pépère... ou mémère!
2006-11-22 09:29:04
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answer #1
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answered by Anonymous
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Des anciennes actrices de ce milieu se sont senties victimes et ont fini par le quitter. Elles ont témoigné de certaines pratiques poussées à l'extrême comme Raffaëla Anderson :
« Je considère ces scènes (de double et de triple pénétration) comme du vrai hard (...) D'autres filles ont eu pire. à commencer par la double pénétration vaginale, la double pénétration anale, puis les deux en même temps. Imaginez quatre types, nord-sud, est-ouest, et la fille en levrette, pouvant à peine respirer, en gros plan pendant deux minutes, le minimum exigé (...) J'ai vu ces filles (de l'Europe de l'Est) souffrir et pleurer (...) Prenez une fille sans expérience, ne parlant pas la langue, loin de chez elle, dormant à l'hôtel ou sur le tournage. Faites-lui faire une double pénétration, un fist vaginal, agrémenté d'un fist anal, parfois les deux en même temps, une main dans le cul, parfois deux. Tu récoltes une fille en larmes, qui pisse le sang à cause des lésions, et qui généralement se chie dessus parce que personne ne lui explique qu'il faut faire un lavement. »
La même actrice : « Le matin, tu te lèves, tu te fourres pour la énième fois ta poire de lavement dans le cul et tu nettoies l’intérieur. Tu réitères jusqu’à ce que ce soit propre. Rien que ça, ça fait mal. (...) Après ça, j’ai besoin de me mettre sous la couette une heure pour oublier combien j’en souffre. (...) Aucune position ne convient. Tu tournes dans tous les sens mais y a rien qui t’apaise. Après quoi, tu te retrouves sur un set et tu suces, tu cambres. On te traite de salope (...). Rien ne vaut une telle souffrance. »
Le professeur de sociologie à l'Université d'Ottawa, Richard Poulin, a dans son livre La Mondialisation des industries du sexe pris l'exemple d'un tournage pornographique extrême :
« Tournage X. Une petite blonde assez mince se fait sodomiser sans ménagement par un mec puis par un autre puis par un troisième. (...) Les larmes font couler le maquillage. Difficile de confondre les cris avec des cris de plaisir. Entre le deuxième et le troisième type, qui la secoue comme un sac, elle chancelle et ses yeux virent au blanc. Plan coupé. Séquence suivante, nouvelle enculade, avec en plus trois mains plongées dans son vagin, la fouillant sans ménagement. Quand son partenaire se retire, elle manque de tomber. Une main la redresse par l'épaule et lui plaque le visage sur une bite. Elle doit sucer, tout avaler. »
Selon lui, « les gens sont prêts à prendre le risque de tomber aux mains de trafiquants pour améliorer leur vie, et de l’autre, il y a une tendance chez les pays industriels à employer de la main-d’Åuvre bon marché, non déclarée, et d’exploiter sexuellement les femmes et les enfants dans l’industrie de la prostitution et de la pornographie. »
Ovidie, qui se qualifiait auparavant de « travailleuse du sexe », admet que « parfois, il y a des choses qui sont très violentes et qui laissent des marques ». Elle dit « être sexuellement attirée par les images fortes, de puissance. Par la violence guerrière presque sublime (...) » 6. Comme d'autres femmes notamment l'américaine Annie Sprinkle, Ovidie a abandonné le statut d'actrice pour passer à la réalisation. Elles ne sont pas contre la pornographie mais elles défendent dans leurs films d'autres conceptions et d'autres valeurs, plus féministes.
Quelques livres récents ont abordé l'escalade de la violence dans la pornographie ; par exemple Laurent Guyenot parle d’un « nihilisme pornographique », qui se traduirait par une dévaluation des valeurs habituellement conférées à tout être humain, dévaluation qui toucherait essentiellement les actrices et à travers elle, les femmes. à ce sujet Richard Poulin déclare que « la chosification et la déshumanisation du corps féminin (propres à l’esthétique pornographique) ont pour effet de conférer aux hommes une supériorité... humaine sur les femmes ravalées à l’animalité. »
2006-11-23 00:20:36
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answer #2
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answered by Lopouka 6
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non, mais un rêve pour pervers pépère!!!
2006-11-22 17:29:27
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answer #3
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answered by Anonymous
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tout a fait d accord avec toi
2006-11-26 16:04:57
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answer #4
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answered by saliha 4
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pépère? non je ne pense pas...
deja , il ne faut pas confondre des filles "consentantes, et au courant" et celles qui arrivent la sans même comprendre ce qui leur arrive (filles de l'est , ...)
les conditions de tournage peuvent etre atroces, surtt si on tombe dans les pornos bien hard, Sm ou que sais-je encore...
les actrices porno n'ont pas toutes la belle vie genre Clara Morgane( oui je sais ,e lel est a la "retraite" mnt!) ou Katsumi!
c bien souvent le contraire....
2006-11-23 10:22:02
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answer #5
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answered by feline2223 3
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Que répondre après Lopouka?
Merci pour ton lien.
2006-11-23 07:55:50
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answer #6
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answered by ♥♥Evora♥♥ 5
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dans un episode passe a la tele cette semaine un acteur porno ayant de sida le refiles a d autres pour se venger . alors mythe ou triste realite ???
2006-11-22 22:10:51
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answer #7
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answered by Anonymous
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ben, personnellement, je suis fatiguée si je fais l'amour plus de 2 fois de suite, alors pornostar, non merci, trop épuisant pour moi...
2006-11-22 20:01:27
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answer #8
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answered by peggy 3
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J'pense pas justement. Avoir la trique toute la journée, ca doit être un vrai boulot !
Ils doivent néanmoins se consoler quand on voit certains "canons" qui tournent avec eux...
2006-11-22 19:00:17
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answer #9
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answered by Let's talk about... 4
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Je ne pense pas. Ils doivent être d'une tristesse dans la vie.
Et puis le fait d'avoir des relations sexuelles en dehors des films doit leur donner l'impression de rapporter du travail à la maison.
Je plains les compagnons s'ils en ont.
2006-11-22 18:40:50
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answer #10
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answered by amcg 6
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Métier cucul en l'air.
2006-11-22 17:46:49
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answer #11
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answered by helenfor 7
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