Mon âme soeur,
Laisses toi bercer par l'atmosphère douce, merveilleuse et enchanteresse de ce conte de fées :
Dans un bois sombre et obscur, je t'ai rencontrée.
De ta puissante lumière, tu m'as convié.
De ta gracieuse et délicieuse présence, tu m'as conquis.
Dès lors, amoureux et envouté, je fus épris.
Dans tes yeux, j'ai lu le désir, la passion et l’amour.
Cet instant magnifique anime ma flamme chaque jour.
De ton coeur doux et tendre je me fais le défenseur,
Pour que nul aventurier n'en soit le vil offenseur.
Chaque moment près de toi est inoubliable,
Et je hurle au monde entier notre amour si formidable !
Moi, chevalier à la conquête du Graal, et toi déesse à la recherche de l'amour.
Si nos chemins se sont croisés, ce n'est pas en vain :
Tandis que nos deux cœurs devaient s’unir dans le bonheur,
Seuls nos pas furent guidés par notre espiègle destin.
Car tu es celle que je désire depuis toujours, mon âme sœur !
Ainsi j’aimerais te conduire à l'autel et vivre avec toi pour toujours.
Si en ses paroles tu ne crois pas ou bien que cette histoire te semble irréelle,
Rassures toi ma douce, ma belle, mon amour …ce n'est qu'une petite nouvelle.
Perso.
2006-11-04 09:18:32
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answer #1
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answered by deepurphil 5
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Voici que la saison décline,
L'ombre grandit, l'azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L'oiseau frissonne, l'herbe a froid.
Août contre septembre lutte ;
L'océan n'a plus d'alcyon ;
Chaque jour perd une minute,
Chaque aurore pleure un rayon.
La mouche, comme prise au piège,
Est immobile à mon plafond ;
Et comme un blanc flocon de neige,
Petit à petit, l'été fond.
Victor HUGO
A une jeune fille
Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle,
Enfant ! n'enviez point notre âge de douleurs,
Où le coeur tour à tour est esclave et rebelle,
Où le rire est souvent plus triste que vos pleurs.
Votre âge insouciant est si doux qu'on l'oublie !
Il passe, comme un souffle au vaste champ des airs,
Comme une voix joyeuse en fuyant affaiblie,
Comme un alcyon sur les mers.
Oh ! ne vous hâtez point de mûrir vos pensées !
Jouissez du matin, jouissez du printemps ;
Vos heures sont des fleurs l'une à l'autre enlacées ;
Ne les effeuillez pas plus vite que le temps.
Laissez venir les ans ! Le destin vous dévoue,
Comme nous, aux regrets, à la fausse amitié,
A ces maux sans espoir que l'orgueil désavoue,
A ces plaisirs qui font pitié.
Riez pourtant ! du sort ignorez la puissance
Riez ! n'attristez pas votre front gracieux,
Votre oeil d'azur, miroir de paix et d'innocence,
Qui révèle votre âme et réfléchit les cieux !
Victor HUGO
Le soleil du matin doucement chauffe et dore
Les seigles et les blés tout humides encore,
Et l'azur a gardé sa fraîcheur de la nuit.
L'on sort sans autre but que de sortir ; on suit,
Le long de la rivière aux vagues herbes jaunes,
Un chemin de gazon que bordent de vieux aunes.
L'air est vif. Par moment un oiseau vole avec
Quelque fruit de la haie ou quelque paille au bec,
Et son reflet dans l'eau survit à son passage.
C'est tout. Mais le songeur aime ce paysage
Dont la claire douceur a soudain caressé
Son rêve de bonheur adorable, et bercé
Le souvenir charmant de cette jeune fille,
Blanche apparition qui chante et qui scintille,
Dont rêve le poète et que l'homme chérit,
Évoquant en ses voeux dont peut-être on sourit
La Compagne qu'enfin il a trouvée, et l'âme
Que son âme depuis toujours pleure et réclame.
Paul Verlaine
Pensée du soir
À Ernest Raynaud
Couché dans l'herbe pâle et froide de l'exil,
Sous les ifs et les pins qu'argente le grésil,
Ou bien errant, semblable aux formes que suscite
Le rêve, par l'horreur du paysage scythe,
Tandis qu'autour, pasteurs de troupeaux fabuleux,
S'effarouchent les blancs Barbares aux yeux bleus,
Le poète de l'art d'Aimer, le tendre Ovide
Embrasse l'horizon d'un long regard avide
Et contemple la mer immense tristement.
Le cheveu poussé rare et gris que le tourment
Des bises va mêlant sur le front qui se plisse,
L'habit troué livrant la chair au froid, complice,
Sous l'aigreur du sourcil tordu œil terne et las,
La barbe épaisse, inculte et presque blanche, hélas !
