DES FRANC-MAÇONS CÉLÈBRES
ABD EL KHADER. Emir. Initié à la loge Henri IV à Paris. Passé et Elevé à la loge Les Pyramides, à l'Orient d'Alexandrie, créée par le Grand Orient. 1808-1883. A ses Frères, il expliquait volontiers qu'il voyait dans la Franc-Maçonnerie « la plus admirable institution de la Terre ». Disciple d'Ibn Arabi, personnalité charismatique des confréries soufies, Abd el-Kader enseigna la mystique, la philosophie et la théologie jusqu'à sa mort
Abd El Khader
(1807-1883) Emir arabe. Fils de Mahi el-Din, résistant algérien, il unit les tribus algériennes dans le djihad (la guerre sainte) contre la France de 1832 à 1847.
Il bénéficia d'une éducation religieuse et découvrit la philosophie de l'islam. Pieux mais tolérant, il reconnaissait les compétences des "non-croyants" et n'hésita pas à y avoir recours. A la fin de sa vie, dans sa retraite syrienne, il s'adonna à l'étude de la méditation et rédigea des ouvrages mystiques.
Amateur de vraies blondes, qu'il consommait dans une baignoire de champagne, il faisait empaler les fausses.
Finalement, lassé des aventures éphémères, il s'inspira du Kalevala pour forger une femme d'or et d'argent qu'il coucha dans son lit, mais qui ne lui apporta qu'un froid glacial.
C'est alors qu'il commença à s'intéresser à la maçonnerie. Il fut initié à la loge "Henri IV" à Paris et élevé à la maîtrise par la loge "Les Pyramides", à l'orient d'Alexandrie.
2006-11-18 05:15:42
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answer #1
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answered by PapySerge 7
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D'ailleurs en Algérie ce n'est pas le nom des célébres français qui manquent , même si les plaques disent d'autres arabes : C'est toujours Rue de Lyon , Pépinière, Ecole Rose... : place Emir Abdelkader n'est rien à coté .
2006-11-18 13:27:26
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answer #6
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answered by salima b 5
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Djemmaa Ghazaouet, fin de journée...
...Seize hommes épuisés sont recueillis par la garnison venue à leur rencontre : le caporal Lavayssière, 14 chasseurs et le hussard Natali. Tous bouleversés les écoutent...
Ils racontent leur marche terrible de trois lieus, constamment harcelés par les arabes, contre lesquels ils luttent à la baïonnette, faute de munitions. Ils étaient 80 au départ, formés en carré, les blessés au centre dont l’épuisement obligeait à de fréquents arrêts.
La fatigue était immense, mais surtout la soif les torturait, lorsqu’ils parvinrent dans le lit de l’oued Mersa, à 2 000 mètres de leur objectif.
C’était l’endroit et le moment où les attendait la tribu des Ouled Ziri. Ce fut un carnage. Le capitaine Géreaux et le lieutenant de Chappedelaine, déjà blessés, ont été achevés les premiers...
De cet affreux massacre, voici les survivants...
Tout avait débuté le 21 septembre...
Depuis le début du mois, l’émir Abd el-Kader, du Maroc où il s’était réfugié après la défaite de l’Isly en 1844, avait entrepris de soulever les tribus algériennes, dont beaucoup s’étaient déjà ralliées à nous.
Ce jour-là , le caïd Trari, sous prétexte de nous appeler au secours, nous entraîna dans un traquenard.
Le colonel de Montagnac, commandant les troupes basées à Djemmaa Ghazaouet, se mit à la tête d’une petite colonne, composée de 60 cavaliers du 2ème hussard et 350 chasseurs du 8ème d’Orléans, le tout avec 6 jours de vivres.
L’on partit le jour même à 22 heures et l’on bivouaqua à 15 kilomètres, à l’ouest de Djemmaa Ghazazouet.
Le 22 au matin, Trari orienta Montagnac vers le sud, et l’on campa vers 13 heures le long de la piste en plein bled. A ce moment, quelques cavaliers arabes sont visibles sur les crêtes. On échange à distance les premiers coups de feu.
Le 23, à l’aube, Montagnac décide de se porter vers les cavaliers ennemis aperçus la veille.
Il laisse à la garde du bivouac, le commandant Froment-Coste, le capitaine de Géreaux et des éléments de sa compagnie, la 8ème, le capitaine Burgard et sa 2ème compagnie.
Ils font 4 000 mètres vers l’ouest et c’est le drame.
Surgissant des crêtes environnantes, 5 à 6 000 cavaliers arabes, menés par Abd el-Kader, fondent sur la petite colonne. Les hussards chargent. Courby de Cognard est blessé. Les cavaliers sont submergés et bientôt anéantis.
Les trois compagnies de chasseurs forment le carré et font face ; au milieu d’elles, Montagnac est tué. La lutte va durer 3 heures. Puis les unités du 8ème d’Orléans succombent sous le nombre et sont massacrées.
Averti au bivouac par le maréchal des logis Barbut du 2ème hussards, le commandant Froment-Coste se précipite avec la 2ème compagnie vers le combat, situé à 4 kilomètres, il ne fera pas 2 000 mètres, les arabes qui ont vu le mouvement, l’interceptent et l’assaillent de toute part.
Froment-Coste est tué, le capitaine Dutertre, adjudant major, est fait prisonnier.
Bientôt, il ne reste qu’une douzaine de chasseurs que l’adjudant Thomas, au moment de tomber aux mains de l’ennemi, exhorte à se battre jusqu’au bout.
Le capitaine de Géreaux, qui a la responsabilité du bivouac, après un vain essai de se porter au secours de ses compagnons, assiste impuissant à la lutte désespérée.
A 1 000 mètres de là , se dresse le petit édifice de la Kouba du Marabout de SIDI BRAHIM. C’est là que Géreaux décide de se porter et de s’installer pour se battre, en attendant du secours.
Géreaux rameute alors le reste de sa compagnie, les trois escouades de la 3ème compagnie et le caporal Lavayssière, qui sont à la garde du troupeau et des bagages, soit environ 80 fusils.
Le mouvement est rapidement exécuté, dans la chaleur accablante de ce début d’après-midi. Il n’échappe pas à Abd el-Kader dans cette grande plaine rase, l’émir pense qu’il va facilement écraser le reste de la colonne française, mais il va se heurter pendant trois jours et trois nuits à la résistance des 80 chasseurs du marabout de SIDI BRAHIM.
Respects pour les hommes tués dans la bataille de Sidi Brahim
Cpt Bib 0877
2006-11-18 13:26:48
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answer #7
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answered by Olive0877 5
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