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Ont dit que l’Afrique est le berceau de l’humanité mais je comprend pas pourquoi ils est en retard ?

2006-11-24 03:56:21 · 15 réponses · demandé par Alpha D 2 dans Politique et gouvernement Politique et gouvernement - Divers

15 réponses

La corruption surtout. Et l'impossibilité pour les gens d'acculer le capital.

2006-11-24 04:22:35 · answer #1 · answered by Anonymous · 2 0

On n'a qu'à pas s'en occuper et tout le monde sera content

2006-11-24 11:58:19 · answer #2 · answered by Anonymous · 4 1

On leur fout la paix, on arrête de les maintenir dans la dépendance en prétendant les aider, et ils se débrouilleront très bien tous seuls.

2006-11-24 12:06:12 · answer #3 · answered by tyrkalaah 3 · 3 1

Qu'ils se prennent en main, qu'ils utilisent leurs propres ressources qui sont immenses aussi bien en potentiel économique que humaine.

2006-11-24 12:00:06 · answer #4 · answered by Argos 6 · 2 0

Vivant en Afrique c'est une question que je me pose souvent. Il est tres difficile d'y repondre sans toucher des points sensibles comme le racisme etc.
Les Asiatiques, les Maya, certains peuple Arabes (Egyptiens) et les Europeens ont tous contribues a des phenomenes de croissances par des inventions techniques, economiques, et philosophique. Le reste de l'afrique...pas grand chose ...Aujourd'hui ces gens sont aigris parcequ'on a "tout" grace a la transmission de capital (intellectuel richesse etc) et eux n'ont rien ou pas grand chose parce que leurs ancetres ne leur ont pas laisse grand chose.
Le reste du monde a plusieurs milliers d'annees de recherche envers le rafinement sociale, philosophique, politique, confort etc alors que ces gens la proviennent d'une societe qui est reste stagnante tout ce temps. Le manque de communication pourrait en etre une cause...?
Avec toutes ces generations d'aquis, il nous est beaucoup plus facile d'evoluer dans la societe actuelle et d'en profiter. La plupart des Africains ne comprennent pas cela. Ils ne comprennent pas pourquoi eux ne peuvent pas faire fonctionner un ferme, une industrie etc. Attention, certains y a arrivent, mais ce sont des exceptions.
A cote de ca, il y a des gens, qui entretiennent chez ces gens une mentalite de victime et font d'eux des assistes. D'ou decoule tous les problemes de racisme que nous vivons. Pourquoi....flip, est -ce que c'est pour le pouvoir, une domination intellectuelle, va savoir.
La colonisation a ete un desastre, beaucoup a cause des mauvaises intentions des gens, ou de leur manque de comprehension.
Ceci dit les methodes que l'on utilise maintenant sont tout aussi perversives. Les populations n'ayant pas a manger n'ont aucun sens de quoi faire pour se nourrir: c'etaient des nomades. Ils s'assoient et attendent que quelqu'un fassent quelque chose. On leur balance de la bouffe. quand c'est fini, ils en veulent plus et se revoltent qu'ont ne veuille pas leur en refiler.
En Afrique du Sud, les Africains veulent reprendre la terre de leur ancetres. Par volonte gouvernementale ou par la violence, des fermes sont reprises " aux blancs". Une fois qu'ils ont la ferme, (2 a 400 hectares...) ils s'assoient et attendent que ca pousse. (meme chose au Zimbabwe) Puis ils se revoltent, parcequ'ils ont faim...
A cause des decisions des politiques, de l'encouragement a l'assistance et a la "self pity" ces braves gens ne comprennent pas le besoin de travailler pour accumuler des richesses.
Tant qu'on apprendra pas cela, methodiquement et avec bonne intention aux gens de ces pays, ce sera le bordel, chez eux et bien sur chez nous, ou ils arrivent avec la meme mentalite, bien sur entretenue par nos gouvernants. Pourquoi...c'est la grande question. Entrenir la haine entre les peuples profite. C'est sur.

