(Voir ce qui s'est passé au P.S.)
2006-11-20 04:31:50 · 7 réponses · demandé par C.COMSA 2 dans Politique et gouvernement ➔ Élections
Tout dépend qui se moque, les candidats concurents, des émissions/journaux satyriques et idem pour qui critique, des journalistes, des candidats, la population lors de meetings ( y compris des sifflets ), de rencontres sur le terrain.
Ségolène Royal a pu bénéficier de la sympathie qu'on la moque sur son statut de femme maintenant l'élection présidentielle sera une autre paire de manches, notamment car les machos/ceux qui considèrent qu'une femme qui représenterait le pays serait un signe de faiblesse/une betise, voteront en 2007 ( et ils sont en proportion + importants à droite qu'à gauche ) et même le féminisme/la féminisation de la société dans l'air du temps pourrait ne pas suffir à compenser les machistes. Sauf si Michelle Alliot Marie était la candidate... ( on voit mal la droite voter Le Pen ou Bayrou )
J'ai pas mal d'arguments pour expliquer le machisme ambiant mais c'est un autre débat.
Jacques Chirac aurait bénéficié de son portrait aux Guignols de l'Info ("couille molle, mangez des pommes"...) en 1995 sauf qu'on oublie que Balladur avait été un rigoriste en tant que 1er ministre tout à l'image de son balai dans le cul (et encore j'ai eu peur tellement Balladur était devant dans les sondages pour des raisons encore moins compréhensibles que pour tout autre présidentiable de la 5e République)
Pour le moment tout 1er ministre a été battu aux présidentielles (Chirac 2 fois, Balladur, Jospin).
Le Pen séduit surtout au moment au moment du vote, moins dans les sondages ( vote = caché ; sondage = "à découvert" ), et même avec les corrections des instituts de sondage, il peux être sous estimé ( même si la méfiance actuelle depuis le 21 avril 2002 tend à corriger ça )
Mais + que les critiques c'est surtout la mélodramatisation/victimisation du candidat qui le fait monter dans les sondages ou les opinions ( Le Pen pour ses 500 signatures en 2002 ; Ségolène Royale un peu ces temps ci ; Sarkozy dans l'affaire Clearstream par ex... )
2006-11-20 05:03:10 · answer #1 · answered by Vincent C. 2 · 2⤊ 0⤋
Alors c'est soit "les critiques et les moqueries sur un candidat le font-il monter dans les sondages", soit "les critiques et les moqueries sur une candidate la font-elle monter dans les sondages" mais ça ne peut pas être les deux à la fois.
Faudrait quand même être précis quand on pose une question, le charabia c'est bien un moment mais à la longue ça fatigue.
Quand à ma réponse, elle est affirmative.
En effet, je prend pour exemple le cas de Monsieur LE PEN, plus on le critique, plus on se moque de lui, et plus son score est important.
Ça se constate à chaque élection, les Jospinistes et autres Socialistes de tout poils te le confirmeront.
2006-11-20 12:49:52 · answer #2 · answered by étoile 4 · 1⤊ 0⤋
en verité plus il y a de critiques ou de mots déplacés sur un candidat plus les medias en parlent! et plus cette personne monte dans les sondages !
les medias ( surtout tv) influence les francais a un point que l'on en a pas idée!!! c'est vrai je l'ai vu ou entendu a la tv! qui ne l'as pas entendu!!
dans l'affaire dutreau aussi; ils etaient tous coupable d'apres les medias!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
alors francais ne soyer pas des moutons de panurges!!!!! reflechissez , pensez et oubliez de vous calquer sur les sondages qui se plantent sans arret!!!!!!!!!!
2006-11-20 12:44:38 · answer #3 · answered by christianmtp 7 · 0⤊ 0⤋
Effectivement je pense que trop de critique nous font compatir pour le malheureux ou la malheureuse..c'est un sentiment humain de prendre la défense du plus faible mais c'est vrai que des fois ça joue pas en notre faveur...
2006-11-20 12:38:56 · answer #4 · answered by vanoche 2 · 0⤊ 0⤋
oui c'est sur
2006-11-20 12:38:08 · answer #5 · answered by italiano 6 · 0⤊ 0⤋
les sondages cest des conneries
2006-11-20 12:36:12 · answer #6 · answered by Anonymous · 0⤊ 0⤋
En tout cas, quand on voit Ségolène Royal, on peut se dire que oui.
2006-11-20 12:40:04 · answer #7 · answered by Anonymous · 0⤊ 1⤋