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Les axiomes ou postulat ou truismes sont dogmatiques. Qu'est ce qui ne peut pas etre remis en question? La base inderacinable? le doute? la foi? autres?

2006-11-27 09:18:44 · 8 réponses · demandé par Anonymous dans Arts et sciences humaines Philosophie

8 réponses

Tout formalisme, et donc toute preuve est un accord. Il est irréfutable pour les parties engagées dans la mesure des exceptions prévues.
Tout peut être réfuté puisque cet accord ne peut être défnit que dans un espace fermé, ou sinon il ne peut exister de façon formelle et donc irréfutable... dans l'espace en question.

2006-11-27 10:10:48 · answer #1 · answered by Gael 5 · 0 1

l'Amour que l'on donne
l'Amour que l'on reçoit
c'est tout

2006-11-28 02:03:30 · answer #2 · answered by Anonymous · 2 0

l'absurdité de la vie.

2006-11-28 08:21:18 · answer #3 · answered by valadi 3 · 1 0

"je pense donc je suis" est indéracinable...
"j'existe ici et maintenant" aussi.

mais tout dépend bien sur de ce que tu mets dans les mots "suis", "existe", "ici", et "maintenant".

2006-11-27 17:27:21 · answer #4 · answered by Anonymous · 1 0

1/2 + 1/2 = 1, toujours! Une moitié plus une autre moitié de même nature forment un tout!
ex : Un spermatozoïde plus un ovule (chacun la moitié d'un génome) donnent un oeuf (un génome complet!)

2006-11-27 17:48:36 · answer #5 · answered by Rhadamanthe du Wyvern 4 · 0 0

Pour réfuter quelque chose, il faut être logique.
La logique ce base sur un ensemble de règles définies.
Toutes idées peut être étudié selon une infinité de règles.

Quelque chose d'irréfutable est quelque chose qui ne peut être étudié. Autrement dit l'absence d'idée (et pas l'idée d'absence).

2006-11-28 05:50:06 · answer #6 · answered by Anonymous · 0 1

Les axiomes sont en effets arbitrairement posés. C'est d'ailleurs une des critiques du secpticime. Mais sans cela, on rencontrerait des problèmes. Il faut comprendre une chose: dans le fondement de la connaissance, on rencontre ce qu'on appelle le trilemme de Friese-Münchausen. C'est-à-dire que lorsqu'on cherche à fonder la connaisssance (comme Descartes par exemple) on peut adopter 3 attitudes, chacune posant du même coup un problème.
1/ Pour connaître il faut fonder (ex: 4 se fonde par 2+2, en gros), cela exige donc des termes qui les fondent (des "antécédents") qui doivent eux-mêmes être fondés par des antécédents, qui eux mêmes doivent être fondés, etc. jusqu'à l'infini. Cette régression à l'inifini n'a pas de fin.

2/ Du coup, on arrête arbitrairement cette régression (avec des axiomes, comme Euclide). Mais alors comment garantir la certitude de ces axiomes? On ne le peut. Il faut les accepter. Un des axiomes fondateur de l apnesée ocidentale, par exemple est du à Aristote: c'est le principe de non contradiction qui stipule qu'une "A" ne peut pas être "non A".

3/ Pour pallier aux 2 premiers problèmes, on peut adopter le diallèle. C'est-à-dire que dansun système fermé de principes, les antécédents et les conséquents se confondent. On tourne en rond quoi: ce qui est prouvé peut l'être par ce qu'il est censé prouvé. Ainsi il n'y a ni arbitrire, ni régression à l'infini. Mais jamais rien n'est véritablement fondé. Les tenants de la vérité cohérence, optent pour cette façon. On parle de trilemme de Friese Münchausen, car c'est la penseur Friese qui les a systématisé, et que Münchausen fait référence au baron éponyme qui se tirait de marécages dans lesquels il s'empêtrait, en se tirant lui-même par les cheveux (cela symbolise l'attitude du diallèle).

Comment fonder la les certitudes?
Wittgenstein: En fait, le problème est mal posé. On ne fonde pas une certitude, on fonde une croyance, une opinion (une fois fondée, cette opinion est un savoir, une connaissance). La certitude est le fondement. On cherche toujours à mener plus loin nos entreprise de fondation (ex: le doute métaphysique de Descarte), mais c'est une entreprise déraisonnable. Cela n'a pas de sens de douter de tout, de douter de son existence, de celle du monde. Il faut absolument lire DE LA CERTITUDE de Wittgenstein. Mais Pascal déjà ne disait pas autre chose: "Il faut douter où il faut, savoir affirmer où il faut". Le doute est un exercice sérieux qui ne doit pas dépasser le cadre de la raison.

Qu'en au domaine mystique et religieux, s'il doit être circonscrit par la raison (sous peine de devenir fanatisme), il en dépasse le cadre exécutif. Il faut passer la religion sous le crible de la raison, mais ne pas cesser de se rappeler que la religion dépasse la raison. La religin est affaire de coeur, non de raison. La religion ne peut donc fonder des certitudes, seulement des convictions.

Cette dernière idée, fait valor que l'on ne peut exiger de pruve de tout. Pasacl et Wiitegnstein ne se réjoignent tous 2 sur cette position: exger des preuves de tout est aussi déraisonnable que douter de tout. La preuve est un exercice spécifique dans la recherche de la vérité. Doit-on demander des preuves à sa mère lorsqu'elle nous dit qu'elle nous aime? Faut-il prouver ses convictions? Faut-il fonder en droit son éthique de vie? etc.

Il y a 2 excès, disait Pascal, "exclure la raison, n'admettre qu'elle". C'est plutôt de bon sens, je trouve.

Ouf! J'espère que ma réponse t'apport un éclairage.

2006-11-28 05:41:56 · answer #7 · answered by Gally Léo 5 · 0 1

il faut toujours tout remettre en question,c'est la seule manière de trouver et de comprendre,le chemin tout tracé ,nous mène où les autres le veulent ,pas forcément au bon endroit

2006-11-27 23:36:42 · answer #8 · answered by lafleur 5 · 0 1

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