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5 réponses

si l'on considère le collectif comme un tas de sable, alors il faut s'occuper de chaque grain pour faire un tas sain. Cependant le traitement de masse poeut avoir une vertue infiltrante et propagatrice susceptible d'améliorer dans le détail l'objet traité dans sa globalité .

2006-11-10 01:35:53 · answer #1 · answered by Jimmy C 2 · 0 0

pas nécessairement, seulement quand ces particularismes s'opposent au bien être collectif......et ce n'est pas toujours le cas heureusement sinon nous aurions des sociétés de clones.

2006-11-10 09:53:22 · answer #2 · answered by aloha 7 · 0 0

Le bien-être collectif demande parfois le sacrifice d'intérêts individuels : il faut, par exemple, payer des impôts pour certaines choses reconnues comme d'utilité publique. Il peut parfois arriver que ces sacrifices aillent jusqu'à l'abandon de certaines habitudes privées (ne pas fumer dans certains lieux).
Mais pour le reste, et s'il n'y a pas de menace pour l'intérêt public et la paix sociale et civique, je ne vois pas ce qui permettrait à la collectivité de forcer ses membres à abandonner certains de leurs particularismes.
Mais je devine qu'il pourrait y avoir derrière cette question, somme toute anodine, une allusion à l'histoire du foulard.
Posons la question autrement : le bien-être individuel passe-t-il nécessairement par la négation du libre choix des personnes ?

2006-11-10 09:14:04 · answer #3 · answered by Claber 5 · 0 0

Le bien-être collectif (si c'est une notion qui veut dire quelque chose) n'existe pas sans le bien-être de chacun. La négation des particularismes entraînerait plutôt un mal-être collectif.
Tout comme, a mon avis, la mise en exergue des particularismes.

2006-11-10 09:05:07 · answer #4 · answered by Anonymous · 1 1

Pourquoi en serait il ainsi ?

2006-11-10 09:03:11 · answer #5 · answered by kerlutinoec 7 · 0 1

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