Laisser la liberté à "l'autre" de dire ce qu'il veut ( insulte, moquerie ou autres ).
Laisser la liberté à "l'autre" de faire ce qu'il veut.
Je parle de ceux qui ne sont ni policier ni juge, qui sont l'exception, et font appliquer les lois.
Car quand nous jugeons, (jugements de valeurs ), nous nous enfermons dans ces jugements.
Nous nous obligeons à ne pas faire "l'objet" de notre jugement, ce qui n'est en rien une liberté.
Laisser à "l'autre" de dire et de faire ceux qu'il veut, ne veut pas dire que ma liberté c'est de me laisser faire. J'ai ma liberté de répondre ou de ne pas répondre.
Ce que veut dire c’est plus nous laissons de liberté pour « l’autre » plus nous nous donnons de liberté. Plus nous lui laissons la liberté d’être qu’il y est, et non ce que nous voudrions qu’il soit, plus nous nous donnons la liberté d’être qui nous somme, plutôt que d’être ce que « l’autre » voudrai que nous soyons.
à votre avis ?
2006-11-15
02:41:10
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6 réponses
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demandé par
Adolfo Ramirez
7
dans
Sciences sociales
➔ Psychologie
Je crois que le respect et la critique faite dans l'humilité sont des valeurs, valeurs que je partage, mais ces valeurs ont de l'importances que pour ceux qui chemines dans la voie du bien, pas pour ceux qui chemines dans la voie du mal. la liberté ne peut pas être à sens unique, quelque soit les limites ou la non limite fixés.
Ceux qui chemines dans la voie du mal, nous poussent d'une certaines façon à travailler notre maîtrise de soi et la sagesse.
2006-11-15
05:52:28 ·
update #1