2006-11-24 12:34:52 · answer #5 · answered by xavrsa 3 · 2 1

Ne pas laisser les Africains en bonne santé et capables de travailler venir en Europe , pendant que les femmes, les vieillards, les enfants et les malades du sida essaient de faire tourner la boutique là-bas.
Plus quelques politicards corrompus qui engraissent leurs comptes en banque au Liechtenstein avec les subventions et aides versées par les états européens, et organisent une guerre fratricide quand il n'y a plus d'autres moyens de rester au pouvoir.
A chaque fois qu'on donne 'des papiers' à un Africain pour travailler en Europe, l'Afrique s'apauvrit un peu.
J'espère que ceux qui me liront, même les bobos sentimentaux qui pleurnichent et/ou manifestent pour soutenir l'émigration, seront capables de comprendre que ce n'est PAS le racisme qui me fait dire cela, mais la compassion que j'éprouve pour les laissés pour compte restés en Afrique, surtout les femmes.

2006-11-24 12:13:54 · answer #6 · answered by mémé léone 7 · 1 0

on dis souvent n'importe quoi!!! concernant ledéveloppement les africains n'ont pas les memes visions des choses de la vie que nous alors arretons avec ces histoires!!!

2006-11-24 11:58:53 · answer #7 · answered by JeePee 3 · 1 0

pour tout les peuples!

Baisser La Tête Ou Construire L'Espoir?
Le système dans lequel nous vivons est malade... congénitalement. Son histoire, si on excepte de (trop) courtes périodes de prospérité économique, n'est faite que d'une interminable litanie de problèmes jamais résolus.

Ainsi, il ne se passe pas une journée sans que les journaux ou la télévision ne viennent nous rappeler la quantité et la gravité des problèmes auxquels le monde est confronté aujourd'hui : guerres, attentats terroristes, malnutrition, crime organise, narcotrafic, menaces pour l'environnement...

Comme si cela ne suffisait pas, la peur et la violence ont cessé depuis longtemps d'être un spectacle qu'on regardait tranquillement assis devant notre téléviseur, et se sont installées dans notre vie quotidienne : chômage, travail précaire, plans dits "sociaux" de nos entreprises, pauvreté, crainte de perdre son logement, violence à l'école, insécurité dans nos quartiers ou dans les transports, pollution urbaine...

Cette myriade de problèmes qui semble submerger l'humanité fait naître une lassitude, voire même une indifférence, nées d'une surexposition aux mauvaises nouvelles, aux reportages chocs et aux scénarios catastrophe, mais surtout l'impression qu'on ne peut rien faire contre cet ordre des choses, qu'il ne nous reste plus qu'à baisser la tête et à éviter les coups, en espérant que, peut-être, un jour, les choses s'arrangent...

Mais nos espoirs son toujours déçus... car les choses ne s'arrangent pas, bien au contraire. Chaque année, une foule d'études et de rapports officiels viennent nous rappeler, chiffres à l'appui, que l'inégalité et la pauvreté, loin de s'atténuer, ne font que s'aggraver.

Pourtant, quelque que soit la prise de conscience de la gravité des problèmes, jamais elle ne débouche sur une remise en cause sérieuse de ce système. En effet, une majorité de salariés (auxquels le souvenir de la période des "Trente glorieuses" - qui ne furent ni trente ni glorieuses pour tout le monde- nourrit l'illusion que le capitalisme peut être "humanisé") pensent encore qu'il suffit de changer de gouvernement pour que les difficultés s'estompent... malgré le fait que d'innombrables gouvernements de gauche ou de droite ici, travaillistes, conservateurs, libéraux, démocrates ou républicains ailleurs, ont essayé une infinité de réformes sans qu'un seul de nos problèmes ait été résolu. Pense-t-on sérieusement que si un parti quelconque avait trouvé la formule lui permettant d'éliminer les problèmes une fois pour toutes, il ne serait pas trop content de l'appliquer, gagnant ainsi la reconnaissance des électeurs... et l'assurance de conserver le pouvoir ?

Les réformes, si elles ont permis d'améliorer l'existence des salariés et de leurs familles, ne peuvent apporter de solution définitive à nos problèmes puisqu'elles sont sans cesse (et même, de plus en plus) sous la menace d'une remise en cause. En ne s'attaquant pas à la racine des problèmes, qui sont intimement liés à l'organisation actuelle de la société, les réformes ne font que prolonger l'existence d'un système prédateur... et de ses maux.

