, dans les clips, au cine, tele, journaux et j'en passe et j'en passe, mais d'en parler sur fond de poesie, ca vous derange?? mais quelle societe contradictoire!

porno a fond, la n'est pas la question ! et ca vous choque!!!

Answer 1

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Answer 2

Pas tres poétique plutôt porno, manque de finesse et d'esprit......Beaudelaire reviens nous...........

Answer 3

tout ça pour ça, t'es un grand corps malade !!!!

Answer 4

trop long!!!

Answer 5

c'est un peu porno?

Answer 6

Burps

pardon