Non, avec ce système, pauvreté pour tous, mais plus rapidement avec la droite,
2006-11-28 07:13:26
·
answer #1
·
answered by Secret 6
·
1⤊
3⤋
La gauche a déjà été au pouvoir et il n'y a eu aucun équilibrage des richesses. Il y a des riches chez eux aussi et si tu crois qu'ils vont te donner leur pognon tu te fous le doigt dans l'oeil.
2006-11-28 15:22:54
·
answer #2
·
answered by le_bateleur_be 6
·
5⤊
0⤋
Tu y crois encore, toi, à cette vieille légende que la gauche va prendre aux riches pour donner aux pauvres ??
Faudrait être vraiment naïf pour ne pas voir que le clivage entre la droite et la gauche n'est pas immense ... N'attends pas de rééquilibrage des richesses, tu serais déçu.
2006-11-28 15:16:41
·
answer #3
·
answered by Perseph'one 7
·
5⤊
0⤋
le coco de service remet ça.. t'as pas étudié l'économie toi lol
Sous Jospin elle a vachement équilibré les richesses la gauche.., si tu avais lu les études de l'ocde ou de l'insee sur le pouvoir d'achat en france ces dernières années tu aurais (peut être..) vu la baisse du revenu des CSP les plus modestes (ouvriers, agriculteurs, employés entre autres) sous le dernier gouvernement de gauche, tu l'as pas vu? ca m'étonne pas!
Quel est le 1er Ministre qui a signé la libéralisation du secteur énergie pour la France? (cause de la privatisation de GDF etc) Jospin au sommet de barcelone!!
Je crois que Jospin a perdu en 2002 parce que la gauche post-mitterrand n'a pas rempli ses promesses de justice sociale, et pas mal de gens de gauche s'en sont rendus compte sur leur feuille de paye avec sanction aux urnes! (dispersion des voix et abstention)
je résume sous le gouv. Jospin 1997-2002 :
-record de privatisations (les entreprises et participations de l'état qui restaient en gros)
-explosion du salaire des Pdg du CAC40 et rattrapage des niveaux internationaux (US..)
-ratification de la directive énergie (c'est pas la casse annoncée d'un service public cher à la gauche??)
-baisse du pouvoir d'achat des CSP plus modestes (qui sont censées être aidées par la gauche..)
-la loi des 35h (soi disant payées 39) : combien d'emplois crées? que dalle! et qui on le voit depuis a augmenté la flexibilité, le stress et le coût du travail = grands gagnants les cadres (qui ne sont même pas aux 35h lol) qui peuvent se payer leurs RTT au soleil.. merci Martine elle est vachement sociale ta mesure!
etc etc
2006-11-28 15:34:40
·
answer #4
·
answered by pepito075 6
·
4⤊
0⤋
La gauche caviard,c'est la même chose,tu croies qu'elle va changer les choses se sera pareil ,tu bosseras toujours autant avec la même sensation d'être pris pour un imbécile/
2006-11-28 15:15:45
·
answer #5
·
answered by jyb 5
·
4⤊
0⤋
équilibrage des richesse avec la gauche ?? on a le droit de rêver... son passé à la tête de l'Etat avec Mitterrand ne convianc guère de ce point de vue
2006-11-28 15:15:18
·
answer #6
·
answered by krysshaz 5
·
5⤊
1⤋
oui avec la gauche, équilibrage des richesses : personne de riche et tout le monde presque pauvre.
2006-11-28 15:47:37
·
answer #7
·
answered by Sébastien 4
·
3⤊
0⤋
le probleme est simple:pour redistribuer,il faut d'abord creer des richesses. on n'en parle pas comme si le profit etait malsain.les vrais socio-democrates europeens eux sont lucides et realistes
2006-11-28 15:39:19
·
answer #8
·
answered by pierregady 5
·
2⤊
0⤋
si c'était aussi simple...
la gauche serait au pouvoir pour la simple et bonne raison qu'il y a plus de pauvres que de riches
non ???
Pourquoi penses tu qu'il y ait une alternance depuis des dizaines d'années maintenant???
Ton avis/question est au mieux simpliste, au pire démagogique...
2006-11-28 15:21:57
·
answer #9
·
answered by D C 4
·
3⤊
1⤋
C'est tout a fait ça , puisque je viens de regarder une emission a la tele ou P MEHAIGNERIE a reconnu que l' U M P avait de trop abuse a penalise les français depuis 2002 , et sur une autre chaine F FILLION a lui aussi reconnu que le probleme des retraites n'avait pas ete une bonne idee
Autrement dit L' U M P fait et pour la periode electorale regrette ?????
Concernat la gauche , je crois qu'il faut attendre ???
2006-11-28 16:32:53
·
answer #10
·
answered by coeurgreffe 4
·
1⤊
0⤋
CAPITALISME : LE MONDE DANS LEQUEL ON VIT…
Le meilleur des mondes possibles ?
Dans tous les pays du monde, une petite minorité privilégiée de la population se permet de vivre sans travailler grâce aux revenus qu’elle perçoit d’un capital investi dans l’économie, alors que, à l’autre bout de l’échelle, la grande majorité, elle, est obligée de travailler pour vivre… ou, pour une grande partie, pour survivre. En effet, en France, pour citer quelques exemples, 10 % environ des ménages ont des revenus inférieurs au seuil de pauvreté, 6 millions de personnes dépendent des minima sociaux et, parmi elles, 2 millions ne vivent que grâce au RMI, 25 % de la population active renonce aux soins médicaux pour des raisons financières, quelques 200 000 personnes sont sans abri et 2 millions mal logées.
