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Ou admettez vous que le communisme est une idéologie visant à réduire les inégalités, à partager équitablement les richesses et donc à mieux vivre?

2006-11-28 11:23:19 · 15 réponses · demandé par trotskaille 4 dans Politique et gouvernement Politique

Dois-je reformuler? Pensez vous que l'idéologie communiste n'ai séduit que des foules de tarés assoiffés de sang...? Et à votre avis, qu'on vécu les cocos lors de la mise en lumière des pratiques staliniennes en URSS?

2006-11-28 11:34:46 · update #1

15 réponses

pourquoi faites vous la différence entre une théorie et son application par les humains quand il s'agit de religion mais pas de politique ?
je m'explique : quand on dit que dieu n'est pas bon, on répond que si, il est bon. c'est la façon dont les hommes suivent son message qui est mauvaise.
mais on n'entend jamais (ici en tous cas) que ce n'est pas le communisme qui est mauvais, c'est la manière dont certains (staline, mao, castro etc...) l'ont utilisé qui pue.

alors moi je le dis : à mon avis si le communisme est loin d'être parfait, il est basé sur des principes de partage, d'égalité et de liberté. ça, si on reste honnête, on ne peut pas lui retirer.
le capitalisme repose sur la loi du plus fort, le nationalisme sur le rejet de l'autre et l'anarchisme sur la liberté individuelle dans le respect immédiat de l'autre.

choisis ton camp camarade...

2006-11-28 12:37:52 · answer #1 · answered by Anonymous · 1 2

L'idéologie communiste consiste à partager les biens d'autruits. En gros c'est "donne moi ta montre, je te donnerais l'heure".
Ceux qui ont des doutes sur les bienfaits de cette idéologie ne sont pas forcément des méchants mais seulement des personnes mal éduquées: il est donc necessaire de les rééduquer par un travail au service de la collectivité. Ce n'est qu'en cas d'échec de cette thérapeutique que l'on fusille les discidents.

Bien sur, Robert Hue et Marie-Georges Buffet n'ont pas grand chose à voir avec Staline. De nos jour, l'homme politique le plus Stalinien est Jean Marie Le Pen.

2006-11-29 05:05:32 · answer #2 · answered by phil de lille 6 · 0 0

C'est une erreur. Tous les hommes ne sont pas égaux. Par ex, il y a beaucoup d'anticommunistes qui ne savent pas écrire trois lignes sans faire de fautes. Eh les FN, apprenez l'orthographe ou quittez le pays. Le Bled ou l'exil.

2006-11-28 23:36:26 · answer #3 · answered by Anonymous · 0 0

Les communistes existent encore ?

:)

2006-11-28 20:02:07 · answer #4 · answered by snake56 2 · 0 0

Partout ou le communisme à sévi, on a vu ce que ça a fait... les gens voulaient tous se barrer pour aller deviner ou, dans des pays dit capitaliste... étrange ?

Bref à en croire les coco (marie george benoit noel josé arlette) le communisme c'est le paradis et le capitalisme c'est l'enfer...

2006-11-28 19:45:13 · answer #5 · answered by ptitmimi 2 · 1 1

A la base le communiste part d'un bon sentiment (oui oui en toute honneteté sans cynisme). Malheureusement il part d'un mauvais principe de base dans lequel tous les hommes sont égaux. Et quitte à choquer le politiquement correct, ce n'est pas vrai. Certains plus intelligents verront toujours les profits qu'ils peuvent se faire sur le dos des autres. Etre pro-goulag, faut pas abuser, c'est camps la sont une horreur, autant demander si les pro FN sont des pro-camps. Lisez un peu Soljenitsey..

2006-11-28 19:39:43 · answer #6 · answered by Vitia 2 · 1 1

ahhh le partage de richesse, l'égalité de tout les gens que de belles idées.......sur le papier
oui cette philosophie est belle mais malheureusement inapplicable...l'histoire nous l'a prouvé
l'homme ne fait du bon travail que parce qu'il existe la concurrence, l'espoir de mieux gagner sa vie et la possibilité de mener une vie meilleure.
maintenant il est vrai qu'il est plus facile d'être cadre qu'ouvrier....quand on est établi...
alors que faire?

