les enseignants ont il droit de gifler des élèves???

Question

je voudrais un extrait de loi qui explique ma question

Answer 1

Les enseignants n'ont pas le droit de porter la main sur un élève...
je te retrouverais la loi plus tard..

Par contre la vrai question c'est, qu'a fait l'élève pour meriter une baffe? ;)

Answer 2

Il n'ont plus le droit de le faire et c'est bien dommage !!!!

Answer 3

Oui, en France, les enseignants ont le droit de gifler les élèves.
Cela s'appelle le "droit de correction".

« Si les châtiments corporels ou même le traditionnel droit de correction ne correspondent plus à l’état de nos moeurs, les parents et les enseignants possèdent toujours, dans un but éducatif un pouvoir disciplinaire pouvant éventuellement s’exercer sur de jeunes enfants sous forme de gifles ou de tapes inoffensives ». (jurisprudence 18 mars 1981)

Ce droit a cependant des limites:

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La liste de ce qui est toléré est donné par la cours d'appel de Caen le 7 juillet 1982:

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Ce qui est valable pour les parents l'est aussi pour les enseignants auquels est déléguée l'autorité parentale.

Tout cela pour la France, le droit change dans chaque pays,
En Suisse, la gifle est interdite depuis 1979.

Answer 4

Non et c'est dommage car il y a des coups de pied au cul qui se perdent, autant chez les enseignants que chez les élèves !

Answer 5

officiellement, gifler un élève est interdit, surtout si c'est une vraie claque

mais

1/ une tite "pitchette" sur la tete avec la main ou avec le cahier , (bien légere bien sur ), n'a jamais fait de mal à personne, surtout quand c'est mérité donc
2/ il faut d'aboir se demander : qu'a t il fait pour avoir une baffe?
3/ si la baffe est méritée, il faut comprendre qu'un prof est humain et que lorsqu'il n'en peut plus, le naturel reprend le dessus! et oui un prof n'est pas un robot
4/ avant d'attaquer un prof , sur les dires de son enfant, il vaut mieux prendre Rdv avec l'équipe pédagogique et avoir le point de vue des professeurs, car un enfant " calme " a la maison peut être une furie en classe , et souvent les parents ne le savent pas

mais oui une giffle c'est parfois interdit, mais de temps en temps c'est le seul moyen de calmer un élève. ( la claque pédagogique )

Answer 6

nn, ils n'ont pas le droit, et heureusement.

mais il devraient pouvoir les punirs, sanctionner en cas de mauvais comportement.

on voit trop de professeur, se faire insulter, frapper par des voyoux.

Answer 7

seulement l'usage de la régle comme sous la 3 ieme republique

Answer 8

Mentalement et en rêve seulement... et ils ne s'en privent pas !

Answer 9

En aucun cas !!!! non non et non!!!!

je ne connais pas par coeur l'extrait de loi

Answer 10

une des vieilles questions sur le sujet. En tant que prof, je déconseillerai fortement l'usage de tout châtiment physique, cela peut prendre des proportions ubuesques. Maintenant, il faut savoir relativiser -PS aucun texte de loi ne peut être clairement utilisé sur le sujet-. De manière générale quand on prend une gifle, c'est sûrement parce qu'aucun autre moyen n'a réussi. le monde est violent mon frère... Et un élève qui joue sur son impunité- toute relative- pour mettre à bout un individu qu'il n'accepte pas parce qu'il lui donne du travail( alors qu'on est bien mieux chez soi à écrire des SMS en grignotant , la ps2 sur le dernier duc tuccen) et ne le berce d'aucune illusion doit apprendre que, même avec des lois qu'il peut utiliser à son bénéfice, tout acte entraîne une réaction. chacun y a sa responsabilté.
En France
Le rapport sur la violence publié aujourd’hui par l’Onu est international. Il reste donc par définition très global. Si la France n’y est donc pas spécifiquement mentionnée, il faut toutefois relever qu’elle ne fait pas partie des 12 Etats européens ayant clairement interdit, par une loi, les châtiments corporels (Autriche, Belgique, Croatie, Chypre, Danemark, Finlande, Allemagne, Islande, Lettonie, Norvège, Suède, Ukraine).
http://www.unicef.fr/accueil/sur-le-terrain/themes/protection-de-l-enfance/enfants-battus/var/lang/FR/rub/406/articles/3887.html
En France, comme à l'étranger, des voix s'élèvent pour demander aux pouvoirs publics de légiférer sur ce sujet. Et tout d'abord dans le cadre scolaire : en effet, la loi française n'interdit toujours pas formellement les châtiments corporels à l'école. La Défenseure des Enfants a saisi voilà deux ans de cette question les autorités éducatives de notre pays. Le rapport sur les brutalités et le harcèlement physique et psychologique (cf. infra) de Mme Nicole Baldet, inspectrice de l'académie de Paris, chargée de mission d'inspection générale, rédigé à la demande de MMs Ferry et Darcos, alors ministres de l'Education nationale et de l'Enseignement scolaire (octobre 2004) établit la réalité de ces violences et le vide juridique que rencontrent les enfants qui en sont victimes et leurs familles. La Défenseure des Enfants demande formellement que cette interdiction soit inscrite dans la loi à l'occasion du débat parlementaire sur l'éducation qui s'ouvre dans le courant du mois de février.
http://www.defenseurdesenfants.fr/actus/texte1.htm