seul la mort a la réponse..
2006-11-19 08:32:51
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answer #1
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answered by nakedmind 4
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Personne ne peut le dire !
2006-11-23 07:37:46
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answer #2
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answered by danielle d 3
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Moi je pense que oui ce serait bête de penser qu'après qu'on est mort y a plus rien faut se donner de l'espoir moi je me dit qu'après que je serai morte j'irai dans un monde ou je pourrait avoir tous se que je veux. c'est beaucoup plus facile pour le mental
2006-11-20 10:13:35
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answer #3
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answered by Priscillia 2
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les religions disent oui
mais moi je ne sais pas, aucune personne n'est morte et n'est revnu à la vie pour nous le dire alors la question reste posée
2006-11-20 08:54:27
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answer #4
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answered by Anonymous
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Cela supposerait qu'il y ait une intention.
Voilà le début de toute question philosophique.
Le sens de la vie.
Pour certains, la vie possède à priori un sens, et que ce sens est Dieu.
Ainsi, ils justifient leur propre existence, par rapport à ce Dieu, et génèrent l'idée de l'existence d'une âme immortelle. Platon en est un exemple, voir aussi l'AT et le NT.
D'autres plus polémistes, pensent que la vie a le sens que l'homme veut bien lui donner. Ce sont les existentialistes. Sartre en reste l'incontestable porte-étendard.
Dans ce cas, la vie n'a de sens que tant qu'on existe. Il n'y a pas de vie après la mort, car celle-ci n'aurait pas de sens.
Ainsi, l'homme jeté dans le monde, doit prendre conscence de son existence, et trouver son sens, sa morale, et justifier son existence, par rapport à sa propre conscience, et devant ses semblables.
Une question apparaît: Pourquoi faudrait-il qu'il y ait une vie après la mort?
Rien ne justifie cette vie au delà de l'existence - ici et maintenant.
Sauf pour les irréductibles hommes, qui pensent que leur vie a tant d'importance, qu'ils ne peuvent être qu'éternels.
N'avons-nous jamais suffisemment d'humilité, pour regarder ce que nous sommes face à l'univers, et que cela ne nous permet pas de croire, que nous justifions d'une quelconque étérnité.
L'évolution des dogmes, du polythéisme au monothéisme, a généré depuis des générations un ancrage dans l'esprit de nos contemporains, pour que nous ne puissions pas envisager que nous ne sommes rien d'autres que le maillon d'une chaîne de la vie et rien d'autre qu'un maillon.
La vie évolue, avec nous dans son parcours, et puis ensuite sans nous.
C'et ainsi, et c'est bien ainsi.
Nous participons de la vie, il nous reste à partciper à la vie. Cela est notre libre-arbitre.Cela est notre espace de liberté.
Cessons de justifier notre vie, par rapport à une putative existence.
Soyons responsables ( qui vient de répondre), de notre vie, par rapport à notre conscience, et face à nos congénères, présents, et à venir ( nos enfants).
2006-11-19 15:16:05
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answer #5
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answered by hiram abif 3
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Évidemment j'y crois beaucoup.Après la mort il y a une vie éternelle mais pour ceux qui ont cru vraiment qu'ils sont des passagers durant leur vie précédente avant leur mort.il faut qu'ils étaient de bons représentants de Dieu sur la terre et qu'ils étaient les plus meilleurs pour les autres.
2006-11-19 14:12:27
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answer #6
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answered by peace n 1
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Il y a plus probablement une mort éternelle...
2006-11-19 11:06:56
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answer #7
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answered by FLagrana 5
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oui !!
Les termes grecs : bios = l’équivalent de l’hébreu Hayyim, c’est-à -dire la période de l’existence, et les moyens nécessaires pour soutenir la vie ; psuchê = tantôt l’équivalent de Hayyim, tantôt de nephesh et parfois de rouaH, c’est-à -dire le principe vital, l’être vivant, la partie immatérielle de l’homme, le siège des affections et des désirs, etc. ; zôê correspond de près à Hayyim, et signifie l’état de celui qui est animé, la plénitude de ses activités et relations aussi bien dans le domaine matériel que spirituel. Ce dernier mot grec constitue le thème principal du Nouveau Testament : la vie d’en haut qui est communiquée aux croyants par la médiation de Jésus-Christ. Ainsi les idées implicites dans l’Ancien Testament sont développées et enrichies par la révélation suprême en Christ et par son enseignement.
Dans la littérature johannique, en particulier, l’enseignement sur la zôê est le plus développé, à tel point que tous les autres thèmes abordés gravitent autour d’elle. Jean a écrit son évangile « afin que vous ayez la vie » (#Jn 20:31). En tant que Logos, Jésus est la source et le moyen de subsistance de toute vie dans le monde, sous quelque forme que ce soit (#Jn 1:4). C’est pour donner la vie qu’il est venu dans le monde (#Jn 6:33,34,51 ; etc.). Mais le mot zôê se rapporte surtout aux activités qui sont l’expression de la communion avec Dieu et son Fils : ces relations sont appelées la « vie éternelle » (#Jn 3:15,16,36; 4:14 ; etc.). La définition que Jésus lui-même donne de la « vie éternelle » est de « connaître (par une relation, une communion personnelle) Dieu, et Jésus-Christ qu’il a envoyé » (#Jn 17:3). Cette vie est à la fois une possession actuelle et une espérance merveilleuse pour l’avenir : par la foi, le croyant entre d’ores et déjà dans une relation vitale avec Dieu, reçoit une nouvelle puissance et exerce de nouvelles activités. Jean souligne cette réalité présente plus qu’il ne parle de sa récompense glorieuse dans l’au-delà , bien qu’il mentionne aussi celle-ci (#Jn 4:36; 5:29 ; etc.). Dans ses épîtres il reprend, confirme et développe les mêmes thèmes. Dans l’Apocalypse, il évoque la couronne de vie promise à ceux qui sont fidèles jusqu’à la mort (#Ap 2:10), l’eau de la vie offerte gratuitement à celui qui a soif (#Ap 21:6), le fleuve d’eau de la vie qui sort du trône de Dieu (#Ap 22:1), et l’arbre de vie (#Ap 22:2,14).
2006-11-19 11:06:07
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answer #8
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answered by julien569 5
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Eternelle question sans réponse...
2006-11-19 11:03:39
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answer #9
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answered by Anonymous
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Pour apprendre l'orthographe ? :)
2006-11-19 10:52:20
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answer #10
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answered by Alain Vitté 3
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