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2006-11-28 12:08:03 · 7 réponses · demandé par Kim Sumi 5 dans Societé et culture Cultures et groupes Homosexuel, bisexuel, et transgenre

Merci Joa de tous ces renseignements détaillés... (^_^) ... mais il manque un bout à ton copier-coller à la fin... et ta source, ce serait pas wikipédia ? (^_^)

J'aurais préféré une réponse plus courte que tu aurais écrite toi-même avec en "source" le lien dont tu t'es inspirée...

2006-11-28 13:45:49 · update #1

7 réponses

les fem. sont aussi appelées lesbian lipstick dans les pays anglo-saxon (lipstick voulant dire rouge a levre), des lesbiennes tres feminines donc.
Quant a la definition de butch, cela varie.Pour certaines, c'est par rapport a leur LOOK plus masculin, pour d'autres c'est leur TEMPERAMENT plus masculin.
Mais dans la realité c'est beaucoup plus complexe que ça.Il y a autant de diversité chez les lesbiennes que chez les heteros. Personnellement j'ai les cheveux courts et ne porte jamais de jupe ou robe. Mais, je suis douce, pas agressive comme peuvent l'etre certaines butch pures et dures. Ne me maquille jamais mais ne sort jamais sans parfum. Je me laisse volontier pousser les ongles, sauf lorsque je suis accompagnée parce que ça pourrait faire tres mal ;-)

2006-11-28 21:20:09 · answer #1 · answered by Natlo ♀♀ 7 · 4 0

une butch c'es une femme masculine, ms qui reste qd meme super sexy contrairement au camionneuse!!! lol qui elles sont masculine ms pas sex du tt!! puis une fém...euh bah je pense que c'est une fille feminine.

2006-11-29 04:37:47 · answer #2 · answered by lna 4 · 3 0

Une butch c'est une lesbienne assez masculine mais pas dutout camionneuse, et une fem. c'est les Lipsticks, les lesbiennes super féminines et super sexy...

2006-12-01 11:59:33 · answer #3 · answered by Anonymous · 0 0

Que voulez-vous dire de plus après la diatribe de Joana ! ;-)

2006-11-29 04:18:23 · answer #4 · answered by Faust 4 · 0 0

Je ne comprends pas la 2ème question et son sens

2006-11-28 23:41:52 · answer #5 · answered by superwomen 4 · 0 0

2 ième Q. ...Féministe ??,,

2006-11-28 22:37:46 · answer #6 · answered by ? 7 · 0 0

Les mots « butch », abréviation de « butcher » (boucher) en anglais, et « femme » ou « fem », reprise du mot français ou abréviation de "feminine", apparaissent aux États-Unis d'Amérique dans les années 1940 pour désigner les lesbiennes masculines et féminines. A l'origine, le mot « butch » peut désigner un homme particulièrement viril. Ces identités ont pour précédent la vogue des garçonnes en France dans les années 1920, et surtout le courant des lesbiennes habillées en hommes, comme Mathilde de Morny ou Radclyffe Hall, opposées à la féminine Djuna Barnes ou à l'amazone Natalie Barney. Le couple formé par Gertrude Stein et Alice B. Toklas fait partie des précurseurs.

Étudiées dans la communauté lesbienne de Buffalo (New York), ces identités répondent au besoin d'affirmer la spécificité de la communauté des lesbiennes et modélisent les comportements. Elles se sont étendues durant les années 1950 et ont structuré la sous-culture des bars lesbiens aux États-Unis et au Canada, reprises sous ce nom au Québec. En transgressant leur genre sexuel et par leur attitude revendicatrice, les « butches » rendaient visible la communauté lesbienne, mais souffraient davantage des violences et des discriminations. De leur côté, les « fems » pouvaient soutenir les « butches » tout en profitant de l'indifférence qu'elles suscitaient (voir placard).

Dans les années 1970, certaines féministes radicales discréditent les identités masculines pour leur culture machiste et comme imitation des hommes, et attaquent la sexualité « butch-fem » comme caricature du couple hétérosexuel. (On peut voir une représentation de cette défaveur dans la partie centrale du film Sex Revelations.) Ces attaques ont mené à l'homogénéisation de l'apparence des lesbiennes, et à la mode des lesbiennes androgynes, puis celle des lesbiennes « lipstick » qui s'est diffusée par le biais de la publicité.

C'est dans les années 1980 que s'élève une défense et une réhabilitation de ces identités historiques et de ces modes d'identification (avec Joan Nestle puis les théoriciens queer). Les Drag kings connaissent une nouvelle faveur, la chanteuse k.d. lang ne craint pas d'apparaître en costume masculin, et un groupe de chanteuses se nomme même les Butchies. Ces mots ne parviennent que dans les années 1990 en France, où existaient déjà des mots pour les lesbiennes masculines (« camionneuse »), et pour le couple « jules »/ « nana », et où vivaient des personnalités telles qu'Hélène Azenor ou Monique Wittig.


Pratique sociale [modifier]
Les “butches” correspondent aux “garçons manqués” : elle ont des allures, des occupations, des goûts et/ou un habillement que les sociétés sexistes ou machistes réservent aux garçons. Certains transgenres peuvent s'identifier aux “butches”. Mais les “butches” sont à distinguer des transsexuels femme vers homme, qui s'identifient en tant qu'hommes (par exemple Brandon Teena). Les “fems” cultivent une allure féminine mais n'adhèrent pas à leur genre sexuel par leur sexualité. Elles sont rarement vues comme homosexuelles, mais peuvent donner une image des lesbiennes plus variée et mieux acceptée. Le “lesbian chic” recouvre l'identité de lesbiennes féminines aux revenus confortables, bien placées socialement. (On peut en voir la représentation dans le film She Hate Me ou la série The L Word.) Ces identités servaient à la construction de sa propre image, comme présentation de soi et mode de séduction, et à la construction de l'image des autres lesbiennes, comme moyen de reconnaissance et support érotique.

Les identités “butch-fem” peuvent s'étendre à la sexualité pour laisser entendre les pratiques sexuelles et le rôle dans le couple. L'association de ces appellations suggère une complémentarité des rôles. Elle rappelle le préjugé populaire qui veut que les homosexuelles soient des femmes masculines cherchant à séduire des hétérosexuelles féminines. Mais elles ne fonctionnent pas comme modèle de couple : il y a des couples “fem-fem” et “butch-butch” comme des couples “fem-butch”. La “stone butch” représente le cas extrême de la femme très masculine qui séduit les femmes et leur apporte du plaisir sans réciprocité. Dans d'autres sociétés, les couples de femmes se formaient suivant une exigence de complémentarité de genre, généralement conditionnée par l'âge, par exemple chez les Nuer du Soudan ou chez les Yoruba.

Ces identités d'apparence rigides sont contrebalancées par les goûts et les diférences individuelles, et la redéfinition des identités. Suivant le contexte, les personnes peuvent adopter ou rejeter l'un ou l'autre de ces identités, ou les deux. Elles ont représenté alternativement des identités à défendre et préserver ou à

2006-11-28 20:47:10 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 2

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