-l'ideal serait que tout le monde devienne cadre? et exploite du coup des ouvriers du "tiers monde"....bien que ce soit irrealisable, je suis persuadé que tous les ouvriers communistes signeraient tout de suite!!!
comme quoi l'idéologie a ses limites!
donc cette solution n'est pas la bonne.....

-il faudra toujours des ouvriers qui produisent et des chefs qui dirigent....comment choisit on les gens qui dirigent? en theorie c'est parce qu'ils sont plus intelligents (bien que je n'aime pas trop ce mot du fait que certains ouvriers sont tres intelligents). en tout cas les dirigeants ont des diplomes...ce qui leur permet de diriger

moralité, faites des études

2006-11-29 01:44:14 · answer #7 · answered by Matthieu s 2 · 0 1

le comunisme n 'a jamais existé lisez plutot !


FALSIFICATION : LE MYTHE DE LA RUSSIE « SOCIALISTE »


Ex-URSS, Chine, Cuba… des pays socialistes ?

Il est des idées fausses qui ont la vie dure. Ainsi en est-il des pays dits « socialistes » (ou « communistes »), appelés également « du socialisme réel » ou « du socialisme réellement existant ».



Si l’arrivée au pouvoir, en octobre 1917, d’un gouvernement despotique en Russie, s’attira, dès le départ, l’opposition de nombreux socialistes (Karl Kautsky et Rosa Luxembourg en Allemagne, Max Adler et Bruno Bauer en Autriche, Plekhanov, Martov et Axelrod en Russie même, et bien d’autres), il est un fait indéniable que la Russie a été, depuis lors, identifiée avec le socialisme, contribuant grandement au rejet de celui-ci de la part de la majorité des travailleurs de la planète… Pour le plus grand plaisir – et le plus grand soulagement – des capitalistes, trop heureux d’aider les « communistes » à perpétuer cette confusion. L’hostilité des salariés au socialisme, bienvenue des capitalistes, a eu pour effet de prolonger l’existence du capitalisme, un système qui, pourtant, leur mène la vie dure et condamne des millions d’entre eux au chômage et à la pauvreté.



Il est vrai que dans les pays occidentaux, la classe capitaliste, dont la position et les privilèges ne sont pas en danger, a l’intelligence de permettre l’existence d’organisations anti-capitalistes (qui, en raison de leur petite taille, sont tolérées car elles ne représentent aucun danger pour ses intérêts ni pour le système lui-même), ou de ne pas emprisonner les opposants, donnant ainsi un vernis démocratique à sa domination sociale. Au contraire de la dictature du capitalisme privé dans le domaine économique, qui s’exerce avec le consentement de la majorité, dans la Russie « socialiste », la domination de la bureaucratie s’exerçait contre la volonté du plus grand nombre, rendant inévitable le recours à la force armée et à la répression.



En fait, ce que nous appelons socialisme n’a rien à voir avec l’acceptation générale du terme. Pour nous, le socialisme est un système dans lequel les moyens de production de la planète sont la propriété commune de tous les membres de la société qui peuvent ainsi les administrer démocratiquement. La population étant propriétaire des moyens d’existence et des richesses produites, elle n’a pas à acheter ce qui lui appartient déjà et se sert librement en fonction de ses besoins. En bref, il s’agit d’une organisation de la société basée sur le principe : de chacun selon ses capacités à chacun selon ses besoins. Il s’agit donc d’un monde sans argent ni salaires, sans États ni frontières, sans classes sociales ni guerres.



On le voit, un tel système n’a jamais existé, les pays considérés comme « socialistes » n’ayant jamais été des sociétés sans argent, sans classes sociales ni État. Mais parce que, en grande partie à cause de la Russie, le socialisme est, pour beaucoup, associé à un régime dictatorial pratiquant la violence et la terreur à grande échelle, nous allons examiner de plus près l’une des plus grandes mystifications et l’un des mensonges les plus grossiers de l’Histoire récente. La tâche des socialistes étant, entre autres, de faire naître en chacun le désir de vivre dans ce monde « meilleur » que sera le socialisme, il est clair que pour mener à bien cette œuvre, on se doit, tout d’abord, d’écarter certains obstacles, dont le mythe de la Russie « socialiste » n’est pas l’un des moindres.



Propriété d’État = propriété socialiste ?