Des chiffres ? Qui montrent, en tout cas, une énorme disparité entre une minorité parasite et la majorité travailleuse. Pourtant, en dépit de cette situation bien connue, peu de gens comprennent la relation existant entre la richesse des uns et la pauvreté des autres. Pourtant, si quelques uns s’approprient la plus grosse part du gâteau, ne reste-t-il pas que des miettes pour les autres ? Et en France, nous dit-on, nous avons de la chance ! Il est vrai que, dans la plupart des pays de la planète, les simples notions de SMIC, d’assurance chômage ou de minima sociaux sont tout simplement inimaginables.
Ouvrir les yeux
La quantité, la gravité et l’étendue des problèmes dont souffre l’humanité, de même que l’incapacité chronique de tous les gouvernements à leur apporter des solutions, peuvent nous amener à penser que leur solution est hors de portée et qu’on ne peut donc rien faire contre cet état de choses. De leur côté, les bénéficiaires et les défenseurs du système actuel ont beau essayer de faire croire – à partir de l’échec des expériences « socialistes » et de raisonnements éternellement contredits par notre réalité quotidienne – que nous vivons dans « le meilleur des mondes », le fait est que jamais ce système n’a été capable d’apporter le bien-être et la tranquillité à l’humanité.
La critique du système capitaliste est à la base de la doctrine socialiste. L’un des tout premiers à s’indigner des maux produits par la révolution industrielle fut l’économiste suisse Charles Léonard Sismonde de Sismondi (1773-1812), choqué par les effets de l’industrie capitaliste naissante sur les conditions de vie d’une nouvelle catégorie sociale, le « prolétariat », c’est-à -dire, les « hommes qui n’ont aucune propriété ». Sismondi, qui n’était pas socialiste, s’éleva contre la doctrine du laissez-faire prônée par Adam Smith et les économistes libéraux. Dans sa foulée, et souvent inspirés par lui, suivront de nombreux autres critiques de la nouvelle société, dont un certain Karl Marx.
La propriété privée : source de tous les maux
Le caractère récurrent, mais aussi planétaire, des problèmes sociaux met en lumière le fait qu’ils font partie intégrante du système social qui s’étend sur le monde – le capitalisme ou économie de marché ou encore système du profit (ces trois expressions sont équivalentes) – et que, pour cette raison, il est impossible, et donc futile, de tenter de leur trouver une solution dans le cadre de ce système. En effet, la base du système capitaliste, c’est le monopole exercé par une couche très minoritaire de la population (les détenteurs de capitaux ou classe capitaliste) sur les ressources naturelles de la planète ainsi que sur les moyens de production et de distribution des richesses, c’est-à -dire sur les moyens d’existence de la société.
Ce monopole peut s’exercer de différentes façons : soit directement par des individus, soit indirectement par des associations d’individus, à travers des sociétés anonymes (grâce à la possession de titres de propriété), ou à travers l’Ãtat (en vertu du contrôle exercé par cette minorité sur les ressorts du pouvoir, comme dans l’ex-URSS ou la Chine actuelle). Nous parlons dans ce cas de capitalisme d’Ãtat (le monopole du pouvoir politique et économique exercé par la bureaucratie dirigeante rend, dans ce cas, superflue la possession de titres de propriété).
Conséquences de la propriété privée
Cette appropriation des moyens d’existence de la société par une petite minorité a comme conséquences :
1° sur le plan économique : la production de biens et de services dont l’objet est la vente sur le marché en vue de réaliser un profit monétaire, et non la satisfaction des besoins individuels et collectifs de la population, ou, dit autrement, la satisfaction des seuls besoins rentables (c’est cette quête du profit qui explique pourquoi on en arrive à produire de la nourriture qui peut être dangereuse pour la santé ; pourquoi les laboratoires pharmaceutiques n’effectuent aucune recherche sur certaines maladies, tel le paludisme, dont le marché – le tiers monde, en l’occurrence – n’est pas « solvable » ; pourquoi des S.D.F. dorment dans la rue au pied d’appartements vides ; pourquoi on détruit dans les pays riches des tonnes de nourriture alors que des millions d’êtres humains meurent chaque année de faim dans les pays pauvres ; pourquoi les décideurs économiques préfèrent une production polluante à la préservation de l’environnement, dont les coûts diminueraient les profits, etc.) ;
2° sur le plan social : la division de la société en deux classes sociales principales aux intérêts opposés, d’un côté, la classe capitaliste, qui possède et/ou contrôle les moyens de production et, de l’autre, la classe salariée – l’immense majorité de la société –, propriétaire de ses seules capacités intellectuelles et physiques (sa force de travail) et obligée de travailler pour la première en échange d’un salaire.
Par conséquent, dans le système capitaliste, les richesses sont produites par les salariés, non propriétaires des moyens de production, pour être vendues dans le but de réaliser un profit destiné aux capitalistes, en vertu du droit de propriété de ces derniers sur les moyens de production. En d’autres termes, une minorité privilégiée vit sans travailler et s’enrichit grâce au travail des autres. Il s’ensuit de cette division de la société en classes antagoniques une lutte de classes inévitable pour une part plus importante des richesses produites (des salaires plus élevés pour les uns, des profits plus importants pour les autres), une lutte de classes qui durera aussi longtemps que durera le capitalisme, responsable de cette division sociale.
2006-11-28 15:54:23
·
answer #11
·
answered by billy pour les les travailleurs, 7
·
1⤊
0⤋