Tous ces témoins qu'il faut d'un deuil expiatoire
Disent une sinistre et lamentable histoire
D'amour excessif, d'âpre envie et de fureur
Et quelque responsabilité d'Empereur.
Ovide morne pense à Rome et puis encore
Rome que sa gloire illusoire décore.
Or, Jésus ! vous m'avez justement obscurci :
Mais n'étant pas Ovide, au moins je suis ceci.
Paul Verlaine
2006-11-04 17:11:27
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answer #2
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answered by Nouzha 4
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Est-ce que celui là te plait ?
A l’ombre du Poète
Saltimbanques d'amour
Mimes de la pensée
Habiles jongleurs de mots
Joliment assemblés
Poétes, Poètesses
Qui faites partager
Rêve, douceur, tendresse
Rire, bonheur et joie
Langueur, mélancolie
Tristesse et colère
Mêlant le sang aux larmes
Les larmes au désespoir
Le désespoir au cÅur
Le cÅur à la passion
La passion à l’amour
L’émotion sublimée
De tous ces sentiments
Comme fleur portée
Sur les ailes du vent
S’élève au firmament
Et déchire le voile
Libérant en craquant
Toute une pluie d’étoiles
Je vous loue, je vous fête
Mon cÅur vous remercie
Talentueux, modestes
Vous qui avez compris
Qu’à l’ombre du poète l’humilité fleurit
De mon ami ....Cristobal
2006-11-04 17:33:46
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answer #3
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answered by filou 5
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A pas lents et tardifs tout seul je me promène
Et mesure en rêvant les plus sauvages lieux ;
Et pour n'être aperçu, je choisis de mes yeux
Les endroits non frayés d'aucune trace humaine.
Je n'ai que ce rempart pour défendre ma peine,
Et cacher mon désir aux esprits curieux
Qui, voyant par dehors mes soupirs furieux,
Jugent combien dedans ma flamme est inhumaine.
Il n'y a désormais ni rivière ni bois,
Plaine, mont ou rocher, qui n'ait su par ma voix,
La trempe de ma vie à toute autre célée.
Mais j'ai beau me cacher je ne puis me sauver
En désert si sauvage ou si basse vallée
Qu'amour ne me découvre et me vienne trouver.
2006-11-04 17:30:11
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answer #4
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answered by Lebrun 2
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marie terese vient que je baise
2006-11-04 17:18:40
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answer #5
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answered by benchenaf s 1
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je te veux tout pres de moi
sans toi je ne pourrais vivre
sans toi la vie n'a pas de sens
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2006-11-07 09:48:10
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answer #6
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answered by R6 6
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si, j'en ai, mais en arabe. te les traduire en français les "dénatureraient". désolé
2006-11-06 07:10:54
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answer #7
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answered by pn 2
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Quand je mets a vos pieds un eterenel hommage
Voulez-vous un instant que je change de visages?
Vous avez capture les sentiments d'un coeur
Que pour vous adorez forma le createur.
Je vous cheris et ma plume en delire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire
Avec soin de mes vers, lisez les premiers mots
Vous saurez quel remede apportez a mes maux.
2006-11-05 10:03:43
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answer #8
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answered by maxenee 4
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stance
Marquise, si mon visage
à quelques traits un peu vieux
souvenez vous qu'à mon âge
vous ne vaudrez guère mieux
le temps aux plus belle choses
se plait à faire affront
et saura faner vos roses
comme il à ridé mon front
le même cours des planêtes
regles nos jours et nos nuits
on m'a vu ce que vous êtes
vous serez ce que je suis.
cependant j'ai quelques charmes
qui sont assez éclatants
pour n'avoir pas trop d'alarmes
de ces ravages du temps
vous en avez qu'on adore
mais ceux que vous méprisez
pourraient bien durée encore
quand ceux-là seront usés
ils pourront sauver la gloire
des yeux qui me semble dous
et dans mille ans faire croire
ce qu'il me plaira de vous
chez cette race nouvelle
ou j'aurait quelques crédits,
vous ne passerez pour belle
qu'autant que je l'aurais dit
pensez-y belle marquise
quoique qu'un grison fasse effroi
il vaut bien qu'on le courtise
quand il est fait comme moi
2006-11-05 06:55:22
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answer #9
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answered by Anonymous
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le vent claque,les feuilles craquent je les croque cric!crac!croc!
2006-11-05 06:09:33
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answer #10
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answered by вє ¢σσℓ вє мє 2
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Nos chemins se sont croisés
Nos yeux se sont accrochés
Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privé.
2006-11-05 00:32:32
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answer #11
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answered by Anonymous
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