Face à l'impuissance et à l'incapacité de nos gouvernants, nombreux sont ceux qui ont décidé de consacrer du temps, des efforts et de l'argent à de "bonnes causes" ; et, ces dernières années, les ONG se sont multipliées pour combattre les fléaux les plus divers. Pour quel résultat ? Car, quels que soient les efforts des uns ou les réformes des autres, tout a été essayé dans le cadre du capitalisme, et tout a échoué : tous les problèmes demeurent. On peut d'ailleurs se demander : à quoi bon essayer d'éteindre des incendies dans un bateau qui coule ? Si ce système avait pu être réformé dans l'intérêt de la majorité, s'il avait pu être humanisé, ce ne sont ni les motifs, ni la volonté, ni les tentatives, ni l'intelligence collective qui ont manqué.

Et pendant ce temps, la vie continue... notre vie ; sans espoir d'amélioration car, voyez-vous, mon bon monsieur, ce n'est pas de notre faute si la concurrence internationale bla bla bla... la compétitivité de nos entreprises... le manque de flexibilité du marché du travail (mais jamais l'inflexibilité patronale !)... les salaires trop élevés (mais pas les profits) ... les impôts trop lourds (et les évasions de capitaux ?)... le coût des "charges" sociales (et le coût du chômage ?) ... les étrangers qui prennent le travail des Français (mais qui nous licencie ou refuse de diminuer le temps de travail ? qui vote les lois qui permettent de nous licencier ? qui élit ceux qui font les lois ?)...

Alors, que faire ? Ces problèmes qui submergent l'humanité sont-ils aussi naturels et inévitables que les tremblements de terre ou les raz de marée ? Ou bien sont-ils des problèmes de société, créés par l'homme, et que l'homme doit pouvoir défaire ? Mais surtout, puisque tout a été essayé, ne faudrait-il pas se demander si ces problèmes ne sont pas inhérents à notre modèle de société, le capitalisme, et que dans le cadre de la société actuelle, aucune solution durable n'est envisageable ?

Il y a quelques années, un intellectuel américain, Francis Fukuyama, publiait un livre au titre provocateur, "La fin de l'histoire". La thèse de son auteur, c'était que, en dépit de quelques aberrations, telles que le fondamentalisme islamique, le monde se dirigeait inexorablement vers un cul-de-sac consensuel, organisé autour des institutions de l'Etat démocratique et du "libre" marché. Dans sa vision du futur, Fukuyama ne laissait pas la moindre place à une possible alternative à la société capitaliste. Les seules allusions au "socialisme" ou au "communisme" se référaient (de manière prévisible) à des dictatures telles que la Chine ou la défunte URSS, dans lesquelles l'économie est (ou était) contrôlée par l'Etat et sa bureaucratie dirigeante, c'est-à-dire à une autre forme de capitalisme : le capitalisme d'Etat.

Pourtant, jamais le capitalisme n'a été capable de satisfaire les besoins individuels et collectifs de tous les habitants de la planète ; et ses effets sur la société et sur l'environnement n'ont jamais été aussi dévastateurs. Pour toutes ces raisons, une société administrée de façon démocratique et rationnelle par et pour ses membres -nous nous obstinons à l'appeler Socialisme-, et non, comme aujourd'hui, dans l'intérêt égoïste d'une minorité de parasites, est plus nécessaire que jamais.

L'établissement d'un tel système social n'est peut-être pas pour demain, il n'a rien non plus d'inéluctable, mais l'étendue de nos problèmes et le nombre toujours croissant de personnes qui en sont victimes ou insatisfaites, nous portent à croire que l'éternité du capitalisme n'est pas assurée. Après tout, l'Histoire ne nous montre-t-elle pas que jamais rien n'est définitif ? Il n'y a pas si longtemps, quel serf pouvait imaginer qu'un jour il serait libéré du joug du seigneur féodal ?

C'est de discipline, de subordination, d'obéissance, de docilité, de servilité, de "patience", de renoncement, de résignation... dont ce système a besoin pour se perpétuer, et c'est ce qu'attendent de nous ceux qui ont un intérêt ou un privilège à sauvegarder.