Mais alors, si la Russie n’a jamais été socialiste, quel type de société s’est développé là-bas ? Parce que, dans ce pays, les moyens de production étaient nationalisés, on essaya (et on essaie encore !) de nous faire croire qu’ils étaient entre les mains de la population. C’est exactement comme si on nous disait que les entreprises d’État qui existent ou existaient dans nos pays occidentaux (Renault, EDF, SNCF, etc.) « nous » appartenaient. Une affirmation rapidement démentie par l’observation la plus superficielle. Avons-nous jamais eu notre mot à dire sur la manière de gérer les entreprises « publiques » ? Avons-nous jamais eu libre accès à l’électricité, à l’eau ou aux automobiles produites par les entreprises d’État ? Avons-nous jamais pu voyager librement sur les réseaux publics de transports de voyageurs ? Les salariés du public n’ont-ils pas toujours dû défendre leurs intérêts tout comme ceux du secteur privé ?



En fait, la propriété étatique (ou publique) est simplement une forme différente de gestion de l’économie capitaliste. Tout comme les sociétés privées, les entreprises étatiques fabriquent des marchandises ou fournissent des services en vue de réaliser un profit.



D’ailleurs, si l’on compare le modèle économique russe à celui des pays occidentaux, on peut observer quatre traits caractéristiques similaires :

1° le contrôle, par une minorité dirigeante, des moyens de production et, par conséquent, la division de la société en deux classes aux intérêts antagoniques ;

2° le système du salariat – caractéristique originale du capitalisme –, c’est-à-dire l’obligation, pour les travailleurs, de vendre leur force de travail à un employeur (l’État-patron, dans le cas de la Russie) en échange d’un salaire ;

3° un État, instrument de défense des intérêts de la classe dominante et d’asservissement des salariés ;

4° la production de marchandises, c’est-à-dire de biens et de services produits pour la vente en vue d’en tirer un profit.



Si, d’un autre côté, on se rappelle que le socialisme est basé sur :

1° le contrôle, par la société toute entière, des moyens d’existence et, donc, l’absence d’une classe possédante et d’une classe exploitée ;

2° l’égalité sociale, c’est-à-dire l’inexistence de la relation capitaliste employeur-employé ;

3° l’administration démocratique des moyens de production des richesses ;

4° la production des biens et des services en fonction des besoins exprimés par la population ;

on se rend compte que le système qui prévalut en Russie – et se perpétue en Chine – n’était ni le socialisme, ni le capitalisme privé, mais une forme particulière de capitalisme que nous qualifions de capitalisme d’État.



Russie « communiste » : une société divisée en classes
Nous l’avons vu, dans nos pays, l’appropriation des moyens d’existence de la société par la minorité capitaliste a comme conséquence, sur le plan social, de diviser la société en deux classes sociales principales aux intérêts opposés, d’un côté, la classe capitaliste, qui possède et/ou contrôle les moyens de production et, de l’autre, la classe salariée, obligée de travailler pour la première en échange d’un salaire.



Ce schéma se reproduit-il dans la Russie « communiste » ? Évidemment, oui ! Tout comme dans les pays occidentaux, il existait, en Russie « communiste » (tout comme il existe en Russie capitaliste), des salariés obligés de travailler pour un employeur afin de vivre. Et, tout comme dans nos pays, il existait en Russie une classe dirigeante qui avait le monopole des moyens de production, en tout cas ceux qui étaient les plus importants d’un point de vue économique et stratégique… à la différence que ce monopole ne revêtait pas les mêmes formes que dans les pays capitalistes occidentaux.



En effet, dans la Russie « socialiste », l’économie était presque complètement étatisée. Ainsi, ceux qui contrôlaient l’État étaient en mesure de s’approprier les richesses produites par les entreprises nationales. Dans le cas particulier de la Russie, cette classe dirigeante était formée de ceux qui occupaient les échelons supérieurs du Parti communiste – le Polit Buro, le Secrétariat, le Comité central –, et les postes clé de l’État et de l’économie – ministres, ambassadeurs, militaires de haut rang, directeurs d’entreprises, d’usines et de fermes collectives –, en un mot, la fameuse Nomenklatura. Bien sûr, ils ne possédaient pas (à l’instar des capitalistes privés occidentaux) de titres de propriété individuels sur les moyens de production (ils n’en n’avaient d’ailleurs que faire), mais ils contrôlaient ces derniers collectivement.