Affirmer qu'il n'y a rien à faire, que nous sommes condamnés au capitalisme à perpétuité, ou que nous avons atteint la "fin de l'Histoire", c'est accepter par avance tous les coups que ceux qui ont un intérêt au maintien du capitalisme vont nous porter ; c'est justifier la passivité et la soumission, et, par là, assurer malgré et contre nous la perpétuité d'un système qui fonctionne au bénéfice d'une minorité parasite et prédatrice.

C'est pourquoi, nous nous devons, à nous-mêmes et à nos enfants, d'apprendre les leçons de l'Histoire, pour qu'elle ne se répète pas. Allons-nous gâcher le 21e siècle comme nous avons gâché le 20e ? Allons-nous accepter encore longtemps que, malgré le potentiel productif que nous avons atteint et la technologie actuelle, tant de besoins ne soient pas encore satisfaits ?

C'est nous, les salariés -l'immense majorité de la population- qui faisons tourner la machine. Prendre conscience de notre nombre et de notre force collective, de nos intérêts communs (et opposés à ceux de nos patrons), nouer, ou renouer, les liens de solidarité nécessaires à notre libération future, ça n'est pas sorcier... mais ça demande un petit effort, celui de se rencontrer, de s'écouter et de se parler, et, bien sûr, celui de s'organiser (sans "leaders" providentiels, sans bureaucrates parasitaires, ni nostalgiques de la dictature sur le prolétariat, des barricades et des bains de sang), entre nous et en utilisant les moyens à notre disposition et la force de notre nombre... tout simplement.

L'alternative existe. Le capitalisme s'est développé à partir du système féodal, et il en ira de même de la société future. Ce que les socialistes veulent, c'est un contexte social dans lequel les questions concernant notre vie quotidienne (alimentation, logement, transports, éducation, loisirs, etc.) soient sous le contrôle d'une démocratie réelle, et non sous celui d'une économie dominée par une minorité prédatrice et son insatiable quête de profits. Nous considérons que le capitalisme requiert de manière urgente son remplacement par une organisation de société dans laquelle les gens travaillent en fonction de leurs aptitudes mais ne soient pas des employés, où les biens soient produits pour satisfaire nos besoins et non en fonction des perspectives de profits de la minorité dirigeante, où l'éducation soit un processus que les individus choisiront pour eux-mêmes et non en fonction d'une économie dominée par des intérêts égoïstes.

Pour résoudre nos problèmes, ce dont nous avons besoin, ce n'est pas d'un changement de gouvernement (ils ont tous montré leur incapacité) ou d'une politique gouvernementale différente (elles ont toutes échoué), mais d'un changement de système social. Devenons les acteurs de notre propre avenir. Que risquons-nous à relever la tête et à construire l'espoir ?

2006-11-24 14:30:04 · answer #8 · answered by billy pour les les travailleurs, 7 · 0 0

En faisant d'abord l'Afrique Unie et en frabriquant son propre argent "lAFRO" par exemple. Sinon je ne vois pas ce qui manque vraiment a l'Afrique pour son developpement. Elle est bien riche en resources naturelles ce ne sont pas des idees qui manquent aux africains.

2006-11-24 13:55:06 · answer #9 · answered by emmanuelle A 2 · 0 0

En retard par rapport à quoi et à qui?
Leur a t on deja demandé de quel avenir ils rêvaient?
Quand les egyptiens batissaient des pyramides, les europeens vivaient encore dans des cases ou des grottes, à s'entretuer pour un morceau de bois... nous ont ils aidé à nous developper?
je ne crois pas.
Laissons faire la nature.
Cependant, il est certain qu'on ne fait rien pour les aider. On place des dictateurs à la tête d'etats fantoches, on les monte les uns contre les autres, on leur vend des armes, et quand l'un d'entre eux disparait, on en place un autre pour conserver une espece d'equilibre belliqueux! Et on recommence.
POur s'en assurer, on envoie nos casques bleux, car il ne s'agirait pas qu'une peuplade gagne definitivement.
J'ai un truc à dire :Laissons les tranquilles. Ils arriveront tout seul à rebatir les puissantes civilisations qu'ils ont été.

2006-11-24 13:14:25 · answer #10 · answered by l'épouvantail 2 · 0 0

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