Cette forme d’appropriation collective de classe des moyens de production, certes différente de la propriété privée et individuelle qui s’est développée dans les pays occidentaux, n’a en fait rien de nouveau ni d’original dans l’Histoire. En effet, les rois de Babylone, les empereurs de Chine et les pharaons d’Égypte n’avaient nul besoin de titres de propriété pour mener leur existence fastueuse et parasitaire. Plus près de nous, au Moyen Age, le haut clergé n’était pas non plus légalement propriétaire des domaines de l’Église catholique pour exploiter les serfs qui y travaillaient.



Russie d’hier et d’aujourd’hui : du capitalisme… au capitalisme
A la disparition de la Russie « socialiste », une partie de la Nomenklatura, l’ancienne classe capitaliste d’État, profita de sa position privilégiée pour se reconvertir en une classe capitaliste classique. Bien sûr, parmi les membres de l’ancienne classe dirigeante, nombreux sont ceux qui y laissèrent des plumes. Certains tentèrent bien dans les premières semaines, au milieu de la confusion, de reprendre le contrôle des événements pour revenir à l’ancien système nomenclaturiste, mais en vain.



Si l’on peut se réjouir de l’échec du capitalisme d’État en Russie, plusieurs décennies de propagande, animées aussi bien par les partisans de ce « socialisme » (prisonniers d’un discours conçu à une époque où ce terme jouissait d’un grand pouvoir d’attraction) que par ses adversaires (trop heureux de démontrer l’indéniable supériorité du capitalisme), ont amené une immense majorité de travailleurs à identifier le socialisme avec le capitalisme d’État, créant ainsi une des plus grandes confusions – et l’une des plus néfastes pour la classe salariée – du 20ème siècle.



Pour nous, socialistes, la disparition du capitalisme d’État, même affublé d’un masque « socialiste », n’affecte pas la cause socialiste. Parce que le socialisme n’a jamais encore été établi, il est toujours à l’ordre du jour. Après tout, comment la société actuelle, dans laquelle règne la loi du plus fort, où une minorité mène une existence privilégiée et insouciante pendant que la majorité est confrontée au (ou sous la menace du) chômage, à la pauvreté, au stress, à la précarité ici, à la faim et à la guerre ailleurs, comment cette société peut-elle être considérée comme « le meilleur des mondes possibles » ?

2006-11-28 22:58:22 · answer #8 · answered by billy pour les les travailleurs, 7 · 0 1

Ceux qui ni sont pas ignorants? Sans aucun doute!

Pour les autres, ce sont des rêveurs et leurs rêves ont déjà tué des millions d'hommes. Il serait tant de se reveiller!

2006-11-28 20:32:50 · answer #9 · answered by AnarKap 2 · 0 1

Ben disons que dans les années 50, si les cocos avaient eut les pleins pouvoirs en France, on serait devenu une colonie Russe. La plupart d'entre eux savaient pour la Goulag et les plus haut placés les avaient vu. Mais Chut, faut rien dire, le communisme c'est top.
Combien de communistes convaincus ont déchiré leur carte de membre par dégoût d'un système qu'ils pensaient juste? Ont-ils dit un jour: ce qui se passe dans les pays de l'Est, nous ne le cautionnons pas? Jamais. Ils ont pleinement soutenu les politiques Staliniennes, ils aimeraient que le jour de sa mort soit un jour de deuil national. Brefs, ils vivent toujours dans leur rêve.
La plupart des figures emblèmatiques du communisme sont des fous sanguinaires (Staline, Mao, Che Guevarra, Castro etc.). Et Karl Marx n'était pas un visionnaire mais un utopiste, un doux rêveur qui aurait aimé se poser comme sauveur du monde mais qui s'est gravement planté. Voilà pour le cas général.
Pour le reste, il est évident que nombre d'entre eux sont justes mal informé ou se laissent gentiment abuser par ce système pour le moins défectueux et irréalisable (bref, la théorie est très jolie mais la pratique...)

2006-11-28 20:18:00 · answer #10 · answered by alexhunter_real 5 · 0 1

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